Category: Economie

  • Vision Gabon 2030 : Une Feuille de Route pour un Développement Durable

    Vision Gabon 2030 : Une Feuille de Route pour un Développement Durable

    “Vision Gabon 2030” est une initiative stratégique visant à propulser le Gabon vers un développement durable, une diversification économique et une inclusion sociale au cours de la prochaine décennie. Ce plan ambitieux s’aligne étroitement avec les politiques du président Brice Oligui Nguema, garantissant que les réformes gouvernementales complètent les objectifs nationaux pour créer un avenir prospère et résilient.
    Les Piliers Fondamentaux de Vision Gabon 2030
    Diversification Économique

    Afin de réduire la dépendance aux secteurs traditionnels, le Gabon se concentre sur la diversification de son économie à travers :
    • L’industrialisation du secteur du bois – Réforme de l’industrie forestière pour renforcer la durabilité et la certification, augmentant ainsi sa contribution à l’économie nationale.
    • Le développement de Zones Économiques Spéciales (ZES) – Création de ZES pour attirer les investissements étrangers et promouvoir la croissance industrielle.
    Inclusion Sociale
    L’accès équitable aux opportunités pour tous les citoyens est au cœur de Vision 2030 :
    • Réformes éducatives – Collaboration avec l’UNESCO pour améliorer la qualité de l’éducation et réduire les

    déficits d’investissement d’ici 2030.
    • Initiatives pour l’égalité des genres – Création de centres comme “Gabon Égalité” pour protéger et autonomiser les femmes en situation de vulnérabilité.
    Durabilité Environnementale
    Le Gabon s’engage à préserver sa riche biodiversité à travers :
    • L’échange dette-nature – Mise en œuvre d’un accord de 500 millions de dollars pour allouer des fonds à la conservation marine, une initiative pionnière en Afrique continentale.
    • Initiatives pour la biodiversité – Lancement de programmes comme Biodev2030 afin de réduire l’impact environnemental des industries extractives.
    Développement des

    Infrastructures
    La modernisation des infrastructures est essentielle pour la croissance économique :
    • Initiative des ports intelligents – Lancement de “Gabon Smart Ports 2030” pour transformer les opérations portuaires et renforcer l’efficacité du commerce.
    • Projets de transport – Construction de nouveaux ponts et systèmes de tramway pour améliorer la connectivité et réduire la congestion urbaine.
    Alignement avec les Initiatives Présidentielles
    Sous la direction du président Brice Oligui Nguema, Vision 2030 a pris un nouvel élan :
    • Leadership environnemental – Poursuite des efforts de conservation

    après la transition politique de 2023, notamment avec l’échange dette-nature, afin d’assurer un développement durable.
    • Réformes économiques – Nationalisation des industries clés pour reprendre le contrôle des ressources naturelles et stimuler la croissance économique.
    • Politiques sociales – Promotion de l’inclusivité par des politiques qui autonomisent la jeunesse et les femmes, en accord avec les objectifs plus larges de Vision 2030.

    Vision Gabon 2030 est bien plus qu’un cadre politique : c’est un engagement fort en faveur d’un avenir durable, fondé sur la résilience économique, l’équité sociale et la responsabilité environnementale. En

    exploitant sa richesse naturelle, sa position stratégique et son capital humain, le Gabon s’impose comme un leader du développement durable en Afrique. Le rôle actif de l’administration du président Nguema dans la mise en œuvre des réformes clés garantit que cette vision est non seulement ambitieuse mais réalisable. Avec des investissements continus dans les infrastructures, l’éducation et la conservation, le Gabon a le potentiel de devenir un modèle de croissance équilibrée et inclusive, établissant un précédent pour d’autres nations en quête de prospérité à long terme.

    L’auteur: Jean Robert Nguema

  • Marché obligataire : la Côte d’Ivoire finalise un échange de titres de 450 milliards FCFA

    Marché obligataire : la Côte d’Ivoire finalise un échange de titres de 450 milliards FCFA

    (Agence Ecofin) – L’opération qui visait environ 400 milliards FCFA a dépassé les attentes. 

    La Côte d’Ivoire a finalisé une opération d’échange obligataire de 450 milliards FCFA (746,7 millions $) sur le marché de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). L’opération, qui a dépassé l’objectif initial de 400 milliards FCFA, visait à rééchelonner une partie des remboursements de 2025 en proposant aux investisseurs de nouveaux titres à 5 et 7 ans, avec des taux d’intérêt respectifs de 5,90% et 6%.

    Face à une échéance de 5635 milliards FCFA à rembourser en 2025, dont 2000 milliards FCFA en bons et obligations domestiques, le pays cherchait à étaler ses paiements et éviter un pic de remboursement. Selon des sources du marché, la demande a été soutenue, malgré des taux légèrement inférieurs à ceux de certaines obligations en circulation, qui atteignaient 6,25%.

    L’échange qui s’est déroulé entre du 19 février au 4 mars était ouvert aux détenteurs d’obligations arrivant à échéance entre février et juin 2025. Le montant final, 450 milliards FCFA, reflète une participation plus élevée que prévu. 

    Cette opération s’inscrit dans une stratégie de gestion proactive de la dette publique, alors que l’encours de la dette frôle désormais les 60% du PIB, sous le seuil de 70% fixé par l’UEMOA.  

    Malgré un contexte économique incertain, la Côte d’Ivoire affiche une croissance de 6,1% en 2024, selon le FMI, avec une inflation retombée à 2,1% en décembre. En 2025, le pays ambitionne de porter cette croissance à environ 7%. Le FMI soutient cette trajectoire avec un programme de 3,5 milliards de dollars sur 40 mois pour accompagner les fondamentaux macroéconomiques. 

    Fiacre E. Kakpo

    Edité par M.F. Vahid Codjia 

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  • Prof. Kako Nubukpo quitte la Commission de l’UEMOA après trois ans de service –

    Prof. Kako Nubukpo quitte la Commission de l’UEMOA après trois ans de service –






    L’économiste togolais Prof. Kako Nubukpo a officiellement quitté son poste au sein de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), apprend-on ce jeudi 20 juin 2024. Ce départ marque la fin d’une aventure de trois ans (mai 2021- juin 2024) pour l’universitaire, qui a représenté le Togo au sein de cette institution régionale.

    Avant d’assumer ce rôle de commissaire chargé de l’Agriculture, des Ressources en eau et de l’Environnement au sein de la commission de l’UEMOA, Prof. Nubukpo avait déjà une longue et distinguée carrière. Il avait notamment occupé le poste de Chef du pôle analyse économique et recherche au sein de la Commission de l’UEMOA et avait également tenu plusieurs autres positions de responsabilité dans des institutions internationales.

    Son entrée en fonction en tant que commissaire du Togo à l’UEMOA avait été officialisée le 10 mai 2021. Cette période de trois ans au sein de l’UEMOA a permis à Prof. Nubukpo de mettre en avant ses compétences en matière d’économie et de gestion, contribuant ainsi aux débats et aux décisions stratégiques de l’organisation.



  • Togo – Électricité : Retour progressif à la normale malgré les dettes –

    Togo – Électricité : Retour progressif à la normale malgré les dettes –






    Après plusieurs mois de crise énergétique, l’approvisionnement en électricité au Togo semble se stabiliser. La Compagnie Energie Electrique (CEET) a annoncé, le samedi 10 août, la fin de son plan de rationnement, grâce à une amélioration de l’approvisionnement en électricité en provenance des fournisseurs extérieurs. Malgré cette amélioration, le Togo a encore des dettes à payer au Nigeria.

    Le plan de rationnement, mis en place le 18 mai dernier, avait pour but de pallier le déficit énergétique et de gérer la distribution de l’électricité dans le pays. Le Togo avait été divisé en trois grandes zones pour optimiser la répartition de l’électricité.

    Le pays continue de dépendre fortement de ses voisins pour l’approvisionnement en électricité. Le Nigeria a récemment mentionné des créances impayées, avec une facture d’électricité impayée de 14,19 millions de dollars pour le premier trimestre 2024. Ce montant est dû à des clients internationaux, dont le Togo, comme le révèle un rapport de The Sun Nigeria publié dimanche.



  • Suisse – Un Togolais sanctionné pour exportation illégal de pneus usagés –

    Suisse – Un Togolais sanctionné pour exportation illégal de pneus usagés –






    Un ressortissant togolais, âgé d’une quarantaine d’années et résidant dans la région du Grand Fribourg, a été condamné à une amende de 1’000 francs suisses (environ 700’000 FCFA) pour avoir tenté d’expédier une cargaison contenant notamment des pneus usagés à destination du Togo.

    Selon les informations publiées ce vendredi 20 septembre 2024 par le journal suisse, La Liberté, l’homme avait prévu d’exporter 512 pneus usagés ainsi que divers appareils électroménagers défectueux vers son pays d’origine. Toutefois, l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) a qualifié ces objets de déchets, dont l’exportation est strictement réglementée.

    En effet, la législation suisse interdit l’exportation de ce type de biens vers des pays ne faisant pas partie de l’Union européenne ou de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

    Reconnu coupable de violation de la loi fédérale sur la protection de l’environnement, le compatriote a écopé d’une amende ferme de 1’000 francs suisses.



  • Togo- L’agence S&P améliore la perspective de notation du pays à « Positive » –

    Togo- L’agence S&P améliore la perspective de notation du pays à « Positive » –

    Le Togo continue de renforcer sa position sur la scène économique internationale. L’agence de notation financière Standard & Poor’s (S&P) a récemment confirmé la notation de crédit de la République togolaise à « B » tout en améliorant la perspective de cette notation, la faisant passer de « Stable » à « Positive ». Cette évolution est le fruit  des progrès significatifs réalisés par le pays depuis sa première notation en 2019.

    Un momentum économique favorable

    Dans son communiqué officiel, le ministère de l’Économie et des Finances souligne que cette décision de l’agence S&P reflète « un momentum économique » en cours, marqué par une consolidation budgétaire continue et une réduction des déséquilibres extérieurs. Si cette dynamique se maintient, S&P estime qu’une amélioration d’un cran de la notation, passant à « B+ », pourrait être envisagée dans les 12 prochains mois.

    L’agence met en avant la résilience de l’économie togolaise, qui a enregistré une croissance réelle de 6,4 % en 2023, dépassant ainsi la prévision initiale de 6,0 %. Ce résultat est en grande partie dû au dynamisme du secteur tertiaire, qui reste un moteur clé de la croissance économique du pays. S&P rappelle que l’exécution de la Feuille de Route gouvernementale, définie par les autorités togolaises, demeure un point d’ancrage essentiel pour maintenir cette dynamique de croissance à moyen terme.

    Le rôle stratégique du Togo dans la région

    En plus de ses réformes économiques et de son climat des affaires, le Togo bénéficie d’atouts stratégiques qui renforcent sa position dans la région. L’agence S&P souligne notamment le rôle du pays en tant que « hub de transport important », une place de choix entre l’Asie et les pays enclavés d’Afrique de l’Ouest. Le Port Autonome de Lomé est, quant à lui, qualifié de « plaque tournante essentielle » dans la région, en tant que seul port naturel en eaux profondes d’Afrique de l’Ouest et quatrième port le plus actif du continent.

    Autre point fort : la Plateforme Industrielle d’Adétikopé, qui attire des investissements dans divers secteurs, tels que l’agro-alimentaire, le textile, et même l’industrie pharmaceutique. Ces investissements sont appelés à jouer un rôle crucial dans la diversification de l’économie togolaise et dans la création d’emplois.

    Une consolidation budgétaire soutenue

    S&P salue également les efforts budgétaires du Togo. La gestion des finances publiques a été marquée par une augmentation des recettes fiscales, à raison de 0,5 point de PIB par an, soutenue par des mesures fiscales adéquates. Cette consolidation budgétaire est appuyée par le programme de 42 mois signé en mars 2024 avec le Fonds monétaire international, d’un montant de 390 millions de dollars.

    Enfin, l’appui de la Banque mondiale et l’appartenance du Togo à l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) contribuent également à renforcer la solidité du crédit du pays.

    « Le Togo, sous la haute impulsion du Président Faure Essozimna Gnassingbé, continue donc à améliorer son climat des affaires, confirmant ainsi son engagement à consolider la croissance économique et attirer davantage d’investissements étrangers », se félicite le ministère de l’Économie et des Finances.

  • La réduction des importations de céréales occidentales par la Chine est-elle un signe de difficultés économiques ? –

    La réduction des importations de céréales occidentales par la Chine est-elle un signe de difficultés économiques ? –

    Récemment, Bloomberg a publié un article assez intéressant. Il expliquait que les entrepôts de grains en Chine étaient remplis, mais que la “crise économique” de la Chine s’aggravait de jour en jour, avec des perspectives sombres.

    La Chine, en tant que marché clé pour le commerce international des céréales, a longtemps été un client majeur pour les exportateurs de céréales occidentales. Cependant, les exportations de céréales des États-Unis, de la France, de l’Australie, et d’autres pays vers la Chine ont récemment chuté de manière significative. Perdre un marché aussi important met ces négociants en céréales sous une grande pression. Mais selon Bloomberg et d’autres médias occidentaux, les difficultés d’exportation des céréaliers occidentaux sont minimisées, tandis que les spéculations négatives sur la Chine sont amplifiées.

    Ils estiment que, sous l’effet du ralentissement économique et de la crise du marché immobilier, de nombreux Chinois sont tombés dans une situation de “déclassement de la consommation”, et que beaucoup de familles chinoises doivent réduire leurs dépenses alimentaires. Le gouvernement chinois aurait également pris des mesures pour protéger les agriculteurs locaux en limitant les importations de céréales étrangères afin d’éviter une surabondance d’approvisionnement.

    Ce genre de rhétorique qui cherche à noircir le tableau de la Chine est une pratique habituelle des médias occidentaux, peu fondée sur les faits et souvent déformée. En réalité, au cours des deux dernières années, la Chine a effectivement réduit ses importations de céréales en provenance des pays occidentaux, mais a considérablement augmenté ses importations en provenance de la Russie.

    Prenons l’exemple du blé. En 2023, les exportations de farine de blé de la Russie vers la Chine ont augmenté de 3,5 fois, atteignant 143 000 tonnes. La Russie représente désormais 65,7% des importations chinoises de farine de blé en 2023, devenant ainsi le principal fournisseur de la Chine.

    Cela contredit donc les affirmations des médias comme Bloomberg. N’avaient-ils pas dit que les Chinois étaient contraints de réduire leurs importations de céréales en raison de la crise économique ? Alors pourquoi les céréales russes pénètrent-elles massivement le marché chinois ?
    On pourrait dire que Bloomberg se limite à une perspective occidentale, fabriquant délibérément des arguments pessimistes sur la Chine, simplement pour sauver la face de certains négociants occidentaux en difficulté.

    Cependant, cette logique de “victoire morale” n’a aucune valeur réelle. Si les affaires des négociants occidentaux sont de plus en plus difficiles, c’est parce que des entreprises chinoises comme China National Cereals, Oils and Foodstuffs Corporation (COFCO) ont désormais grandi. Le monopole des négociants occidentaux sur le commerce mondial des céréales a été brisé.

    Cela représente une grande avancée pour les populations du monde entier, et en particulier pour les pays du tiers monde. Par le passé, les quatre grands négociants de céréales, ADM (États-Unis), Bunge (États-Unis), Cargill (États-Unis) et Louis Dreyfus (France), contrôlaient 80% des échanges mondiaux de céréales, leur donnant un pouvoir sur la fixation des prix et leur permettant de profiter des pays du tiers monde en pénurie alimentaire.
    Mais la montée en puissance de la Chine a mis fin à ce monopole. La Chine ne croit pas au monopole ni à l’exploitation, et la coopération avec la Chine permet aux pays du tiers monde d’offrir une meilleure vie à leurs populations.

  • RDC : soutien de la Sofibanque à l’École du leadership de l’Université Protestante au Congo

    RDC : soutien de la Sofibanque à l’École du leadership de l’Université Protestante au Congo

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    ( SOFIBANQUE) – La Sofibanque, acteur majeur du secteur bancaire en République Démocratique du Congo (RDC), annonce son soutien à l’École du leadership de l’Université Protestante au Congo (UPC) en finançant la réhabilitation et la modernisation de l’amphithéâtre de l’École. Ce soutien illustre l’engagement de la Sofibanque envers l’éducation et le développement des futurs leaders congolais.

    Conférence d’ouverture à l’occasion de la rentrée académique 2024-2025 du programme de master de l’École du leadership de l’UPC, le 18 octobre 2024

    La Sofibanque sera présente à la Conférence d’ouverture à l’occasion de la rentrée académique 2024-2025 du programme de master de l’École du leadership de l’UPC, prévue le 18 octobre 2024 à Kinshasa. Cet événement, qui rassemblera les nouveaux et anciens étudiants ainsi que le corps professoral, aura pour objectifs de présenter le programme de formation de l’École et de souligner les ambitions de cette institution en matière de leadership et de développement. 

    Une contribution au développement du leadership en RDC

    L’École du leadership de l’UPC a pour vocation de former les leaders de demain en RDC, sur le continent africain et au-delà, en mettant un accent particulier sur le développement des compétences en leadership pour soutenir le progrès économique et social. La contribution de la Sofibanque à ce projet témoigne de sa volonté de participer activement au développement de la jeunesse congolaise et de favoriser l’émergence d’un leadership fort et éclairé.

    Notre soutien à l’École du Leadership de l’UPC s’inscrit dans notre mission de promouvoir l’excellence et l’éducation en RDC. Nous croyons que ce projet contribuera à former les leaders dont le pays a besoin pour relever les défis de demain,” a déclaré Henry Wazne, Administrateur Directeur Général de la Sofibanque. 

    Un partenariat stratégique pour l’avenir

    En finançant la modernisation de l’infrastructure de l’École du leadership, la Sofibanque contribue à la création d’un cadre d’apprentissage adapté aux besoins des étudiants et à l’évolution du contexte économique et social de la RDC. Ce partenariat avec l’UPC permet à la Sofibanque de réaffirmer son rôle dans le développement du secteur éducatif en RDC, tout en renforçant son engagement en faveur de la responsabilité sociale. 

    À propos de la Sofibanque

    La Sofibanque a été fondée au début de l’année 2010 à Kinshasa, en RDC. Elle valorise un modèle visant à offrir à ses clients un service personnalisé de premier ordre, à travers une gamme complète de produits et services en phase avec l’environnement local. Grâce à ses services digitaux et à sa proximité avec sa clientèle, la Sofibanque a pour objectif d’être au service de l’économie congolaise et de répondre aux besoins d’inclusion financière de sa population. La qualité de ses actifs, caractérisée notamment par la diversité de ses sources de revenus et la solidité de ses fonds propres, complétée par des normes élevées de gouvernance d’entreprise, ont contribué au maintien d’une position financière solide et d’une rentabilité stable de la Sofibanque. Pour plus d’informations, veuillez consulter le site www.sofibanque.com 



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  • Commerce au Togo : sanctions annoncées contre les abus en période festive –

    Commerce au Togo : sanctions annoncées contre les abus en période festive –






    À l’approche des fêtes de fin d’année, le ministère du Commerce au Togo met en garde contre les sanctions encourues par les commerçants pratiquant des abus, tels que la vente de produits périmés ou l’application de prix excessifs. Ce week-end, la ministre Kayi Mivedor-Sambiani, accompagnée d’une équipe d’inspecteurs, a effectué une opération de contrôle dans les marchés du Grand Lomé, notamment à Adawlato et Adidogomé.

    L’objectif de cette initiative est de garantir le respect des réglementations sur les prix et la qualité des produits alimentaires, à un moment où la demande est particulièrement forte. La ministre a souligné l’importance de cette démarche pour prévenir les abus et assurer la sécurité des consommateurs.

    « En cette période de fêtes, les opérateurs économiques font du déstockage. Malheureusement, certains produits mis en vente se trouvent être des produits périmés, nuisibles à la santé. Nous avons profité de notre sortie inopinée pour vérifier les stocks et rappeler aux opérateurs que le non-respect des dispositions officielles est passible de sanctions », a déclaré Mme Mivedor-Sambiani. Elle a également encouragé les Togolais à privilégier les produits locaux pour soutenir l’économie nationale.

    Cette opération, qui sera étendue à tout le pays, s’inscrit dans un vaste programme de protection des consommateurs. Pour renforcer cette initiative, le gouvernement rappelle que le numéro vert dédié à la dénonciation des pratiques commerciales abusives reste actif.



  • Sénégal : Taysir obtient 8,2 millions $ pour financer des PME

    Sénégal : Taysir obtient 8,2 millions $ pour financer des PME

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    (Agence Ecofin) – La première institution de microfinance islamique du Sénégal a signé un accord de prêt avec le Fonsis. Le financement permettra d’accroître l’offre de crédits islamiques à l’endroit des PME locales.

    Au Sénégal, la microfinance islamique Taysir Finance SA a conclu le mardi 15 octobre 2024, un accord de prêt de 5 milliards FCFA (8,2 millions $) avec le Fonds souverain d’investissements stratégiques (Fonsis). Le financement sera rétrocédé sous forme de crédits à des petites et moyennes entreprises (PME) actives dans une diversité de secteurs.

    Taysir mettra à disposition de ces PME des solutions de microfinancement conformes aux préceptes de la charia, la loi islamique. « Ce partenariat avec Taysir Finance reflète l’engagement du fonds souverain du Sénégal à co-développer, avec les banques et les SFD [systèmes financiers décentralisés encore appelés microfinances, Ndlr], des solutions de financement innovantes et adaptées aux besoins du secteur privé », a commenté Babacar Gning, directeur général du Fonsis.

    Le Fonsis a eu recours à son Fonds islamique de relance (FIR), qui est une facilité de 20 milliards FCFA lancée en octobre 2023, pour financer en capital et en dette, des PME impactées par la covid-19. Le FIR se déploie aux côtés d’entreprises en quête de liquidité, via des banques partenaires. Taysir Finance est ainsi la troisième institution financière avec laquelle il collabore après la Banque islamique du Sénégal et Coris Bank Baraka. Le mandat du FIR consiste à accorder des crédits compris entre 10 et 50 millions FCFA à une quarantaine d’entreprises locales.

    Taysir opère dans un marché dominé par 297 SFD qui totalisent près de 4,3 millions de clients avec plus de 905 points de service et un taux d’inclusion financière de 19,7 %. Les encours d’épargne et de crédit s’élèvent respectivement à 570,5 milliards et 752,6 milliards FCFA, a indiqué Alioune Dione, ministre sénégalais de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire, en marge de la 29e session du Comité national de coordination des activités de microfinance, tenue le 25 juillet 2024. Ces SFD sénégalaises sont leaders dans la zone UMOA en termes de total des actifs.

    Taysir, qui a démarré ses activités en janvier 2022, est la première institution de microfinance islamique du Sénégal. Elle s’est spécialisée dans l’octroi de solutions financières adaptées aux PME ainsi qu’au secteur informel. Ces PME, qui représentent l’épine dorsale des économies dans l’UEMOA, sont davantage financées au détriment des grandes entreprises, selon un rapport publié en septembre dernier par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).

    Chamberline Moko



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