Category: Economie

  • BICI Côte d’Ivoire : 4,9 millions $ de revenus exceptionnels en 2023

    BICI Côte d’Ivoire : 4,9 millions $ de revenus exceptionnels en 2023

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    (Agence Ecofin) – Ils ont permis d’atténuer l’effet de hausse sur les charges d’exploitation et de porter le bénéfice net à un niveau record. Aucune information n’est encore disponible sur les dividendes, la banque doit encore renforcer ses fonds propres.

    La Banque internationale pour le commerce et l’industrie de la Côte d’Ivoire (BICI-CI) a annoncé, pour ses performances de 2023, des gains sur actifs immobilisés de l’ordre de 2,57 milliards fcfa (4,91 millions $). Cet indicateur est en augmentation significative comparativement aux 169 millions fcfa de gains enregistrés dans ce contexte l’année précédente.

    Bien que la banque n’ait pas fourni de commentaires sur ses résultats publiés ni d’explications à cette évolution, son bilan montre que la composante relative aux immobilisations des actifs financiers, à savoir le poste constitué des effets publics et valeurs assimilées, a connu une solide augmentation, passant de 103,8 milliards fcfa en 2022 à 282 milliards fcfa en 2023.

    Quoi qu’il en soit, ce revenu exceptionnel a soutenu l’atteinte d’une marge nette de 16,6 milliards fcfa, un record depuis 2014, selon les informations disponibles sur le site internet AfricanMarkets. En effet, malgré une accélération de croissance (+17,4%) sur son produit net bancaire qui atteint 55,5 milliards fcfa, soutenue par les intérêts perçus auprès de ses clients, la BICI-CI a dû faire face à une augmentation de ses charges (+6,2 milliards fcfa) et de son coût du risque qui a franchi le niveau du milliard fcfa.

    2024 promet d’être aussi une autre année exceptionnelle. Le premier trimestre a débuté sur une augmentation sans précédent (+244%) du bénéfice net. L’amélioration des rendements et la maîtrise des charges semblent demeurer l’atout majeur pour cette banque, majoritairement contrôlée (67,9%) par plusieurs institutions publiques ivoiriennes.

    << Au regard de la dynamique commerciale actuelle de la banque, cette tendance devrait se poursuivre au cours du deuxième trimestre de l’exercice grâce notamment à l’amélioration des revenus sur capitaux et des revenus du portefeuille titres conjuguée à une maîtrise des charges et du coût du risque >>, a-t-elle fait savoir dans une communication financière simple, publiée sur le jeudi 2 mai.

    Les investisseurs, notamment ceux qui possèdent les 12,95% du flottant boursier sur la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) d’Abidjan, et surtout la société d’investissement Brandon and McCain Capital fondée par Ahmed Cissé, leader du patronat en Côte d’Ivoire, attendront de voir si, comme au cours des 8 années précédentes, des dividendes seront annoncés.

    En plus de son bénéfice de 2023, la banque dispose de près de 48,5 milliards fcfa de réserves. Mais elle devra aussi continuer de gérer sa liquidité, alors que les dépôts de la clientèle continuent de reculer, et qu’elle doit ajuster son capital social à 20 milliards fcfa (+3,3 milliards fcfa), pour se conformer aux nouvelles exigences de la Banque centrale. Pour le moment, les investisseurs peuvent déjà se réjouir d’une plus-value de 9,5% générée par chaque action au cours de l’année 2023. A cela s’ajoute un léger supplément de 0,27% depuis début 2024.



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  • Groupe Ecobank: 2,1 milliards $ de revenus sur l’année 2023

    Groupe Ecobank: 2,1 milliards $ de revenus sur l’année 2023

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    (Agence Ecofin) – C’est la première fois que la holding bancaire basée à Lomé au Togo, franchit ce seuil. Cette performance est enregistrée dans un contexte de contraintes monétaires au Nigéria et au Ghana, deux de ses importants marchés.

    Ecobank Group, le groupe bancaire panafricain, a récemment publié ses résultats financiers certifiés pour l’année 2023. Basé à Lomé, le groupe annonce un bénéfice avant impôts de 581 millions de dollars, en progression de 8 % par rapport à l’année précédente, soutenu par un revenu net de près de 2,1 milliards de dollars, en augmentation de 11 %.

    C’est la première fois depuis 2015 que les revenus franchissent le seuil des 2 milliards de dollars. Cette performance aurait été plus marquée sans les fluctuations des taux de change, Ecobank opérant dans plusieurs marchés, notamment au Nigeria et au Ghana, où le naira et le cedi ont été faibles face au dollar. À taux de change constants, le bénéfice avant impôts aurait grimpé de 34 %, tandis que le revenu net aurait augmenté de 31 %.

    La croissance du chiffre d’affaires est principalement due à une hausse significative de 15,3 % des revenus nets d’intérêts, qui sont passés de 1,014 milliard de dollars en 2022 à 1,169 milliard de dollars en 2023. Cette dynamique est complétée par une progression plus modeste de plus de 5 % des revenus non-intérêts, incluant les frais et commissions, les revenus d’investissement, de trading et les gains de change.

    Toutefois, le profit du groupe aurait pu être plus élevé si ses actifs n’avaient pas subi de pertes significatives. Les provisions pour dépréciation d’actifs financiers ont, en effet, augmenté de 66,7 % pour atteindre 330 millions de dollars en 2023, impactant défavorablement les résultats de la banque. Ce sont principalement les pertes sur prêts et avances à la clientèle qui ont le plus augmenté. Ils ont cru de 1405 % pour passer d’environ 10 millions de dollars en 2022 à plus de 145 millions de dollars sur la seule année 2023. Au Nigeria, la dépréciation du portefeuille d’actifs de la banque a augmenté de plus de 80 %.

    Dans ces conditions, les actifs totaux de la banque ont enregistré leur première baisse (6 %) depuis au moins 2019, en partie parce que les prêts et avances aux clients, qui constituaient une part importante (39 %) de l’ensemble des actifs du groupe, ont diminué. Au 31 décembre 2023, le montant total des prêts et avances bruts devrait s’élever à 11,062 milliards de dollars ne valant que 10,543 milliards de dollars lorsqu’on prend en compte les dépréciations sur ces prêts estimées par la banque à 519 millions de dollars. Un recul de 4,2% par rapport aux 11,003 milliards de dollars de l’année précédente.

    Malgré cette contraction, le cadre de gestion du risque de crédit de la banque semble avoir conservé une certaine résilience. Le rapport financier analysé par l’Agence Ecofin révèle que la qualité du portefeuille de prêts est restée relativement stable, avec un ratio de prêts non performants (NPL) légèrement en hausse à 5,4 % en 2023, contre 5,2 % en 2022.

    Outre les prêts, d’autres éléments ont également subi des baisses. Les dépôts ont enregistré un déclin d’environ 4% également, mais moins marqué que celui des capitaux propres d’Ecobank, qui ont chuté de 14,4 %, passant de 2,027 milliards de dollars en 2022 à 1,734 milliard en 2023. Cette baisse s’explique principalement par des pertes de conversion de devises et des ajustements de valeur des actifs, dans un environnement opérationnel difficile, marqué par des conditions de marché défavorables, des défis économiques, ou des fluctuations significatives des taux de change.

    Toutefois, la banque a su créer de la valeur pour ses actionnaires. En effet, le rendement des capitaux propres tangibles (ROTE) d’Ecobank a enregistré une hausse, gagnant 3,8 points de pourcentage pour s’établir à 24,9 %.

    Fiacre E. Kakpo



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  • Résultat en hausse de 8% pour Ecobank en 2023, malgré une dépréciation sur les prêts à la clientèle

    Résultat en hausse de 8% pour Ecobank en 2023, malgré une dépréciation sur les prêts à la clientèle

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    (Agence Ecofin) – Sur 2023, la banque panafricaine présente au moins 35 pays d’Afrique enregistre un bénéfice en hause de 8%. Une progression modérée par la fluctuation des taux de change et la dépréciation de certains de ses actifs, notamment les prêts.

    Ecobank Group, le groupe bancaire panafricain, a récemment publié ses résultats financiers certifiés pour l’année 2023. Basé à Lomé, le groupe annonce un bénéfice avant impôts de 581 millions de dollars, en progression de 8 % par rapport à l’année précédente, soutenu par un revenu net de près de 2,1 milliards de dollars, en augmentation de 11 %.

    C’est la première fois depuis 2015 que les revenus franchissent le seuil des 2 milliards de dollars. Cette performance aurait été plus marquée sans les fluctuations des taux de change, Ecobank opérant dans plusieurs marchés, notamment au Nigeria et au Ghana, où le naira et le cedi ont été faibles face au dollar. À taux de change constants, le bénéfice avant impôts aurait grimpé de 34 %, tandis que le revenu net aurait augmenté de 31 %.

    La croissance du chiffre d’affaires est principalement due à une hausse significative de 15,3 % des revenus nets d’intérêts, qui sont passés de 1,014 milliard de dollars en 2022 à 1,169 milliard de dollars en 2023. Cette dynamique est complétée par une progression plus modeste de plus de 5 % des revenus non-intérêts, incluant les frais et commissions, les revenus d’investissement, de trading et les gains de change.

    Toutefois, le profit du groupe aurait pu être plus élevé si ses actifs n’avaient pas subi de pertes significatives. Les provisions pour dépréciation d’actifs financiers ont, en effet, augmenté de 66,7 % pour atteindre 330 millions de dollars en 2023, impactant défavorablement les résultats de la banque. Ce sont principalement les pertes sur prêts et avances à la clientèle qui ont le plus augmenté. Ils ont cru de 1405 % pour passer d’environ 10 millions de dollars en 2022 à plus de 145 millions de dollars sur la seule année 2023. Au Nigeria, la dépréciation du portefeuille d’actifs de la banque a augmenté de plus de 80 %.

    Dans ces conditions, les actifs totaux de la banque ont enregistré leur première baisse (6 %) depuis au moins 2019, en partie parce que les prêts et avances aux clients, qui constituaient une part importante (39 %) de l’ensemble des actifs du groupe, ont diminué. Au 31 décembre 2023, le montant total des prêts et avances bruts devrait s’élever à 11,062 milliards de dollars ne valant que 10,543 milliards de dollars lorsqu’on prend en compte les dépréciations sur ces prêts estimées par la banque à 519 millions de dollars. Un recul de 4,2% par rapport aux 11,003 milliards de dollars de l’année précédente.

    Malgré cette contraction, le cadre de gestion du risque de crédit de la banque semble avoir conservé une certaine résilience. Le rapport financier analysé par l’Agence Ecofin révèle que la qualité du portefeuille de prêts est restée relativement stable, avec un ratio de prêts non performants (NPL) légèrement en hausse à 5,4 % en 2023, contre 5,2 % en 2022.

    Outre les prêts, d’autres éléments ont également subi des baisses. Les dépôts ont enregistré un déclin d’environ 4% également, mais moins marqué que celui des capitaux propres d’Ecobank, qui ont chuté de 14,4 %, passant de 2,027 milliards de dollars en 2022 à 1,734 milliard en 2023. Cette baisse s’explique principalement par des pertes de conversion de devises et des ajustements de valeur des actifs, dans un environnement opérationnel difficile, marqué par des conditions de marché défavorables, des défis économiques, ou des fluctuations significatives des taux de change.

    Toutefois, la banque a su créer de la valeur pour ses actionnaires. En effet, le rendement des capitaux propres tangibles (ROTE) d’Ecobank a enregistré une hausse, gagnant 3,8 points de pourcentage pour s’établir à 24,9 %.

    Fiacre E. Kakpo



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  • Investisseurs & Partenaires financera des entreprises du secteur du climat en Afrique de l’Ouest

    Investisseurs & Partenaires financera des entreprises du secteur du climat en Afrique de l’Ouest

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    (Agence Ecofin) – Une trentaine de PME et start-up climatiques sont ciblées par cette initiative. Déployée dans 8 pays ouest-africains, elle offrira un financement d’amorçage, une assistance technique et une expertise climatique à ses bénéficiaires.

    Le groupe d’investissement d’impact, Investisseurs & Partenaires, (I&P), a annoncé le lundi 29 avril 2024, le lancement d’un programme de financement d’entreprises du secteur climatique en Afrique de l’Ouest.

    Cette initiative ciblera une trentaine de start-up et petites et moyennes entreprises (PME) en phase d’amorçage évoluant dans les secteurs de l’accès à l’énergie, de la production d’électricité, des transports à faible émission, de la sylviculture et de l’utilisation des sols. Ces établissements devront proposer des solutions permettant de réduire les émissions de CO2 et lutter contre le réchauffement climatique.

    Le programme qui sera déployé sur une période 5 ans (2024-2029), s’adressera à des entreprises opérant au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Guinée, en Mauritanie, au Niger, au Sénégal et au Togo. Ces structures bénéficieront d’un financement d’amorçage d’un montant moyen de 100 000 euros (107 100 dollars), d’une assistance technique comprenant des formations et missions d’expertise ainsi que d’une expertise climatique, visant à renforcer leurs capacités opérationnelles et leur croissance.

    « Les populations ouest-africaines font partie des communautés les plus vulnérables face au changement climatique. Les PME accompagnées dans le cadre de ce programme apporteront des solutions de réduction des émissions de CO2 tout en ayant à cœur de permettre à ces populations de s’adapter aux conséquences du changement climatique », a expliqué Barbara Adoléhoumé, responsable de programme chez I&P.

    Sur le continent africain, l’accès au financement est limité pour les start-up spécialisées dans le climat. En 2023, les entreprises de technologie climatique ont attiré 1,04 milliard $, soit 1/3 des fonds levés par l’ensemble des start-up du continent.

    Chamberline Moko



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  • Le Bénin devient le premier pays subsaharien actionnaire de la BERD

    Le Bénin devient le premier pays subsaharien actionnaire de la BERD

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    (Agence Ecofin) – Après l’Algérie en 2021, le Bénin rejoint l’actionnariat de cette banque multilatérale et se prépare à bénéficier de son expertise et de son soutien financier.

    Le Bénin est le premier pays d’Afrique subsaharienne à adhérer à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et le 75e actionnaire de cette institution financière multilatérale.

    Dans une annonce publiée le lundi 29 avril 2024, l’institution présidée par Odile Renaud-Basso a expliqué que le pays a achevé son processus d’adhésion à la banque et obtenu le statut de pays membre. Cela permettra à cet Etat ouest-africain de « recevoir le soutien de la BERD en termes de financement et de politique à mettre en œuvre ».

    Plus concrètement, le Bénin aura la possibilité de « capter plus de ressources pour la transformation structurelle de son économie, et la dynamisation du secteur privé », assure Romuald Wadagni, ministre béninois de l’Economie et des Finances.

    Cette adhésion s’est faite en plusieurs étapes. Le pays a d’abord formulé en juillet 2023, sa demande d’adhésion et sollicité le statut de pays bénéficiaire. Le conseil des gouverneurs de la BERD a donné son approbation 3 mois plus tard. L’accord portant création de la banque a ensuite été modifié, en vue de permettre un élargissement limité et progressif de son champ d’action géographique à l’Afrique. Il est entré en vigueur et a enfin été accepté officiellement par la majorité des actionnaires de l’institution.

    La Côte d’Ivoire a elle aussi déposé sa demande d’adhésion en août 2023 et espère une suite favorable.

    La BERD compte aujourd’hui 73 actionnaires nationaux, en plus de l’Union européenne et de la Banque européenne d’investissement (BEI). Pour rappel, l’Algérie est devenue en octobre 2021, membre de l’institution.

    Chamberline Moko 

    Lire aussi:

    Le Bénin et la Côte d’Ivoire proches d’être membres de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement 

    La BERD obtient le feu vert de ses actionnaires pour élargir son champ d’action à l’Afrique subsaharienne 



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  • L’ex-Premier ministre malaisien Mahathir prévoit d’investir 100 millions $ dans l’industrie sud-soudanaise du ciment

    L’ex-Premier ministre malaisien Mahathir prévoit d’investir 100 millions $ dans l’industrie sud-soudanaise du ciment

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    (Agence Ecofin) – L’usine, qui sera installée près de la capitale Djouba, devrait permettre de réduire la dépendance du Soudan du Sud à l’égard des importations coûteuses de ciment et d’accélérer le développement des infrastructures.

    B Smart, une société d’investissement détenue par l’un des fils de l’ancien Premier ministre malaisien, Mahathir Mohamad, a annoncé, le mardi 30 avril 2024, qu’elle envisage d’investir 100 millions de dollars dans la construction d’une cimenterie près de la capitale sud-soudanaise, Djouba.

    « Djouba, qui est le principal marché du ciment, est un bon emplacement pour nous », a déclaré le patron de la société, Mirzan Mahathir, lors d’une conférence de presse.

    Selon lui, la cimenterie devrait être opérationnelle dans 24 mois si les autorisations nécessaires sont accordées à temps. Elle utilisera du calcaire provenant de Kapoeta, une ville située à 275 kilomètres à l’est de Djouba.

    Le premier sous-secrétaire au ministère sud-soudanais du Commerce et de l’Industrie, Kuol Daniel Ayulo, a précisé de son côté que l’usine permettra de « réduire la dépendance du pays à l’égard des importations coûteuses de ciment et d’accélérer le développement des infrastructures ».

    Le ministre de l’Investissement du plus jeune Etat du monde, Dhieu Mathok, a ajouté que la société d’investissement construira des bureaux pour le gouvernement.

    « Nous travaillons déjà sur un certain nombre de projets d’investissement », a commenté M. Mahathir.

    Notons que l’Agence malaisienne de lutte contre la corruption a ordonné, en janvier dernier, à Mirzan Mahathir et à son frère cadet Mokhzani de déclarer leurs avoirs dans le cadre d’une enquête pour soupçons de corruption visant leur père, qui a occupé le poste de Premier ministre de 1981 à 2003 et de 2018 à 2020.

    Lire aussi:

    25/05/2022 – Soudan du Sud : le président Salva Kiir appelle les investisseurs étrangers à davantage s’intéresser à son pays

    19/04/2019 – Soudan du Sud : 3 milliards $ d’investissements nécessaires pour développer le secteur énergétique

    14/02/2024 – La BAD va accroître son financement au Soudan du Sud en 2024



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  • Guinée : la Mutragui et la Sonag radiées du secteur des assurances

    Guinée : la Mutragui et la Sonag radiées du secteur des assurances

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    (Agence Ecofin) – La décision a été prise par le Comité des agréments de la Banque centrale du pays. Elle implique la cessation avec effet immédiat des activités de ses deux sociétés sur le marché guinéen. Leur réaction est attendue.

    La Mutuelle des travailleurs de Guinée (Mutragui) et la Société nouvelle d’assurances de Guinée (Sonag) ont perdu leurs agréments d’exercice de l’activité d’assurance dans le pays. Dans une correspondance datée du 30 avril 2024, la Banque centrale de la République de Guinée (BCRG) explique que cette décision a été prise au cours de la 61e réunion de son comité d’agrément tenue le 5 avril. Les motifs de ces retraits d’agrément n’ont pas été précisés.

    Cette mesure qui prend effet immédiatement implique « la cessation automatique des activités de la Mutragui et de la Sonag ainsi que leur radiation de la liste des sociétés d’assurance autorisées à exercer en République de Guinée », explique le document.

    S’agissant des engagements des deux assureurs radiés auprès des courtiers et sociétés de courtage, la BCRG précise qu’un liquidateur sera commis en vue d’évaluer les actifs et de procéder au règlement du passif.

    Selon le Code des assurances de la Guinée, le retrait d’agrément de compagnies d’assurances est prononcé par le Comité des agréments de la Banque centrale. Ce retrait est prononcé par la tutelle lorsque l’assureur ne respecte plus les normes prudentielles et la réglementation sur les assurances, ou encore lorsqu’il ne remplit plus les conditions de son agrément et n’exerce plus aucune activité depuis plus de 6 mois.

    A fin 2022, le marché guinéen des assurances comptait 16 compagnies, dont 4 spécialisées en assurance-vie et 12 en assurance non vie. Le secteur a réalisé au cours de cette année, un chiffre d’affaires de 829,58 milliards de francs guinéens (96,5 millions de dollars), en hausse de 16,80 % en glissement annuel, et soutenu par les branches vie et non vie.

    Chamberline Moko



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  • CGECI Academy 2024 : Me Mahoua Fadika-Delafosse invite à l’exploitation des opportunités dans l’industrie des services

    CGECI Academy 2024 : Me Mahoua Fadika-Delafosse invite à l’exploitation des opportunités dans l’industrie des services

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    (CGECI) – Le grand Forum économique annuel du Secteur Privé Ivoirien, organisé par le Patronat ivoirien, se tiendra les 24 et 25 octobre 2024 au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. Comme chaque année, des centaines de chef d’entreprises, des experts des questions économiques et de gouvernance venus de l’Afrique et des autres parties du monde ainsi que l’Administration ivoirienne se mobiliseront pour prendre part à cette 12ème édition de la CGECI Academy.

    Cette annonce a été faite par la Vice-Présidente de la CGECI, Me  Mahoua Fadika-Delafosse,  lundi 29 avril 2024, lors de la cérémonie de lancement du Forum à la Maison de l’Entreprise, siège du Patronat ivoirien et du World Trade Center, sis au Plateau. Ce fut également l’occasion pour la représentante du Président de l’Organisation patronale, M. Ahmed CISSÉ, de donner le thème de cette nouvelle édition du Forum, qui est libellé comme suit: « Quelle industrie des services pour stimuler la performance des économies africaines ? »

    Au cours de cette cérémonie, la Vice-Présidente Fadika-Delafosse a invité les dirigeants d’entreprises ivoiriens et africains à explorer les opportunités de croissance de l’économie en exploitant le segment dans la politique de développement de leurs entreprises, de sorte à élargir leurs horizons en allant au-delà des conceptions et stratégies traditionnelles.

    « Ce thème invite nos pays à interroger leurs modèles et à regarder au-delà de la configuration actuelle de nos économies, encore fortement marquées par la prédominance du secteur Primaire. Mais surtout, il les encourage à diversifier leur économie pour être moins dépendants de leurs matières premières encore faiblement valorisées et à saisir les opportunités offertes par l’industrie des services, afin de créer une croissance moins vulnérable aux chocs exogènes, donc plus solide.

    Cette dynamique pourrait être portée, selon le rapport ‘’Perspectives économiques en Afrique’’ d’octobre 2023 du Fonds monétaire international, par le secteur des services, avec le potentiel de contribuer de manière significative au développement économique en Afrique, dans des domaines variés comme les TIC, les services financiers, le tourisme, l’éducation-formation, la santé, la logistique et le transport. », a  déclaré Me Fadika-Delafosse.

    Ensuite, elle a relevé que pour cette nouvelle édition du Forum, les deux pays invités d’honneur sont l’Île Maurice et Singapour, qui sont des pays émergents  dont l’expérience de la bonne gouvernance et de la mise en œuvre de décisions politiques économiques majeures et optimales en faveur des entreprises pourrait inspirer aussi bien les gouvernements des autres pays du Continent que les dirigeants d’entreprises.

    Pour la Vice-Présidente de la CGECI, le concept de « performance des économies africaines » fait référence à la capacité des pays du Continent à atteindre et à maintenir un niveau de croissance économique soutenu et durable ainsi qu’à leur capacité à améliorer le bien-être de leur population de manière pérenne.

    Ce thème s’inscrit dans la continuité des réflexions menées lors de la 11ème édition de la CGECI Academy qui avaient mis en avant l’importance du Secteur tertiaire comme axe de croissance et de transformation structurelle des  économies africaines. En effet, l’édition 2023 du Forum avait permis d’engager une réflexion approfondie sur les enjeux de la compétitivité des entreprises en Afrique et de dégager quelques pistes de recommandations pour une croissance durable.

    Le mot de la Vice-Présidente Mahoua Fadika-Delafosse a  été suivi d’un entretien entre le Vice-président de la CGECI, M. Éric Thiam SABATES, par ailleurs Président de l’Union des Grandes Entreprises Industrielles de Côte d’Ivoire (UGECI), et un journaliste sur la thématique du Forum qui a été présenté, dans ses grandes articulations réflexives.

    Selon le Vice-Président, le fait que le gouvernement ivoirien décide, dans son Plan National de Développement 2021-2025, de développer son économie sur la base de l’industrialisation ne signifie pas qu’il faille négliger les services. Il reste convaincu que le développement ne se fera pas sans les services.

    Cette année, la CGECI Academy sera l’occasion d’identifier les enjeux, les défis et les opportunités pour une plus grande contribution de différents secteurs d’activités à la transformation et à la croissance des économies africaines. Historiquement, les économies africaines  étaient largement orientées vers l’Agriculture et l’exploitation des ressources naturelles, mais au fil du temps, la nécessité d’accélérer l’industrialisation et la diversification des économies s’est faite de plus en plus ressentir. Ce d’autant plus qu’au regard des mutations rapides dans le monde, entrainées par la quatrième révolution industrielle et les enjeux de durabilité, les tendances se dessinent progressivement vers une économie de services.

    Malheureusement, il est encore à constater que dans la majorité des pays africains, les services restent encore embryonnaires avec de nombreux défis à relever notamment l’insuffisance de structuration, de formalisation et de valorisation.

    La 12ème édition de la CGECI Academy sera configurée de la manière suivante: une cérémonie d’ouverture, deux keynote (à l’ouverture et à la clôture) ; deux sessions plénières (à l’ouverture et à la clôture) ; douze panels de haut niveau ; six master class ; une plateforme de rencontres B to B pour les jeunes entrepreneurs (speed networking).

    Pour rappel, la cible visée par la  CGECI Academy est constituée prioritairement des chefs et cadres d’entreprise, les jeunes entrepreneurs et les porteurs de projet désireux de bénéficier du partage d’expériences de bonnes pratiques en entreprises  ou d’élargir leur réseau tout en renforçant leurs connaissances.

    Mme Fanta Diabaté epse Diafouka a présenté les offres commerciales pour le sponsoring, les partenariats et la participation individuelle. Pour la présente édition qui attend 2000 participants de qualité, la CGECI a exprimé sa gratitude au Co-organisateur, Co-Host, MANSA BANK, représenté par son Fondateur, Directeur Général, EL HASSANA KABA, et le Sponsor LEADER historique, IFG Afrique, représenté par Mme Souhila MAGER, Directrice IFG AFRIQUE et Campus Abidjan.

    Notons que le lancement de la 12ème édition de la CGECI Academy a été fait en présence du Président du Patronat ivoirien, M. Ahmed Cissé, et de nombreux chefs d’entreprises.

    À PROPOS DE LA CGECI

    La Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) est l’organisation patronale la plus représentative du Secteur privé en Côte d’Ivoire. Elle fédère des Groupements professionnels, des Associations d’entreprises et des entreprises de tous les secteurs d’activités (industrie, commerce, agriculture et services), soit 27 groupements et Associations professionnelles, près de 80% du secteur privé moderne ivoirien, plus de 17 000 milliards de FCFA de chiffre d’affaires, avec plus de 400 000 emplois créés par ses membres.

    La CGECI est un acteur majeur dans la représentation des entreprises, la défense de leurs intérêts et la promotion de leurs activités. Elle est l’interlocuteur principal des pouvoirs publics, des organisations syndicales de travailleurs et des tiers, pour tous les sujets portant sur l’amélioration de l’environnement des affaires, la compétitivité des entreprises, la promotion du dialogue entre les partenaires sociaux, le développement du Secteur privé et la création de richesses par la promotion des initiatives privées et de l’entrepreneuriat. La CGECI est Présidée par M. Ahmed CISSÉ.

    1 partenariat 



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  • BGFIBank : une performance 2023 solide et prometteuse pour 2024

    BGFIBank : une performance 2023 solide et prometteuse pour 2024

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    (Agence Ecofin) – Le bénéfice net continue de progresser et une nouvelle expansion en République du Congo promet des performances encore plus dynamiques en 2024.

    Des chiffres préliminaires obtenus par l’Agence Ecofin et qui concernent les résultats annuels 2023 du groupe bancaire BGFI, dont le siège est à Libreville au Gabon, révèlent une performance qui confirme une solidité financière et une dynamique de rentabilité croissante. Selon les données que le rapport financier définitif à venir très prochainement devrait confirmer, le résultat net consolidé s’élève à 95 milliards de francs CFA, soit une hausse de 55% par rapport à l’exercice précédent.

    Pour ses investisseurs, cette performance démontre la capacité du groupe à générer des profits soutenus et à créer de la valeur. En effet, le total des actifs du groupe atteint 5295 milliards de francs CFA, en augmentation de 9% par rapport à 2022. Cette progression s’inscrit dans la stratégie d’expansion maîtrisée mise en œuvre par BGFIBank.

    Les dépôts de la clientèle progressent de 9% pour s’établir à 3311 milliards de francs CFA, reflétant une confiance stable des clients envers le groupe et son attractivité commerciale. Parallèlement, les crédits à la clientèle sont annoncés en hausse de 4%, atteignant 3075 milliards de francs CFA. Une évolution qui conforte l’engagement affiché par le top management de BGFIBank à soutenir l’économie réelle et à accompagner les projets de ses clients sur ses différents marchés.

    Dans ce contexte, le produit net bancaire (PNB) est annoncé à 303 milliards de francs CFA en 2023, en croissance de 20% par rapport à l’exercice précédent.

    Le rapport financier complet, attendu prochainement, apportera des détails supplémentaires sur les différentes composantes de ces résultats et les perspectives du groupe.

    Les perspectives 2024 sont elles aussi attendues. Le groupe devrait évoquer des mesures visant à se renforcer sur le segment de la banque privée, en particulier au Cameroun où le secteur est en pleine expansion. Par ailleurs, l’intégration des activités de la filiale de Société Générale au Congo, acquise en 2023, devrait contribuer à une nouvelle progression de son bilan et de ses revenus.



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  • NSIA Banque CI : une performance record au 1er trimestre 2024

    NSIA Banque CI : une performance record au 1er trimestre 2024

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    (Agence Ecofin) – Forte de son meilleur résultat pour la période depuis 2017, la banque affiche sa confiance en sa capacité à poursuivre cette dynamique de croissance tout au long de l’année 2024.

    NSIA Banque Côte d’Ivoire a annoncé un bénéfice net de 7,1 milliards de FCFA (11,5 millions $) pour le compte du premier trimestre 2024, soit le plus élevé depuis 2017. Cette croissance de 8% par rapport au premier trimestre 2023 traduit une dynamique en légère accélération. 

    Plusieurs facteurs expliquent les réalisations actuelles, dont la « hausse des revenus sur les engagements de la clientèle et sur les titres en portefeuille, une baisse du coût du risque et maîtrise des frais de gestion » qui ont permis de booster le bénéfice avant impôts. 

    Parallèlement, on observe une nouvelle augmentation des créances sur la clientèle, la septième depuis 2017. Le produit net bancaire, équivalent du chiffre d’affaires, reste quasi stable. Fort de ces résultats, NSIA Banque CI envisage de poursuivre et d’intensifier cette dynamique tout au long de l’année. 

    Les investisseurs, notamment ceux détenant les 20% du flottant boursier sur la BRVM devraient être confortés. Malgré une baisse de 5,4% de la valeur boursière de son action depuis le début de l’année 2024, le potentiel de croissance de NSIA Banque CI demeure avéré. 

    Au 30 avril 2024, son ratio de cours sur bénéfice (PER) s’élevait à 4,27, contre une moyenne de 6,4 pour l’ensemble du secteur des banques cotées sur la BRVM, le marché financier commun de l’UEMOA.  



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