Category: Economie

  • Nigeria : MTN réduit une part de sa dette en devises de 173 millions $

    Nigeria : MTN réduit une part de sa dette en devises de 173 millions $

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    (Agence Ecofin) – Cette réduction de la dette internationale survenue au 1er trimestre 2024 se fait au détriment des investissements qui eux seront rationalisés et optimisés. C’est l’une des nombreuses complications de la nouvelle politique de change pour plusieurs entreprises nigérianes.

    MTN Nigeria a annoncé une réduction de 173,2 millions $, au cours du premier trimestre 2024, sur son exposition aux lettres de crédit, ces documents émis par les banques pour garantir les paiements dus aux fournisseurs. Dans un récent communiqué, l’entreprise a révélé avoir ramené le montant de « ses engagements non réglés de 416,6 millions de dollars au 31 décembre 2023 à 243,4 millions de dollars au 31 mars 2024 ».

    Pour parvenir à ce résultat, MTN Nigeria dit avoir mobilisé ses réserves de trésorerie en naira, spécifiquement allouées à ces engagements. De plus, l’appréciation de 53,6% de la monnaie locale face au dollar américain depuis le début de l’année, la deuxième meilleure performance monétaire en Afrique, a joué un rôle clé dans cette réduction.

    Cette situation met en lumière les conséquences à court terme de la politique de gestion des réserves de change introduite par le président nigérian, Bola Tinubu, dès son arrivée au pouvoir en juin 2023. Pour les entreprises locales dont une part importante des dépenses d’exploitation ou d’investissement dépend de fournisseurs étrangers, les conditions pour générer de la rentabilité sont devenues plus complexes.

    Malgré ces défis, MTN Nigeria s’engage à honorer les remboursements de sa dette extérieure. Mais cela dépendra de l’évolution du naira. A l’instar d’autres filiales de multinationales confrontées à une situation similaire, comme Nigerian Breweries et PZ Cussons, l’entreprise a dû consentir à une réduction de ses dépenses, en commençant par les investissements.

    MTN Nigeria explique : « avec la rationalisation continue des dépenses d’investissement (CAPEX), ces réserves seront progressivement réduites. La société s’engage à poursuivre l’allocation de ressources nécessaires pour atténuer ses expositions aux obligations libellées en dollars américains ».

    Maintenant que les licences de télécommunications sont sécurisées, l’entreprise prévoit d’optimiser l’infrastructure existante, de renégocier les contrats sur les tours et d’introduire les technologies de pointe uniquement lorsque cela est strictement nécessaire.

    Les investisseurs restent attentifs aux informations provenant de MTN Nigeria. Au cours des sept derniers jours, la valeur de son action a progressé de 6,4% à la Bourse de Lagos. Cependant, sur les douze derniers mois, elle affiche un recul de 6,1%, et l’entreprise a perdu son statut de société la plus valorisée sur le marché financier nigérian.

    Selon des données consultées par l’Agence Ecofin, des investisseurs professionnels tels que Mazi Asset Management ont réduit leur exposition de 47,9%. Toutefois, les investisseurs internes semblent plus confiants, comme en témoigne la hausse de 93,4% de la participation de Karl Toriola, le directeur général de l’entreprise. Ce signal laisse entendre que bien que MTN Nigeria traverse une période difficile, la société est convaincue de sa capacité à surmonter ces obstacles.



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  • Cofina CI : déjà 2,2 millions $ de prêts octroyés au secteur agricole dans le cadre de l’accord avec la BEI

    Cofina CI : déjà 2,2 millions $ de prêts octroyés au secteur agricole dans le cadre de l’accord avec la BEI

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    (Agence Ecofin) – Après la conclusion en septembre 2023 d’un accord de financement de 26 millions d’euros (28 millions de dollars) avec le groupe Cofina, la BEI fait le point sur cette facilité.

    Dans une note publiée ce vendredi 3 mai 2024, la Banque européenne d’investissement (BEI) annonce que 24 prêts, d’un montant global de 2,1 millions d’euros (2,2 millions de dollars), ont déjà été octroyés par Cofina CI dans le cadre de l’accord conclu entre la banque européenne et le groupe africain de mésofinance.

    Les bénéficiaires de ces prêts sont des coopératives agricoles ivoiriennes, évoluant majoritairement dans la filière cacao.

    Cofina CI dispose encore d’environ 14 millions d’euros de financements à rétrocéder à des PME et entreprises ivoiriennes de taille intermédiaire, actives dans les chaînes de valeur agricoles, d’ici 2025.

    Pour rappel, en septembre 2023, la BEI a accordé un financement de 26 millions d’euros (28 millions de dollars) à la Compagnie financière africaine (Cofina) pour le développement de chaînes de valeur agricoles en Afrique de l’Ouest. La filiale ivoirienne du groupe africain de mésofinance avait obtenu 16 millions d’euros. 10 millions d’euros ont été accordés à sa filiale sénégalaise opérant dans 8 pays du continent.

    Chamberline Moko



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  • Beltone Holding lance une plateforme de crédit de 100 millions $ pour les exportateurs égyptiens

    Beltone Holding lance une plateforme de crédit de 100 millions $ pour les exportateurs égyptiens

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    (Agence Ecofin) – L’infrastructure ciblera des sociétés d’export leader dans leurs secteurs, à qui elle proposera des solutions sur mesure.

    Beltone Investment Holding (BIH), filiale du groupe égyptien de services financiers Beltone Holding, a annoncé le mardi 30 avril 2024, le lancement d’une plateforme de crédit privée de 100 millions $ afin de répondre aux besoins de financement d’entreprises exportatrices égyptiennes de toutes tailles.

    L’infrastructure ciblera des sociétés d’export leader dans leurs secteurs auxquelles elle proposera des solutions financières sur mesure permettant de développer leurs opérations offshore ou d’accroître leurs services.

    Par ce biais, Beltone espère « construire la prochaine génération de géants égyptiens qui porteront le drapeau du pays dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord et au-delà », a déclaré Mohamed Aboulfadl, directeur de la filiale banque d’investissement chez Beltone. « L’Egypte abrite un grand nombre d’entreprises, qui seront les futures pierres angulaires d’une économie diversifiée, tournée vers l’exportation et ancrée dans les industries traditionnelles et dans les secteurs de demain », a déclaré Dalia Khorshid, PDG de Beltone Holding.

    Ce soutien financier émanera d’un prêt consenti par l’actionnaire principal de Beltone.

    La plateforme qui a reçu toutes les approbations réglementaires requises pour lancer ses opérations, augmentera sa taille au fil du temps et en fonction de la demande sur le marché.

    Chamberline Moko



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  • Nigeria : un bénéfice avant impôts historique pour Guaranty Trust au 1er trimestre 2024

    Nigeria : un bénéfice avant impôts historique pour Guaranty Trust au 1er trimestre 2024

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    (Agence Ecofin) – Aucune banque au Nigeria n’a jamais atteint les 369 millions $ de bénéfice avant impôts. Cette performance est une combinaison qui implique une hausse des taux et la dépréciation du naira.

    Guaranty Trust Holding Company (GTCO), une des banques importantes au Nigeria, a annoncé un bénéfice avant impôts de 509,3 milliards de nairas (369 millions $) pour le compte du premier trimestre 2024. C’est 7 fois celui de la même période en 2023, et surtout, une performance record de cet indicateur, dans l’histoire du secteur bancaire au Nigeria.

    Le bénéfice après impôts pour la période sous revue s’élève à 457,1 milliards de nairas, tandis que le total des actifs de la banque est passé de 9600 milliards de nairas fin 2023 à 13 000 milliards de nairas. Plusieurs facteurs justifient ce niveau de réalisation financière. La société holding, qui comprend sa banque phare nigériane et ses filiales en pleine expansion, a déclaré un revenu net d’intérêts de 213,8 milliards de nairas après déduction des pertes sur prêts.

    Le revenu net d’intérêts était trois fois supérieur à celui de l’année précédente, ce qui met en évidence les bénéfices substantiels que les banques tirent des prêts et avances à leurs clients. Mais cela doit être compris dans un contexte nigérian où la Banque centrale a augmenté les taux d’intérêt pour contenir les effets d’une inflation qui, en 2023, a franchi plusieurs seuils historiques. Aussi, la dépréciation du naira a accru la valeur des avoirs en devises des banques, générant une plus-value qui ne devrait pas se reproduire dans les conditions actuelles.

    Zenith Bank, United Bank for Africa et Access Bank, qui ont également publié récemment leurs résultats, ont déclaré respectivement 320 milliards, 156,3 milliards et 202,7 milliards de nairas de bénéfices. Comme pour GTCo, les gains de réévaluation des taux de change ont contribué à la rentabilité. Dans certains cas, la réévaluation des devises contribue jusqu’à 80 % des bénéfices.



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  • La BCEAO va racheter 77 milliards FCFA de titres publics du Niger

    La BCEAO va racheter 77 milliards FCFA de titres publics du Niger

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    (Agence Ecofin) – C’est un signal positif envoyé aux marchés : la BCEAO est prête à soutenir un de ses membres en difficulté.

    La Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest a annoncé son intention de racheter des titres publics du Niger pour un montant de 77 milliards FCFA. L’opération prévue pour le 7 mai prochain intervient dans un contexte où ce pays, après une période de sanctions récemment levées par la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a effectué son retour sur le marché des titres publics le 26 avril 2024, en mobilisant 457 milliards FCFA répartis sur 3 instruments différents.

    Selon les informations, l’opération de rachat de la BCEAO cible spécifiquement les titres nigériens dont le temps restant avant échéance est compris entre 3 mois et 3 ans. Lors de sa dernière émission, le rendement moyen pondéré des bons à 364 jours s’élevait à 9,30%, tandis que celui des obligations à 3 ans atteignait 9,35%.

    Pour encourager les banques à participer sans crainte à l’opération de rachat en perspective, la banque centrale a précisé que celles-ci peuvent céder les titres nigériens sans nécessiter de réajustement à la baisse de leur valeur comptable, même si le prix de vente actuel (prix de marché) est inférieur à leur valeur comptable initiale.

    Les observateurs estiment que ce rachat par la BCEAO devrait aider le Niger dans la gestion de sa dette publique en allégeant le fardeau des paiements d’intérêts et en refinançant les obligations arrivant à échéance, d’autant plus que le pays est en pleine restructuration de sa dette vis-à-vis des investisseurs régionaux. Une grande partie des 457 milliards FCFA mobilisés la semaine dernière serait destinée à rembourser les arriérés accumulés depuis les sanctions.

    L’État s’était engagé à régler les intérêts échus ainsi que le capital dû. Un paiement de la moitié des intérêts échus était prévu pour le 26 avril 2024, jour de l’émission, suivi du reste dans un délai de 30 jours après la restructuration projetée pour le principal, avait annoncé Umoa-Titres.

    Ce soutien de la Banque centrale est essentiel pour le Niger qui cherche également à diversifier ses partenariats économiques. Plus tôt en avril, le pays sahélien a signé avec la China National Petroleum Corporation un mémorandum d’entente pour la commercialisation de son pétrole brut. Selon cet accord, il recevra une avance de 400 millions USD de la part de la CNPC, somme qui sera restituée avec un intérêt de 7% dans les 12 mois suivants.

    Fiacre E. Kakpo



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  • Contrainte par une baisse de sa production gazière, l’Égypte a annoncé il y a quelques jours qu’elle suspendrait ses exportations de gaz naturel liquéfié (GNL) à partir de mai pour se préparer à faire face à la hausse de la demande d’électricité au c

    Contrainte par une baisse de sa production gazière, l’Égypte a annoncé il y a quelques jours qu’elle suspendrait ses exportations de gaz naturel liquéfié (GNL) à partir de mai pour se préparer à faire face à la hausse de la demande d’électricité au c

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    (Agence Ecofin) – Après la conclusion en septembre 2023 d’un accord de financement de 26 millions d’euros (28 millions de dollars) avec le groupe Cofina, la BEI fait le point sur cette facilité.

    Dans une note publiée ce vendredi 3 mai 2024, la Banque européenne d’investissement (BEI) annonce que 24 prêts, d’un montant global de 2,1 millions d’euros (2,2 millions de dollars), ont déjà été octroyés par Cofina CI dans le cadre de l’accord conclu entre la banque européenne et le groupe africain de mésofinance.

    Les bénéficiaires de ces prêts sont des coopératives agricoles ivoiriennes, évoluant majoritairement dans la filière cacao.

    Cofina CI dispose encore d’environ 14 millions d’euros de financements à rétrocéder à des PME et entreprises ivoiriennes de taille intermédiaire, actives dans les chaînes de valeur agricoles, d’ici 2025.

    Pour rappel, en septembre 2023, la BEI a accordé un financement de 26 millions d’euros (28 millions de dollars) à la Compagnie financière africaine (Cofina) pour le développement de chaînes de valeur agricoles en Afrique de l’Ouest. La filiale ivoirienne du groupe africain de mésofinance avait obtenu 16 millions d’euros. 10 millions d’euros ont été accordés à sa filiale sénégalaise opérant dans 8 pays du continent.

    Chamberline Moko



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  • BGFI Group : un dividende généreux proposé aux actionnaires pour 2023

    BGFI Group : un dividende généreux proposé aux actionnaires pour 2023

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    (Agence Ecofin) – Pour 2023, BGFIBank proposera un dividende de 11 000 FCFA par action. Bien qu’en légère baisse par rapport à 2022, l’offre reste généreuse compte tenu des contraintes qui s’imposent encore sur les marchés d’exploitation et des ambitions de croissance plus vigoureuses qui sont visées.

    Le Conseil d’administration du groupe bancaire BGFI Group, lors d’une session tenue le 26 avril 2024 dernier, a proposé de distribuer un dividende par action de 11 000 FCFA pour l’exercice 2023. Cette rémunération est légèrement inférieure aux 15 850 FCFA distribués par action pour l’année 2022.

    Cette proposition, bien qu’en baisse, reste généreuse compte tenu du contexte macroéconomique dans lequel le groupe a évolué sur ses différents marchés d’exploitation. L’entreprise a choisi de consolider ses fondamentaux, malgré une accélération de son bénéfice net qui a atteint 95,8 milliards de FCFA, progressant de 55% en 2023 contre 35% en 2022. 

    Sur le plan commercial, les encours de dépôts de la clientèle s’affichent à 3311 milliards de FCFA, en hausse de 9% par rapport à 2022. « Le Groupe BGFI Bank a pu compter sur la confiance de ses clients dans tous les marchés où il opère. Dans le même temps, le Groupe a poursuivi son soutien au financement des économies et des projets structurants de ses clients dans les différents marchés d’implantation », peut-on lire dans le rapport du CA. 

    Dans un environnement difficile, marqué par l’inflation et les ralentissements de la croissance économique, le groupe a porté son encours de crédits à la clientèle à 3075 milliards de FCFA, induisant une augmentation de 4% par rapport à 2022. 

    Ainsi la Banque indique qu’elle est « résolument engagée à s’adapter efficacement aux contraintes réglementaires, aux changements organisationnels, aux besoins légitimes de ses clients, à offrir des produits et services innovants et à maintenir une gestion solide des risques, nécessaires à l’atteinte de l’objectif de 120 milliards de FCFA en 2024 ».



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  • Co-op Bank Kenya recevra un prêt de 25 millions $ de l’allemand DEG pour soutenir des entreprises gérées par des femmes

    Co-op Bank Kenya recevra un prêt de 25 millions $ de l’allemand DEG pour soutenir des entreprises gérées par des femmes

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    (Agence Ecofin) – Le prêt couvrira les besoins de financement à long terme de MPME gérées par des femmes et participera à combler leur déficit de financement sur le marché kényan.

    La Co-operative Bank of Kenya (Co-op Bank) est proche d’obtenir un prêt de long terme d’un montant de 25 millions $, auprès de la banque allemande DEG. Annoncé le mardi 30 avril 2024, le financement permettra à l’établissement coté sur le Nairobi Securities Exchange de mettre en place une ligne de crédit destinée exclusivement aux micros, petites et moyennes entreprises (MPME) détenues par des femmes au Kenya. Une partie du crédit sera garantie par le Fonds européen pour le développement durable.

    La DEG participe ainsi à combler le déficit de financement des MPME sur le marché du crédit au Kenya, et à « renforcer la capacité de la Co-op Bank à couvrir les besoins de financement à long terme des entreprises dirigées par des femmes », a commenté Gideon Muriuki, directeur général de la Co-op Bank.

    En 2023, l’institution kényane a accordé des prêts en ligne de 18,6 milliards de shillings kényans (137,9 millions $) à des MPME. Dans ses résultats financiers publiés le 20 mars dernier, elle précise que ces entreprises représentaient 15,8 % de son portefeuille total de prêts, l’année dernière.

    Notons qu’en juillet 2023, l’allemand avait dirigé un consortium d’investisseurs, dans le cadre d’un prêt de 100 millions $, au profit de son partenaire kényan. Le financement avait été mobilisé pour soutenir des PME clientes de la banque.

    Chamberline Moko



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  • Ventes automobiles: le japonais Toyota a dominé le marché ivoirien en 2023

    Ventes automobiles: le japonais Toyota a dominé le marché ivoirien en 2023

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    (Agence Ecofin) – Le groupe japonais peut ainsi profiter de revenus en croissance du secteur de l’automobile, mais aussi des retombées financières de sa filiale, sous la forme de dividendes.

    Le groupe japonais Toyota Tsusho Corporation est resté leader sur le marché formel des ventes de véhicules en Côte d’Ivoire en 2023, selon les informations fournies par sa filiale automobile dans le pays, CFAO Motors CI. Alors que la croissance globale dans le secteur a été de 14,5%, les ventes de cette dernière qui représentent 47,3% du total, ont progressé de 19,1%.

    Portée par la demande croissante pour les besoins d’exploitation en VTC (notamment Yango ou Uber), la marque Suzuki a contribué à consolider ce leadership avec un total de 7385 nouvelles immatriculations, en hausse de 36,3%. Toyota, la marque emblématique du groupe japonais, a également continué à bien se vendre avec 393 unités supplémentaires vendues par CFAO Motors CI en 2023, comparativement à l’année précédente.

    Mais au-delà de la vente des véhicules, Toyota peut bénéficier en Côte d’Ivoire d’une hausse de la demande pour les services de maintenance et la vente de pièces détachées. Le chiffre d’affaires de ce segment a atteint 17 milliards fcfa. Rappelons que le groupe japonais gagne surtout sur la vente des véhicules. Sur un chiffre d’affaires de 180 milliards fcfa générés par sa filiale ivoirienne, la marge d’exploitation ne ressort qu’à 11 milliards fcfa.

    La communication financière de l’entreprise ne donne pas de détails comptables sur les différentes composantes de cette performance. Cependant, on peut émettre l’hypothèse selon laquelle l’achat des produits (véhicules et pièces détachées) fournis par le groupe absorbe l’essentiel des charges.

    Précisons que CFAO Group est l’actionnaire majoritaire de la filiale automobile ivoirienne avec 95,8% des parts. L’entreprise, anciennement connue sous l’appellation Compagnie française de l’Afrique occidentale, s’est rebaptisée Corporation for Africa and Overseas, et appartient à 100% à Toyota. En Côte d’Ivoire, le groupe est ainsi désormais présent dans la grande distribution (Playce), l’agroalimentaire (Brassivoire en joint-venture avec Heineken) et le secteur de la santé.



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  • La BOAD salue la mémoire de Monsieur Pierre Claver DAMIBA, son premier Président

    La BOAD salue la mémoire de Monsieur Pierre Claver DAMIBA, son premier Président

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    (BOAD) – La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), son Conseil d’Administration, son personnel et Monsieur Serge EKUE, Président en exercice de la BOAD, saluent avec émotion, la mémoire de Monsieur Pierre Claver DAMIBA, le tout premier Président exécutif de l’Institution, décédé le 1er mai à Ouagadougou.

    Entre 1975 et 1981, le Président DAMIBA a contribué à poser les jalons et les fondements robustes sur lesquels s’est appuyée notre Institution, aujourd’hui cinquantenaire. Grâce à son leadership, l’initiateur du business model de la BOAD avait alors conçu la double planification, permettant à la Banque d’intégrer de nouvelles priorités, tout en consolidant celles sur-lesquelles elle s’était déjà engagée.

    Grand artisan du recrutement et du renforcement des capacités des « jeunes gradués » de la BOAD, il a, entre autres, marqué la Banque par une vision audacieuse, menant à une réelle dynamisation du marché financier sous-régional. Le Siège de la Banque, « le grenier », construit dans la pure tradition architecturale africaine, alliant enracinement et ouverture, porte également sa signature.

    L’héritage exceptionnel du Président DAMIBA, Homme d’Etat, Ministre, Conseiller et Expert émérite pour l’Afrique nous laisse admiratifs et orphelins à tout jamais. La BOAD perd un père fondateur, qui, de son vivant, se rendait toujours disponible, partie prenante aux grands moments de son Histoire.

    Présentant ses condoléances à la famille DAMIBA, à la nation Burkinabé, et à l’ensemble des institutions régionales et internationales que le Président DAMIBA a servies le Président Serge EKUE a déclaré : « Les œuvres du Président DAMIBA existent et perdureront. ».

    A propos de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) :

    La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l’institution commune de financement du développement des Etats de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA). Etablissement public à caractère international, la BOAD a pour objet, aux termes de l’Article 2 de ses statuts, « de promouvoir le développement équilibré des Etats membres et de réaliser l’intégration économique de l’Afrique de l’Ouest » en finançant des projets prioritaires de développement. Elle est accréditée auprès des trois mécanismes de financement de la finance climat (GEF, AF, GCF). Depuis 2009, la BOAD siège en tant qu’observateur à la CCNUCC et participe activement aux discussions relatives à la construction d’une architecture internationale de la finance climat. Elle abrite, depuis janvier 2013, le premier Centre régional de collaboration (CRC) sur le Mécanisme pour un développement propre (MDP) dont le but est d’apporter un soutien direct aux gouvernements, aux ONG et au secteur privé, pour l’identification et le développement de projets MDP. Depuis le 15 octobre 2023, la Banque co-préside avec Bancoldex, la Banque Colombienne de développement des affaires et de l’exportation, l’International Development Finance Club (IDFC), qui rassemble 26 banques nationales, régionales et bilatérales de développement du monde entier.



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