Les autorités togolaises, habituées des médiations en Afrique de l’Ouest, entendent désormais jouer un rôle au Soudan, déchiré par la guerre ouverte que se livrent, depuis mi-avril, les généraux Abdel Fattah al-Burhane, qui dirige l’armée, et Mohamed Hamdan Daglo, dit Hemetti, qui commande les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR).