Category: Economie

  • Le chinois Zhejiang Hailiang investira 288 millions $ dans l’industrie du cuivre au Maroc

    Le chinois Zhejiang Hailiang investira 288 millions $ dans l’industrie du cuivre au Maroc

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    (Agence Ecofin) – La future usine de matériaux en cuivre devrait permettre au groupe de contourner les tensions géopolitiques opposant Pékin aux pays occidentaux pour mieux servir ses clients en Europe, en Amérique, au Moyen-Orient et en Afrique.  

    Le groupe chinois Zhejiang Hailiang a annoncé, le mardi 7 mai 2024, qu’il envisage de construire une usine spécialisée dans la production de matériaux en cuivre, dont des feuilles pour les batteries électriques au lithium, au Maroc pour un montant de 288 millions de dollars.

    Cet important producteur de tubes et de barres en cuivre a précisé, dans un document déposé à la Bourse de Shenzhen, que la future usine vise à mieux servir ses clients en Europe, en Amérique, au Moyen-Orient et en Afrique, car les tensions géopolitiques font peser des risques considérables sur le commerce et les chaînes d’approvisionnement.

    Zhejiang Hailiang a multiplié, ces dernières années, les implantations industrielles à l’étranger, en raison de la baisse des marges dans son marché domestique et des restrictions accrues imposées aux produits chinois par de nombreux pays occidentaux.

    En 2023, le groupe avait annoncé la construction d’une usine de feuilles de cuivre pour batteries au lithium d’une capacité de 50 000 tonnes en Indonésie. Il possède également des sites industriels aux Etats-Unis, en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne, au Vietnam et en Thaïlande.   

    La nouvelle infrastructure devrait produire 50 000 tonnes d’alliages, 35 000 tonnes de tubes, 40 000 tonnes de barres et 25 000 tonnes de feuilles par an. Sa construction devrait s’étaler sur une période de 36 mois.

    Le Maroc a conclu des accords de libre-échange avec de nombreux pays occidentaux, dont les Etats-Unis, l’Union européenne, ce qui lui permet d’accéder plus facilement à ces marchés, a indiqué M. Hailiang, indiquant que le projet bénéficiera également d’un faible coût des matières premières grâce aux importants gisements de cuivre dont dispose l’Afrique. 

    Lire aussi:

    25/03/2024 – Maroc : le chinois Hunan Zhongke Shinzoom prévoit d’investir 500 millions $ dans une usine d’anodes pour batteries

    26/01/2024 – Le chinois Aeolon construit une usine de fabrication de pales d’éoliennes d’une valeur de 245 millions $ au Maroc

    09/01/2024 – Maroc : le chinois BTR New Material Group investira 497 millions $ dans une usine de cathodes de batteries électriques

    20/09/2023 – Maroc : un fabricant chinois de composants de batteries électriques investira 2 milliards $ en association avec Al Mada

    01/06/2023 – Maroc : le chinois Gotion High Tech va investir 6,3 milliards $ dans une méga-usine de batteries électriques



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  • Absa Group ouvre une filiale en Chine pour accompagner les investisseurs en Afrique

    Absa Group ouvre une filiale en Chine pour accompagner les investisseurs en Afrique

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    (Agence Ecofin) – Le groupe présent dans douze pays africains poursuit son expansion hors du continent, avec le lancement d’une entité qui proposera des services de conseil à des clients chinois. 

    Le groupe bancaire sud-africain Absa Group a inauguré, ce mercredi 8 mai 2024, une filiale non bancaire en Chine pour capter une partie des opportunités liées à l’augmentation des investissements chinois en Afrique et des échanges commerciaux bilatéraux.

    Cette filiale « fournira des services de conseil aux clients chinois désirant conclure des transactions en Afrique » et « réalisera des études sur l’environnement macroéconomique ou les valeurs mobilières destinées à des entreprises et des clients institutionnels en Chine », a précisé Absa Group dans un communiqué.

    « Notre décision d’établir une présence en Chine a été motivée par notre ambition de mieux relier le commerce, les flux d’investissement et les clients à l’Afrique, où nous les servirons à travers notre vaste empreinte continentale. Absa Group connaît parfaitement l’Afrique et cherche à être un partenaire de choix pour les entreprises qui cherchent à accéder à des opportunités sur le continent », a expliqué Arrie Rautenbach, DG du groupe bancaire présent dans douze marchés africains, cité dans le même communiqué.  

    Et d’ajouter : « le continent africain est doté de talents, de richesses minérales et d’une population jeune, et il est prêt à jouer un rôle de plus en plus influent dans le commerce mondial, car les investisseurs reconnaissent son statut de dernière véritable frontière de la croissance à l’échelle internationale ».

    L’empire du Milieu est le premier partenaire commercial de l’Afrique, avec des échanges d’une valeur de 282 milliards de dollars en 2023. Il est également un important investisseur sur le continent, notamment dans les domaines de l’exploitation des ressources naturelles et de la construction des infrastructures.

    Lire aussi:

    05/02/2024 – Afrique du Sud : Absa Group ouvre une filiale non bancaire en Chine et poursuit son développement à l’international

    11/12/2019 – Le groupe bancaire sud-africain Absa Bank cible une expansion de ses services de banque d’investissement en Chine

    11/03/2024 – Chine-Afrique : les échanges commerciaux ont augmenté de 13,9% durant les 2 premiers mois de 2024, à 47,6 milliards $

    30/01/2024 – Chine-Afrique : les échanges commerciaux ont augmenté de 1,5% en 2023, à 282 milliards $



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  • La fintech sud-africaine Lesaka propose 86 millions $ pour racheter sa concurrente Adumo

    La fintech sud-africaine Lesaka propose 86 millions $ pour racheter sa concurrente Adumo

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    (Agence Ecofin) – Après la société Touchsides en février dernier, l’entreprise de services financiers cible le secteur des paiements sud-africain. Elle envisage ainsi de renforcer son offre technologique et de services en Afrique.

    Lesaka Technologies, une entreprise sud-africaine engagée dans la fourniture de services financiers, a fait une offre de rachat de sa concurrente Adumo, pour 85,9 millions $. L’opération a été annoncée ce mercredi 8 mai 2024 sur la Bourse de Johannesburg où Lesaka est cotée. La transaction, qui sera financée en espèces par des ressources de trésorerie interne et un financement externe, permettra à l’entreprise de se renforcer dans le secteur financier africain.

    Adumo, plus grand processeur de paiement indépendant d’Afrique du Sud, desservant des PME clientes dans plus de 13 pays africains, pourrait en cas d’approbation de ce rachat par les régulateurs, combiner son offre technologique et de paiements à celle de Lesaka. Cette dernière élargira sa proposition de valeur en Afrique du Sud et au-delà. Elle servira désormais 1,7 million de consommateurs actifs, 119 000 commerçants et comptera des collaborateurs en Afrique du Sud, en Namibie, au Botswana, en Zambie et au Kenya.

    « L’acquisition imminente d’Adumo est une étape importante pour Lesaka. La clientèle d’Adumo nous donnera accès à plus de 245 000 consommateurs et à des technologies de paiement que nous pouvons intégrer à nos opérations existantes », a indiqué Lincoln Mali (photo), directeur général de la branche sud-africaine de Lesaka.

    La finalisation de l’offre est annoncée pour fin septembre 2024, sous réserve de l’approbation des actionnaires et des autorités réglementaires. Une fois achevée, Paul Kent, directeur d’Adumo, rejoindra l’équipe de direction de Lesaka Technologies.

    La firme avait émis en février dernier, une offre de rachat de la société de données et d’analyse de marchés, Touchsides, appartenant à Heineken.

    Chamberline Moko



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  • Ecobank : points sur les principales performances régionales en 2023

    Ecobank : points sur les principales performances régionales en 2023

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    (Agence Ecofin) – L’UEMOA continue de dominer sur plusieurs indicateurs. Mais sur certains points, d’autres régions de présence du groupe ETI ont affiché des performances notables. La question nigériane est à suivre

    Le groupe bancaire panafricain Ecobank Transnational Incorporated (ETI), basé à Lomé au Togo, a connu en 2023 des dynamiques diverses de performance sur ses principales régions d’exploitation, selon des détails des résultats financiers consultés par l’Agence Ecofin. Même si le bloc des filiales exploitées dans le cadre de l’Union économique et monétaire ouest-africaine continue d’être le plus important en termes de contributions, d’autres marchés ont affiché des performances notables sur la période.

    L’UEMOA maintient son leadership 

    Malgré des défis sociopolitiques liés aux trois pays du Sahel qui vivent des transitions politiques incertaines, l’UEMOA est demeurée le leader sur l’ensemble des marchés d’Ecobank. Cela a été le cas pour ce qui est des produits nets bancaires (666 millions $) et des bénéfices avant impôts (18 millions $). Le groupe a bénéficié de la légère augmentation des taux sur les prêts à la clientèle, et d’un accroissement du portefeuille des facilités accordées aux entreprises.

    La sous-région représentait aussi à fin 2023, 47,2% des créances nettes sur la clientèle et 40,7% des dépôts de la clientèle du groupe. On y relève également le niveau le plus faible des créances douteuses avec un ratio de 1,5% contre une moyenne du groupe de 5,4%, et le meilleur niveau de couverture de ces créances à risque (164%). Cependant, l’UEMOA doit encore s’améliorer sur le plan du rendement des fonds propres. Elle n’est que troisième avec un ratio de 28,1% et quatrième sur le rendement des actifs, avec un ratio de 2,5%.

    Remontée notable des marchés d’Afrique centrale, de l’Est et australe

    La zone géographique regroupant l’Afrique centrale, de l’est et australe (sud) ou zone CESA, a affiché une progression consistante en termes de performances, légèrement handicapée par l’hyperinflation monétaire au Zimbabwe. En effet, Ecobank y a enregistré une perte comptable exceptionnelle de 40 millions $. Cette situation a privé ce marché d’être le premier du groupe en termes de bénéfice avant impôts.

    Il se situe néanmoins à la deuxième place avec un chiffre déclaré de 287 millions $, après avoir réalisé le meilleur résultat avant impôts et dépréciation d’actifs (EBITDA) à 355 millions $, juste derrière celui de la zone UEMOA (353 millions $). Ce marché affiche également le meilleur rendement des fonds propres du groupe (32,8%) et le meilleur rendement des actifs (3,4%). Même si le niveau de transformation des dépôts en crédit y est faible, le peu de crédit accordé offre un rendement comptable de 20%. Enfin, le CESA a généré les meilleurs revenus hors activités de prêts du groupe (327 millions $).

    L’Afrique de l’Ouest anglophone au rythme du Ghana 

    Le marché des filiales situées dans les pays anglophones d’Afrique de l’Ouest (AWA) a également connu une certaine dynamique. Il a généré les meilleurs revenus d’intérêts perçus sur les prêts accordés à la clientèle (426 millions $). Son bénéfice avant impôt de 224 millions $ est modeste par rapport à celui de la région CESA ou de l’UEMOA. Cependant, il a affiché la meilleure progression de cet indicateur (+80%), comparativement à l’année 2022.

    La situation au Ghana, qui abrite la principale filiale de ce cluster, a impacté ces performances. Pour faire reculer une inflation qui a dépassé les 47%, la Banque centrale de ce pays (BoG) a continué d’augmenter les taux. Or, dans le même temps, le cédi ghanéen, qui avait perdu beaucoup de valeur en milieu d’année, a recommencé à se renforcer, ce qui a permis une réduction des pertes potentielles sur les transactions de change.

    On aurait même pu avoir de meilleurs revenus d’intérêt. L’institution dit n’avoir pas comptabilisé des revenus déjà acquis de l’ordre de 39 millions $ sur un eurobond du gouvernement ghanéen, car les discussions avec les détenteurs de ces obligations sont encore en cours et n’ont pas toujours abouti. Cette opération a aussi en quelque sorte plombé les charges sur les performances de la filiale ghanéenne.

    Le Nigeria toujours en question

    Le Nigeria continue d’être un marché déterminant avec une solide base dans le bilan du groupe. Ainsi, la valeur de ses actifs (4,4 milliards $) représente 40,7% de celle de l’UEMOA, 87,2% pour la zone AWA et environ 63% pour la zone CESA. Le groupe a continué à naviguer entre risques de liquidités et opportunités offertes par la hausse des taux et une demande accrue de liquidités par les acteurs économiques

    1 Schema.

    Dans ce schéma et bien que le Nigeria soit un important marché en termes de potentiel, la question de son poids dans le groupe reste une fois de plus posée. Les fonds propres qui y sont concentrés représentent près de 20% de l’ensemble du groupe, mais n’ont généré qu’une rentabilité de 4,5%, contre une performance consolidée de 25%. Le total de ses actifs, qui pèse 16,2% de l’ensemble, n’a généré qu’un retour sur investissement de 0,4%.

    Le groupe n’a pas fait de déclarations publiques sur les enseignements appris de cette diversité de performances. Mais dans une interview accordée à l’Agence Ecofin début janvier 2024, Jeremy Awori, le directeur général du groupe, avait annoncé : « la diversification est un élément clé de notre stratégie. Lorsque nous avons analysé les performances de nos activités dans ces 35 pays, nous avons également fait appel à des experts pour identifier les opportunités ».



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  • BNP Paribas ferme sa filiale de banque de financement et d’investissement en Afrique du Sud

    BNP Paribas ferme sa filiale de banque de financement et d’investissement en Afrique du Sud

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    (Agence Ecofin) – Après la cession de ses filiales dans plusieurs pays africains, dont le Burkina Faso, le Mali, la Tunisie et la Côte d’Ivoire, BNP Paribas poursuit la cure d’amincissement de son portefeuille sur le continent.  

    Le groupe bancaire français, BNP Paribas, a fermé sa filiale spécialisée dans la banque de financement et d’investissement en Afrique du Sud, a rapporté Bloomberg le mardi 7 mai 2024, citant un porte-parole de l’établissement.

    « Nous pouvons confirmer que nous avons fermé BNP Paribas Corporate and Investment Bank South Africa. D’un point de vue juridique, l’approbation de cette fermeture par le régulateur a été donnée en avril 2024 », a précisé le porte-parole.

    Dans un avis daté du 19 avril dernier, la Banque centrale sud-africaine (SARB) avait, en effet, annoncé avoir retiré à BNP Paribas l’autorisation de « mener des activités bancaires par le biais d’une succursale » à compter du 8 mars.

    La fermeture de BNP Paribas Corporate and Investment Bank South Africa marque la poursuite du désengagement de BNP Paribas du continent africain. Le premier groupe bancaire français en termes d’actifs a déjà cédé, ces dernières années, ses filiales au Burkina Faso, au Mali, en Guinée, au Sénégal, en Tunisie et en Côte d’Ivoire, dans le cadre d’un plan de recentrage de ses activités sur les marchés européens et asiatiques.

    Ces cessions se situent dans le cadre d’un plus vaste mouvement de retrait des banques françaises du continent africain, comme en atteste la forte réduction de la présence des groupes Société Générale, BPCE et Crédit Agricole.  

    Lire aussi:

    29/09/2022 – Avec la reprise de la BICICI, les français BNP Paribas et Proparco sortent du capital 

    01/05/2024 – Le retrait des banques françaises de l’Afrique stimulera le développement des banques panafricaines (Fitch Ratings)

    01/08/2022 – BNP Paribas propose de vendre ses 54,11 % de parts au capital de la banque sénégalaise Bicis, au groupe Sunu

    23/06/2021 – BNP Paribas finalise la cession de sa filiale au Burkina Faso au profit de Vista Bank Group

    17/03/2021 – Tunisie : BNP Paribas finalise la vente de 39 % de ses parts au sein de l’UBCI et conserve une minorité de 11,09 %

    18/12/2020 – AFG finalise l’acquisition des filiales BNP Paribas aux Comores, au Gabon et au Mali



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  • Ascent entre au capital de Dune Packaging leader de l’emballage au Kenya

    Ascent entre au capital de Dune Packaging leader de l’emballage au Kenya

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    (Agence Ecofin) – Après les secteurs de la santé et des services financiers, Ascent Rift Valley Fund II s’engage dans l’industrie de l’emballage en Afrique de l’Est.

    Le fonds de capital-investissement Ascent Rift Valley Fund II (ARVF II), géré par Ascent Capital Management Africa II et domicilié à Maurice, a acquis une part minoritaire au capital du fabricant d’emballages Dune Packaging Ltd, leader de l’emballage au Kenya. La transaction a été rapportée ce début du mois de mai par les médias locaux.

    Dune Packaging utilisera les fonds mobilisés pour soutenir son activité. Opérant en Afrique de l’Est, l’entreprise renforcera sa croissance organique et non organique, et poursuivra son développement dans le secteur de l’emballage dans la région.

    « L’investissement d’Ascent valide non seulement notre leadership sur le marché, mais nous fournit également les ressources et l’expertise nécessaires pour poursuivre de manière ambitieuse nos objectifs de croissance », a indiqué Rohin Chandaria, directeur général de Dune Packaging.

    ARVF II est un fonds de 128 millions $, clôt en septembre 2022. Il investit dans des petites et moyennes entreprises (PME) en Afrique de l’Est, en ciblant une diversité de secteurs d’activités. Il a déjà investi dans le secteur de la santé au Kenya (au sein de l’hôpital Valley et de l’hôpital Diani Beach) et dans celui des services financiers.

    Chamberline Moko



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  • L’américain Amazon lance sa plateforme de commerce électronique en Afrique du Sud

    L’américain Amazon lance sa plateforme de commerce électronique en Afrique du Sud

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    (Agence Ecofin) – Après avoir fait ses premiers pas en Egypte en 2017, le géant américain de la vente en ligne prend pied dans le pays le plus industrialisé du continent, où il devrait croiser le fer avec la plateforme locale Takealot.

    La firme américaine de commerce électronique Amazon a lancé, ce mardi 7 mai 2024, son service de vente en ligne en Afrique du Sud, prenant ainsi pied dans un marché dominé par des acteurs locaux dont la plateforme Takealot, créée en 2011 par le conglomérat Naspers.

    Amazon a souligné, dans un communiqué que ses clients sud-africains « peuvent désormais faire leurs achats auprès d’une grande variété de marques locales et internationales dans 20 catégories de produits », indiquant que la plateforme Amazon.co.za « offre une expérience d’achat en ligne fiable et de grande valeur, y compris la livraison le jour même et le lendemain, plus de 3000 points de retrait, des retours faciles et une assistance clientèle 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 ».

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    Les acheteurs bénéficieront d’une livraison gratuite lors de leur première commande, puis d’une livraison gratuite pour les commandes suivantes à partir de 500 rands (27,07 dollars).

    « Nous sommes ravis de lancer Amazon.co.za, avec des milliers de vendeurs indépendants en Afrique du Sud. Nous offrons à nos clients un excellent rapport qualité-prix, un large choix de produits – y compris des produits internationaux et locaux – et une expérience de livraison pratique », a déclaré Robert Koen (photo), directeur général d’Amazon en Afrique subsaharienne, cité dans le communiqué.

    Le groupe du milliardaire américain Jeff Bezos n’est pas à son premier investissement sur le continent dans le domaine du commerce électronique. Il a déjà racheté en 2017 « Souq.com », le numéro 1 de la vente en ligne en Egypte et au Moyen-Orient avec 45 millions de visiteurs par mois, pour 600 millions de dollars.

    Stimulé par la pandémie de covid-19, le commerce électronique est en plein essor en Afrique. Les revenus de ce secteur sur le continent devraient dépasseront 46 milliards de dollars en 2025 contre 28 milliards en 2021 et 7,7 milliards en 2020, selon un rapport publié fin 2022 par le cabinet de conseil en économie numérique TechCabal Insights.

    Le nombre d’acheteurs en ligne sur le continent devrait, quant à lui, dépasser de 500 millions en 2025 contre environ 139 millions en 2017, d’après la même source.

    Lire aussi:

    27/01/2023 – Les revenus du commerce électronique en Afrique dépasseront 46 milliards $ en 2025 (rapport)

    14/05/2021 – Kenya : Safaricom discute avec Amazon sur l’intégration de M-Pesa à la plateforme d’e-commerce

    21/08/2020 – Amazon veut étendre ses activités d’e-commerce en Egypte

    29/03/2017 – Naspers a cédé ses actions à l’Américain Amazon qui a racheté le site de e-commerce Souq.com

    12/04/2017 – Naspers investit 69,8 millions $ dans le e-commerce en Afrique du Sud, après la vente de ses parts dans Souq.com



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  • Vivo Energy CI : des progrès attendus, malgré une accélération du bénéfice

    Vivo Energy CI : des progrès attendus, malgré une accélération du bénéfice

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    (Agence Ecofin) – Le bénéfice net du 1er trimestre 2024 est au-delà du milliard fcfa. Cette performance est davantage le fait de la hausse des prix et au final, le ratio de marge nette doit encore se hisser au niveau des standards du secteur de la distribution des produits pétroliers.

    Vivo Energy Côte d’Ivoire, la filiale ivoirienne spécialisée dans la distribution de produits pétroliers du groupe anglo-néerlandais Shell, a récemment publié des résultats financiers provisoires pour le premier trimestre 2024. L’entreprise dit avoir enregistré un bénéfice net de 1,28 milliard fcfa (1,6 millions de dollars), marquant une hausse de 48% par rapport à la même période l’année précédente. Cette croissance est d’autant plus significative qu’elle représente la plus forte augmentation de la période depuis 2017.

    Pour la première fois, le bénéfice net de Vivo Energy CI dépasse le milliard fcfa au cours d’un premier trimestre. Cette performance est principalement attribuée à une augmentation de 9% des volumes vendus, couplée à une hausse des prix moyens à la pompe entre 2023 et 2024. Ces éléments ont été soulignés dans la communication financière de l’entreprise. Mais on note une légère variation de contexte par rapport aux années précédentes comme le niveau des prix de l’essence en Côte d’Ivoire.

    Malgré ces résultats positifs, l’entreprise doit continuer d’optimiser ses marges pour rester attractive aux yeux des investisseurs de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) d’Abidjan, où elle est cotée. A titre de comparaison, TotalEnergies Sénégal, avec un chiffre d’affaires nettement inférieur de 124 milliards fcfa, a déclaré un bénéfice net de 2,3 milliards fcfa pour le même trimestre, alors que celui-ci a chuté de 26% par rapport à l’année précédente.

    Par ailleurs, TotalEnergies Côte d’Ivoire, principal concurrent de Vivo Energy CI, a réalisé un bénéfice net de 3,2 milliards fcfa pour le trimestre, en hausse de 18,9% par rapport à 2023. Ce résultat traduit un ratio de bénéfice sur chiffre d’affaires (ratio de marge nette) de 2%, comparativement à 0,8% pour Vivo Energy CI. Dans le secteur de la distribution de produits pétroliers, un ratio de marge nette entre 1% et 5% est généralement considéré comme standard.

    Notons que Shell détient 66,7% des parts de l’entreprise, tandis que 28,3% des actions sont disponibles sur le marché boursier. Bien que l’action de Vivo Energy CI ne figure pas parmi les plus actives de la BRVM, avec un volume moyen de transactions ne dépassant pas 500 millions fcfa par an, elle reste une composante essentielle pour les portefeuilles d’investisseurs. Cependant, malgré un bénéfice net record pour le début de l’année 2024, le cours de l’action a baissé de 3,16%, soulignant la nécessité pour l’entreprise de consolider ses gains pour améliorer la valeur pour ses actionnaires.



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  • La CRRH-UEMOA dégage un résultat net en hausse de 180% et conforte son plan stratégique 2023-2027

    La CRRH-UEMOA dégage un résultat net en hausse de 180% et conforte son plan stratégique 2023-2027

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    (CRRH-UEMOA) – Au terme de la première année de mise en œuvre de son nouveau plan stratégique 2023-2027, la Caisse Régionale de Refinancement Hypothécaire de l’UEMOA (CRRH-UEMOA) enregistre une croissance significative de son résultat net à 1,3 milliards de FCFA au 31 décembre 2023, affichant une augmentation remarquable de 180% par rapport à l’année précédente. Cette performance exceptionnelle découle principalement d’une croissance significative du Produit Net Bancaire (PNB) de 21% et d’une gestion rigoureuse des charges.

    Cette dynamique positive est confirmée avec une augmentation de 50% du total bilan qui atteint 300 milliards de FCFA à la fin de l’année 2023. 

    Plan stratégique 2023-2027 : Des débuts prometteurs

    Le démarrage réussi du plan stratégique 2023-2027, est un jalon majeur pour la CRRH-UEMOA. Le niveau record de refinancements (41 milliards de FCFA) accordés aux banques et aux Systèmes Financiers Décentralisés (SFD) des pays de l’Union réalisé sur le seul exercice 2023, porte le total des refinancements de la CRRH-UEMOA depuis sa création, à plus de 320 milliards de FCFA, soit l’équivalent de plus de 15 000 unités de logements.

    S’inscrivant dans sa nouvelle dynamique d’être un partenaire majeur du financement du logement abordable dans l’Union, la CRRH-UEMOA a signé avec la Banque de l’Habitat du Sénégal (BHS), un accord inédit sur le marché qui a pour objectif, de mettre en place la première opération de titrisation de prêts hypothécaires dans l’UEMOA, en partenariat avec l’arrangeur BOAD Titrisation.

    Un protocole d’accord stratégique a également été conclu avec le Fonds de Solidarité Africain (FSA) pour le lancement d’une solution innovante de Garantie de Prêt au Logement (GPL) d’une valeur totale de 125 milliards de FCFA, destinée à soutenir les banques et les SFD de l’UEMOA. 

    Augmentation de Capital

    Pour accompagner son ambitieux plan stratégique qui vise à tripler l’impact de ses financements sur la période du prochain quinquennat, la CRRH-UEMOA a procédé à une augmentation de capital de 1 925 millions FCFA à laquelle a entièrement souscrit son actionnaire principal, la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD).

    A la suite de cette opération, la CRRH-UEMOA ouvre la seconde phase de son programme d’augmentation de capital qui s’adresse principalement aux autres investisseurs institutionnels déjà présents dans son actionnariat, ainsi qu’aux banques de l’Union. 

    Approche axée sur le client pour un Impact Durable

    La nouvelle vision de la CRRH-UEMOA se concentre sur une approche centrée sur les clients, à savoir les banques de l’UEMOA. Elle vise à répondre aux besoins de ces dernières et à les

    accompagner dans le développement de leurs activités de prêts au logement pour les ménages. Dans cette optique, et afin d’accroître encore davantage son impact sur l’écosystème de l’habitat, les activités de refinancement de la CRRH-UEMOA sont désormais ouvertes aux banques non-actionnaires.

    Enfin, la CRRH-UEMOA saisit les opportunités de mobilisation de ressources longues à des taux attractifs pour en faire bénéficier les banques, comme l’atteste la récente opération de levée de ressources de 205 millions d’euros (134,4 milliards de FCFA) sur le marché financier international, avec la garantie de DFC (US International Development Finance Corporation – institution américaine de financement du développement), portant ainsi à plus de 415 milliards de FCFA le montant des ressources longues mobilisées depuis sa création.

    Renforcement de l’équipe

    Pour soutenir cette croissance et renforcer ses capacités, la CRRH-UEMOA continue d’étoffer son équipe avec le recrutement de collaborateurs hautement qualifiés à des postes clés.

    Elle reste résolument engagée dans sa mission de promouvoir l’accès au logement et de soutenir le développement économique durable des pays de l’Union. 

    Pour Monsieur Thierry TANOH, Président du Conseil d’Administration de la CRRH-UEMOA :

    “Notre nouveau plan stratégique, les axes qu’il porte et nos solutions novatrices en matière de financement immobilier interviennent à un moment crucial pour répondre aux besoins pressants de notre région en matière de logement. La compétence affirmée de Mme Yedau OGOUNDELE, la Directrice Générale, et la qualité de ses équipes, augurent de la poursuite sous les meilleurs auspices de la mise en œuvre de notre plan quinquennal, qui je le rappelle, a été soutenu à l’unanimité par notre Conseil d’Administration.

    En tant que Président du Conseil d’Administration de la CRRH-UEMOA, je me félicite de la bonne exécution du programme des activités de notre institution en 2023. Notre engagement envers le financement du logement dans la région et notre volonté d’innover commencent à porter leurs fruits, comme en témoignent nos résultats financiers solides et notre plan stratégique ambitieux. Je suis convaincu que les initiatives en cours, renforceront notre impact et contribueront de manière significative et sur le long terme, au développement économique et social de nos pays membres.” 

    A propos de la CRRH UEMOA

    Fruit de la coopération engagée en 2005 par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et l’autorité des Marchés Financiers de l’UMOA (AMF-UMOA), pour la mise en place d’un marché hypothécaire dans les pays de l’UEMOA, la CRRH-UEMOA est une institution financière régionale de premier plan dans le domaine du financement du logement. Catalyseur du développement de l’habitat à travers des solutions innovantes, diversifiées et à l’échelle qui facilitent le financement de l’ensemble de l’écosystème immobilier, sa mission est de promouvoir l’accès au logement dans les pays de l’UEMOA. La CRRH-UEMOA travaille en étroite collaboration avec les banques, les institutions de microfinance et d’autres parties prenantes pour élargir l’accès au financement du logement et améliorer les conditions de vie des ménages à travers les pays de l’UEMOA.



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  • Bientôt des fiducies de placement immobilier et des fonds indiciels cotés à la Bourse de Casablanca

    Bientôt des fiducies de placement immobilier et des fonds indiciels cotés à la Bourse de Casablanca

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    (Agence Ecofin) – Dès novembre 2024, la place financière espère attirer aussi bien des entreprises privées que des entités figurant dans le portefeuille de l’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’Etat et de suivi des performances des établissements et entreprises publics.

    La Bourse de Casablanca prévoit de lancer des fiducies de placement immobilier (Real Estate Investment Trusts/REIT) et des fonds indiciels cotés (Exchange Traded Funds/ETF) et d’attirer trois à cinq nouvelles entreprises par an pour renforcer son rôle dans l’économie marocaine, a rapporté Reuters le vendredi 3 mai 2024, citant un dirigeant de cette place financière.

    « L’ajout des fonds indiciels cotés et des fiducies de placement immobilier dès le mois de novembre prochain permettra d’investir beaucoup plus dans l’économie réelle, dans les entreprises non cotées et, à terme, d’introduire ces entreprises en bourse », a déclaré le directeur général de la Bourse, Tarik Senhaji (photo). Et d’ajouter : « la Bourse vise à relancer les cotations en travaillant avec des organisations patronales, des cabinets d’expertise comptable et des responsables du gouvernement, après quatre introductions seulement au cours de la période 2021-2023 ».

    M Senhaji a également indiqué que la place financière de Casablanca, dont la capitalisation tourne autour de 62 milliards de dollars, espère attirer aussi bien des entreprises privées que des entités figurant dans le portefeuille de l’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’Etat et de suivi des performances des établissements et entreprises publics (ANGSPE).  

    « Les réformes gouvernementales qui ont transféré les entreprises publiques, dont la Royal Air Maroc à l’Office Chérifien des Phosphates, une agence unique chargée de les réorganiser ou de les moderniser, pourraient également stimuler les cotations. Nous sommes très enthousiastes à propos de cette agence et de ce qu’elle va faire. Je suis presque sûr qu’elle réfléchira à des cotations en bourse », a-t-il dit. 

    Pour rappel, un fonds indiciel coté en bourse est un véhicule d’investissement qui suit l’évolution d’un indice boursier dont il reproduit la performance, à la hausse comme à la baisse. Ces fonds, qui appartiennent à la famille des organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM), facilitent la diversification des portefeuilles des investisseurs en permettant une exposition instantanée à des titres différents avec un produit unique.

    Les fiducies de placement immobilier sont, quant à elles, des sociétés cotées qui investissent directement dans l’immobilier pour leurs actionnaires en vue de produire des revenus locatifs ou hypothécaires.

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