Category: Economie

  • Rawbank s’associe à OADC pour accélérer la transformation numérique et l’inclusion financière en RDC

    Rawbank s’associe à OADC pour accélérer la transformation numérique et l’inclusion financière en RDC

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    (RAWBANK) – Rawbank, leader de l’innovation bancaire en RDC, a annoncé son partenariat avec OADC – Texaf Kinshasa, le premier centre de données neutre en termes de réseau et certifié Tier-III par l’Uptime Institute dans le pays. Cette initiative s’inscrit dans la stratégie de Rawbank visant à améliorer ses services bancaires numériques et à promouvoir l’inclusion financière en investissant dans une infrastructure de classe mondiale.

    Alors que la RDC poursuit sa forte croissance économique, Rawbank a consolidé sa position en tant que leader de la transformation numérique, en développant des innovations répondant aux demandes évolutives du marché tout en soutenant l’expansion de l’économie numérique. En hébergeant ses actifs numériques dans le centre de données OADC – Texaf Kinshasa, Rawbank garantit un environnement sécurisé, évolutif et fiable, ce qui lui permet d’améliorer des services comme sa plateforme de mobile money, illicoCash, et d’étendre son accès aux communautés mal desservies. Ce partenariat renforce la capacité de Rawbank à offrir des solutions bancaires innovantes et accessibles dans tout le pays.

    Nous sommes ravis d’accueillir Rawbank dans notre centre de données OADC – Texaf Kinshasa, a déclaré Mohammed Bouhelal, directeur général de OADC – Texaf Kinshasa. “Cette collaboration souligne le rôle crucial que joue notre infrastructure dans la transformation numérique des secteurs clés, y compris le secteur bancaire. La décision de Rawbank met en évidence notre valeur en termes de connectivité, de résilience et d’évolutivité.

    Les efforts de Rawbank pour promouvoir l’inclusion financière ont reçu une reconnaissance internationale, avec des partenariats clés avec des institutions comme la Société Financière Internationale (IFC), la Banque Africaine de Développement (BAD) et le Fonds Africain de Garantie (AGF), apportant des ressources précieuses pour soutenir la croissance.

    Ce partenariat avec OADC – Texaf Kinshasa marque une étape importante dans notre parcours vers la modernisation des services bancaires en RDC”, a déclaré Mustafa Rawji, directeur général de Rawbank. “En tirant parti d’une infrastructure numérique de classe mondiale, nous renforçons notre engagement à offrir des solutions bancaires sécurisées, accessibles et efficaces à tous les Congolais. Nous sommes impatients de voir les opportunités que cette collaboration offrira à nos clients et à la communauté au sens large.

    À propos de Rawbank

    Depuis 22 ans, avec un total d’actifs de 5 milliards de dollars, Rawbank soutient le développement de l’économie congolaise. Première banque de la RDC depuis 12 ans, Rawbank offre les produits et services les plus modernes à ses plus de 500 000 clients (entreprises, PME et particuliers) grâce à un réseau de plus de 100 agences dans 19 provinces du pays, une offre numérique avec Illicocash, la banque par Internet et plus de 250 distributeurs automatiques de billets (DAB). Le travail de Rawbank a été récompensé par le prix African Bankers Award 2022 de la meilleure banque régionale d’Afrique centrale, par la note CAA 1 de Moody’s et par les certifications ISO/IEC 20000 et ISO/IEC 27001. Les partenaires qui font confiance à RAWBANK sont notamment : BAD, AGF, BADEA, SFI, Shelter Africa et TDB. Pour plus d’informations, visitez notre site web : www.rawbank.com

    À propos du centre de données OADC Texaf – Kinshasa

    Le centre de données OADC Texaf – Kinshasa, d’une capacité de 2MW, est le premier centre de données certifié Tier-III, neutre en termes de réseau, et accessible en libre-service en RDC. Conçu pour répondre à la demande croissante de services numériques dans le pays, cette installation de classe mondiale constitue un élément essentiel pour l’expansion de l’écosystème numérique de la RDC, en particulier pour l’industrie bancaire. https://openaccessdc.net/oadc-kinshasa/

    À propos d’Open Access Data Centres

    Open Access Data Centres (OADC), une société du groupe WIOCC, est l’entreprise de centres de données à la croissance la plus rapide en Afrique. Elle déploie une infrastructure de centres de données hyperscale ouverte et neutre en termes de réseau à travers l’Afrique, offrant une expérience client inégalée, des solutions sur mesure et des systèmes d’information de pointe pour soutenir les décisions commerciales des clients.

    OADC déploie des centres de données ouverts Tier-III dans des hubs commerciaux clés et des sites stratégiques en Afrique, en particulier près des points d’atterrissage de câbles sous-marins.

    OADC EDGE, ses centres de données de proximité, sont également déployés dans des sites plus petits pour étendre la couverture réseau et répondre aux besoins croissants de stockage, traitement et livraison de contenu au plus près des utilisateurs.

    OADC est une entreprise responsable sur le plan environnemental, engagée dans une gestion durable et cherchant à obtenir diverses accréditations dans ce domaine. http://www.openaccessdc.net/

    À propos de TEXAF

    Fondée en 1925, TEXAF est la seule entreprise cotée en bourse avec toutes ses activités basées en République Démocratique du Congo (RDC). Actuellement concentrée sur l’immobilier et les carrières, TEXAF développe également une nouvelle activité dans le secteur numérique avec l’ambition de devenir un acteur majeur de ce domaine.

    Sa cotation en bourse, assortie d’obligations de bonne gouvernance et de transparence, constitue un atout important pour le développement du groupe et pour la promotion du secteur formel en RDC. www.texaf.be



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  • Togo-Incendie au marché d’Amou-Oblo : Des dégâts matériels importants –

    Togo-Incendie au marché d’Amou-Oblo : Des dégâts matériels importants –

    Un incendie s’est déclenché dans la nuit de vendredi à samedi, entre le 27 et le 28 décembre 2024, au marché d’Amou-Oblo, l’un des plus grands centres commerciaux de la région des Plateaux.

    Le sinistre a été causé, selon les premières informations des autorités locales, par une fournaise traditionnelle mal éteinte.

    Heureusement, aucune perte en vie humaine n’est à déplorer, bien que l’incendie ait causé des dégâts importants. Des stocks de marchandises auraient été détruits par les flammes, affectant de nombreux commerçants locaux. Les sapeurs-pompiers, arrivés sur les lieux, ont pu maîtriser l’incendie et éviter qu’il ne se propage à d’autres structures. Selon les autorités municipales, « un hangar de dimension 6m x 3m avec trois cellules de part et d’autre », a été endommagé.

    « Des premières constatations, le foyer de l’incendie serait issu d’une fournaise traditionnelle mal éteinte. Une enquête sera ouverte pour déterminer les causes réelles et prendre des mesures appropriées pour éviter ce genre d’incident à l’avenir », a annoncé la mairie d’Amou 2.

    Le marché d’Amou-Oblo, véritable carrefour commercial de la région, accueille chaque semaine de nombreux commerçants venus des préfectures voisines, notamment l’Ogou, l’Agou et la préfecture d’Amou. Ce marché, particulièrement animé chaque vendredi, constitue un pôle économique vital pour les habitants des Plateaux.

  • La Société de garantie du Gabon couvrira 50% des prêts de la BCEG aux PME

    La Société de garantie du Gabon couvrira 50% des prêts de la BCEG aux PME

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    (Agence Ecofin) – Ce dispositif vise à faciliter l’accès au crédit pour les entrepreneurs gabonais, en soutenant la réalisation des projets à forte valeur ajoutée, dans un contexte où les PME peinent à obtenir des financements bancaires, alors qu’elles représentent près de 90% du tissu économique.

    La Société de garantie du Gabon (SGG) et la Banque pour le Commerce et l’Entrepreneuriat du Gabon (BCEG), la dernière banque créée dans le pays, ont signé une convention de garantie de portefeuille de prêts de 5 milliards FCFA (environ 8 millions de dollars), pour soutenir les PME/PMI gabonaises.

    Officiellement validé le lundi 6 janvier 2025, cet accord permettra à la SGG, de garantir à hauteur de 50% les crédits accordés aux petites entreprises par la BCEG. Cette facilité devrait permettre à la banque gabonaise de mobiliser jusqu’à 10 milliards FCFA au profit de cette catégorie d’entreprises.

    L’objectif est de faciliter l’accès au crédit pour les PME gabonaises, moteurs clé de la croissance économique du pays, mais qui ont des difficultés à accéder aux financements bancaires. Cette transaction vise aussi à sécuriser le capital de la BCEG tout en augmentant sa capacité de financement, à stimuler l’innovation et à accompagner les entrepreneurs dans la réalisation de leurs projets.

    « Cette initiative reflète notre engagement à soutenir durablement l’entrepreneuriat local, à promouvoir un écosystème économique inclusif et à renforcer la confiance dans les institutions financières », indique la BCEG. En plus du financement, ce partenariat prévoit un accompagnement des entrepreneurs par des formations pour les aider à mieux gérer leurs projets.

    Ce dispositif devrait permettre de stimuler des secteurs essentiels de l’économie, tels que le transport, l’agriculture, l’entrepreneuriat vert et féminin, tout en favorisant la création d’emplois et le développement inclusif des zones rurales et urbaines.

    Il s’agit du premier financement obtenu par la BCEG, depuis le lancement de ses activités le 18 décembre 2024. Dotée d’un capital de 17 milliards FCFA, cette banque 100% gabonaise, devient ainsi le sixième établissement financier à bénéficier d’un mécanisme de partage des risques avec la SGG, après la BGFI Bank, la BICIG, l’UGB, la SODEC et EDG.

    Lancée en 2022, la SGG revendique à ce jour, avoir mis à la disposition des établissements de crédit du pays, une ligne de garantie de plus de 22 milliards FCFA. Cette société de garantie a été fondée par le Fonds Gabonais d’Investissements Stratégiques (FGIS) et portée par Okoumé Capital, avec pour mission de favoriser le développement des PME et la diversification de l’économie, en facilitant l’accès aux financements par le biais de garanties auprès des établissements de crédit. 

    Sandrine Gaingne

    Edité par M.F. Vahid Codjia



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  • Afrique du Sud : la BEI et la DBSA mobiliseront 220 millions $ pour le renouvelable

    Afrique du Sud : la BEI et la DBSA mobiliseront 220 millions $ pour le renouvelable

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    (Agence Ecofin) – Le nouveau financement vise à appuyer le secteur privé opérant dans le domaine de l’énergie propre dans le pays le plus industrialisé du continent.

    La Banque européenne d’investissement (BEI) et la Banque de développement de l’Afrique australe (DBSA) ont annoncé, dans un communiqué commun publié mercredi 11 septembre, qu’elles prévoient de décaisser des prêts d’un total de 200 millions d’euros (220 millions $) pour financer un programme de développement des énergies renouvelables par des producteurs d’électricité indépendants en Afrique du Sud.

    Les deux institutions contribueront à parts égales (100 millions d’euros chacune) à ce programme auquel elles avaient déjà fourni un financement de 400 millions d’euros en 2022, a-t-on précisé de même source, indiquant que cette initiative s’inscrit dans le cadre de Global Gateway, la stratégie d’investissement extérieure de l’Union européenne (UE) ciblant les infrastructures propres et durables.    

    « Notre partenariat solide et durable avec la BEI a franchi une étape stimulante en augmentant notre soutien financier aux énergies renouvelables. Cette collaboration reflète notre engagement commun en faveur d’un avenir plus vert », a commenté la PDG de la DBSA, Boitumelo Mosako, citée dans le communiqué.

    « Investir dans les énergies renouvelables n’est pas seulement impératif pour lutter contre les changements climatiques, mais cela permettra également d’assurer un approvisionnement énergétique plus fiable, dont les entreprises ont besoin pour se développer », a déclaré de son côté le vice-président de la BEI, Ambroise Fayolle.  

    Notons que la contribution de la BEI est distincte de l’enveloppe de 1 milliard d’euros qu’elle avait accepté de verser à l’Afrique du Sud dans le cadre du « Partenariat pour une transition énergétique juste » (Just Energy Transition Partnership – JETP), un plan de financement de la transition énergétique conclu en 2021 entre le pays le plus industrialisé du continent et plusieurs pays riches, dont la France, l’Allemagne et les Etats-Unis.

    Lire aussi:

    16/07/2024 – Afrique du Sud : 2,4 milliards $ visés auprès des pays riches pour la transition énergétique

     05/03/2024 – Afrique du Sud : closing financier pour un projet de 520 MW d’énergies renouvelables destinées à des opérations minières

    18/11/2023 – L’Allemagne accorde un prêt de 500 millions € pour la transition énergétique en Afrique du Sud

    20/10/2023 – Transition énergétique : l’Afrique du Sud mobilise 676 millions $ sous forme de subventions



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  • Au Ghana, Chipper Cash décroche sa première licence de courtier

    Au Ghana, Chipper Cash décroche sa première licence de courtier

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    (Agence Ecofin) – Chipper Cash ne sera plus seulement une application pour envoyer ou recevoir de l’argent. Elle devient aussi un outil pour investir en bourse, un pas vers la démocratisation de l’accès aux marchés financiers. De plus en plus de fintech africaines explorent cet horizon de croissance. 

    La fintech Chipper Cash, opérée par Critical Ideas, vient de décrocher sa première licence de courtier, délivrée par la Commission des valeurs mobilières du Ghana. 

    Déjà bien établie comme une application de paiement transfrontalier (Nigeria, Ghana, Kenya, et Afrique du Sud), cette nouvelle étape marque l’entrée de la fintech africaine, cofondée en 2018 par Ham Serunjogi (Ouganda) et Maijid Moujaled (Ghana), dans le secteur de l’investissement.

    Avec cette licence, Chipper Cash est désormais autorisée à offrir des services de courtier en valeurs mobilières pour les clients individuels et institutionnels. Les plus de 7 millions d’utilisateurs pourront acheter et vendre des actions, des obligations et d’autres instruments financiers directement via la plateforme, démocratisant ainsi l’accès aux services financiers pour un public auparavant exclu ou limité dans ses options d’investissement.

    Grâce à l’introduction d’investissements fractionnés (ETF), ils peuvent également investir dans des titres coûteux avec de petites sommes, une fonctionnalité qui devrait attirer les jeunes et les novices dans le domaine de l’investissement. 

    L’acquisition de cette licence permet à la fintech d’avoir un accès direct aux marchés financiers, avec des transactions plus rapides et des coûts réduits (0,15 % par transaction, et un coût d’ouverture de compte unique de 10 $), un avantage concurrentiel important​.

    De plus, l’application offrira des conseils personnalisés en gestion de patrimoine via des outils d’intelligence artificielle et d’analyse de données. Les utilisateurs auront également accès aux introductions en bourse (IPO) pour investir dans des entreprises nouvellement cotées.​

    Cette expansion dans le domaine du courtier en valeurs mobilières n’est qu’une partie de la stratégie de diversification de Chipper Cash. Déjà valorisée à plus de 2 milliards de dollars après une levée de fonds de 250 millions de dollars en 2021, la licorne africaine se positionne désormais parmi les leaders africains de la fintech, aux côtés de start-up comme Flutterwave et Interswitch​. 

    Sur le marché du courtage africain, Chipper Cash rejoint d’autres start-up comme Trove et Chaka, qui se concentrent sur l’accès aux marchés financiers internationaux. Toutefois, avec son modèle de paiements transfrontaliers sans frais et ses services de courtier, la fintech devient l’une des premières d’Afrique à combiner paiements numériques et courtage en bourse. 

    Fiacre E. Kakpo



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  • Le nigérian Risevest rachète Hisa, son concurrent au Kenya

    Le nigérian Risevest rachète Hisa, son concurrent au Kenya

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    (Agence Ecofin) – Un an après l’acquisition de la fintech Chaka, ciblant des investissements dans des actifs au Nigeria et à l’étranger, la plateforme d’investissement Risevest poursuit ses acquisitions.

    Risevest, la plateforme qui permet à des Nigérians d’investir dans un portefeuille d’actions, de propriétés locatives et d’actifs libellés en $, a officiellement racheté Hisa, une entité qui propose des services similaires au Kenya. L’annonce a été faite ce mercredi 11 septembre 2024, par Erick Asuma, cofondateur de Hisa.

    Ce rachat est approuvé par l’Autorité des marchés des capitaux du Kenya (Capital Markets Authority – CMA). Il autorise Risevest à opérer au Kenya où la plateforme d’investissement domiciliée au Nigeria et aux Etats-Unis, prévoit de conserver la marque et les opérations de Hisa. La fintech continuera d’accompagner des Kényans désireux d’investir dans des actions et fonds indiciels (ETF) américains.

    « Nous n’avons pas l’intention de faire beaucoup de changements au sein de Hisa qui résonne bien auprès des Kényans. Nous préférons comprendre l’entreprise, sa culture, et le marché dans lequel nous entrons », a fait savoir Eke Urum (photo), CEO de Risevest.

    Cette acquisition est la deuxième effectuée par Risevest en un an. En septembre 2023, en effet, cette plateforme d’investissement avait racheté Chaka, une fintech nigériane qui permet d’investir dans des actifs et titres à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Pour ces deux transactions, les montants déboursés n’ont pas été divulgués.

    Hisa a été fondée en 2020 pour permettre à des particuliers kényans d’accéder à différentes options d’investissement comme les actions et les ETF américaines.

    Au Nigeria, le secteur de la fintech représente environ un tiers du marché africain des sociétés de services financiers, selon une note de la Banque mondiale publiée en avril 2024. Près de la moitié des adultes nigérians ne sont toujours pas bancarisés, principalement en raison des limites de l’infrastructure bancaire traditionnelle qui n’atteint pas les zones rurales et éloignées.

    Chamberline Moko



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  • Gozem lancera son service Mobile Money au 4e trimestre 2024 au Togo

    Gozem lancera son service Mobile Money au 4e trimestre 2024 au Togo

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    (Agence Ecofin) – En pleine croissance, le marché du Mobile Money en Afrique devrait enregistrer une progression annuelle comprise entre 16 % et 20 % d’ici 2030, selon les projections. Après les géants des télécoms, ce sont désormais les fintech comme Gozem, Wave et Sama qui commencent à s’emparer du secteur, en misant sur l’inclusion financière et l’innovation technologique pour transformer les usages quotidiens.

    Connue pour ses services de mobilité urbaine, la start-up Gozem, basée à Lomé, franchit un cap avec le lancement de Gozem Money, une solution de Mobile Money en partenariat avec NSIA Banque, prévue pour le quatrième trimestre 2024.

    L’annonce a été faite le mercredi 11 septembre 2024, lors d’une conférence de presse à Lomé. Avec ce service, la start-up ambitionne d’offrir aux Togolais une palette de services financiers numériques, allant du paiement de factures à l’achat en ligne, en passant par les transferts d’argent. Le tout via son application mobile.

    Ce lancement intervient quelques mois après l’acquisition de la start-up béninoise Moneex, spécialisée dans les paiements électroniques. Une orientation stratégique qui a permis à Gozem d’accélérer son entrée sur le marché financier ouest-africain. Le Togo servira de tremplin, avant que le service ne s’étende à d’autres pays où l’entreprise est déjà implantée, notamment le Bénin, le Gabon et le Cameroun.

    Le choix du Togo pour se lancer est bien stratégique. Le marché togolais du Mobile Money est en pleine expansion. En 2024, il a atteint une valeur totale de transactions de 917 milliards FCFA (1,54 milliards $) au premier trimestre, soit une hausse de 3% par rapport au trimestre précédent. Ce dynamisme est principalement porté par les opérateurs Togocom, avec son service TMoney, qui domine 61% du marché, et Moov Africa Togo avec Flooz, qui détient 39%. TMoney a enregistré une croissance de 11%, atteignant 649 milliards FCFA tandis que Flooz a subi une baisse de 12 %, avec 269 milliards FCFA.

    Malgré l’explosion du Mobile Money au Togo, le marché conserve encore un vaste espace à conquérir. Coris Money, bien que présent, peine à se faire une place face aux leaders. Quant à Wave, son ambition de s’implanter dans le pays a été stoppée par les autorités togolaises.

    Si l’envoi, la réception et le paiement de factures via Mobile Money se sont généralisés dans le cadre de la modernisation de l’économie togolaise, l’usage du Mobile Money pour les transactions marchandes reste encore à la traîne, loin de l’utilisation observée avec M-Pesa au Kenya. Un paradoxe pour un marché en pleine transformation, mais qui révèle un potentiel considérable pour des solutions innovantes. En effet, dans ce petit pays d’Afrique de l’Ouest de 8 millions d’habitants, le taux de pénétration du Mobile Money ne dépasse pas 42,4%, loin des champions régionaux.

    Au Bénin, qui pourrait bien être le prochain marché cible de Gozem Money, ce taux atteint 89%. Un contraste frappant, alimenté par un marché béninois interopérable et fortement dominé par trois acteurs majeurs : MTN, Moov et Celtis, l’opérateur public, qui se partagent l’essentiel des parts de marché.

    Fiacre E. Kakpo



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  • Afrique du Sud : la BEI et la DBSA mobiliseront 220 millions $ pour le renouvelable

    Afrique du Sud : la BEI et la DBSA mobiliseront 220 millions $ pour le renouvelable

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    (Agence Ecofin) – Le nouveau financement vise à appuyer le secteur privé opérant dans le domaine de l’énergie propre dans le pays le plus industrialisé du continent.

    La Banque européenne d’investissement (BEI) et la Banque de développement de l’Afrique australe (DBSA) ont annoncé, dans un communiqué commun publié mercredi 11 septembre, qu’elles prévoient de décaisser des prêts d’un total de 200 millions d’euros (220 millions $) pour financer un programme de développement des énergies renouvelables par des producteurs d’électricité indépendants en Afrique du Sud.

    Les deux institutions contribueront à parts égales (100 millions d’euros chacune) à ce programme auquel elles avaient déjà fourni un financement de 400 millions d’euros en 2022, a-t-on précisé de même source, indiquant que cette initiative s’inscrit dans le cadre de Global Gateway, la stratégie d’investissement extérieure de l’Union européenne (UE) ciblant les infrastructures propres et durables.    

    « Notre partenariat solide et durable avec la BEI a franchi une étape stimulante en augmentant notre soutien financier aux énergies renouvelables. Cette collaboration reflète notre engagement commun en faveur d’un avenir plus vert », a commenté la PDG de la DBSA, Boitumelo Mosako, citée dans le communiqué.

    « Investir dans les énergies renouvelables n’est pas seulement impératif pour lutter contre les changements climatiques, mais cela permettra également d’assurer un approvisionnement énergétique plus fiable, dont les entreprises ont besoin pour se développer », a déclaré de son côté le vice-président de la BEI, Ambroise Fayolle.  

    Notons que la contribution de la BEI est distincte de l’enveloppe de 1 milliard d’euros qu’elle avait accepté de verser à l’Afrique du Sud dans le cadre du « Partenariat pour une transition énergétique juste » (Just Energy Transition Partnership – JETP), un plan de financement de la transition énergétique conclu en 2021 entre le pays le plus industrialisé du continent et plusieurs pays riches, dont la France, l’Allemagne et les Etats-Unis.

    Lire aussi:

    16/07/2024 – Afrique du Sud : 2,4 milliards $ visés auprès des pays riches pour la transition énergétique

     05/03/2024 – Afrique du Sud : closing financier pour un projet de 520 MW d’énergies renouvelables destinées à des opérations minières

    18/11/2023 – L’Allemagne accorde un prêt de 500 millions € pour la transition énergétique en Afrique du Sud

    20/10/2023 – Transition énergétique : l’Afrique du Sud mobilise 676 millions $ sous forme de subventions



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  • Plus de 90 millions $ levés en 9 ans, par la fintech égyptienne Paymob

    Plus de 90 millions $ levés en 9 ans, par la fintech égyptienne Paymob

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    (Agence Ecofin) – Paymob couvre 5 pays de la zone MENA. Elle est soutenue par des investisseurs mondiaux et régionaux tels que PayPal Ventures, Kora Capital, Clay Point Capital, Global Ventures, FMO, A15, British International Investment, Helios Digital Ventures et Nclude.

    La fintech égyptienne Paymob qui fournit des solutions de paiement numérique aux entreprises du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (Mena), a obtenu une extension de série B d’un montant de 22 millions $. L’annonce a été faite le mercredi 11 septembre 2024.

    La levée de fonds a été menée par la branche de capital-risque de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), EBRD Venture Capital, conjointement avec le fonds Endeavor Catalyst. Plusieurs anciens investisseurs y ont participé.

    Cette extension porte à 72 millions $, le total des fonds levés par Paymob dans le cadre de son financement de série B dont la première partie, soit 50 millions $, a été obtenue en mai 2022. L’entreprise cofondée par les associés Islam Shawky, Alain El Hajj et Mostafa El Menessy, a désormais atteint un montant global de 90,5 millions $, levés depuis sa création en 2015 à ce jour.

    La fintech qui a lancé ses opérations au Pakistan en 2021, aux Emirats arabes unis en 2022, en Arabie saoudite en 2023 et à Oman au Moyen-Orient en janvier 2024, poursuivra sa croissance en Egypte, son marché principal, et à l’international avec pour ambition de devenir la principale société de paiements numériques dans la région Mena.

    « Ce financement aidera Paymob à capitaliser pleinement sur la dynamique de nos marchés établis, alors que nous accélérons notre déploiement dans le Conseil de coopération du Golfe (CCG) », a déclaré Islam Shawky.

    Paymob qui affirme avoir multiplié par 3,5 sa clientèle en 2023, offre plus de 50 moyens de paiement en ligne et hors ligne, ainsi que des services à valeur ajoutée à plus de 250 000 commerçants dans les cinq pays couverts. La société est soutenue par des investisseurs mondiaux et régionaux tels que PayPal Ventures, Kora Capital, Clay Point Capital, Global Ventures, FMO, A15, British International Investment, Helios Digital Ventures et Nclude.

    En Egypte et dans la région MENA, le paysage des paiements numériques connaît une transformation importante. Selon le New Payments Index 2022 de MasterCard, 85 % des habitants de la région ont utilisé au moins une méthode de paiement alternative (portefeuilles mobiles, Buy Now and Pay Later, biométrie…) en 2022. Les paiements numériques dans la zone devraient passer de 204 milliards $ en 2023 à 343 milliards $ en 2028.

    Chamberline Moko                          



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  • Maroc : Falcon Energy Materials et Hensen vont construire une usine d’anodes

    Maroc : Falcon Energy Materials et Hensen vont construire une usine d’anodes

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    (Agence Ecofin) – L’usine produira à terme 25 000 tonnes par an de graphite purifié sphérique enrobé, un composant essentiel des anodes de batteries électriques. Son approvisionnement en matières premières pourrait être assuré par un groupe chinois qui développe une mine de graphite en Guinée. 

    Falcon Energy Materials, un groupe canadien spécialisé dans la production de composants de batteries pour véhicules électriques, a annoncé, dans un communiqué publié le lundi 9 septembre 2024, la signature d’un accord de partenariat technique et stratégique avec le groupe chinois Hensen Graphite & Carbon Corporation pour développer conjointement une usine d’anodes au Maroc.

    L’usine devrait produire 25 000 tonnes par an de graphite purifié sphérique enrobé (CSPG), un composant essentiel des anodes de batteries électriques, a-t-on précisé de même source.

    Selon les termes de l’accord, Hensen et Falcon collaboreront pour « développer un processus de production de CSPG qui répondra à toutes les exigences de qualité des utilisateurs finaux tout en promouvant les normes de transparence et de durabilité les plus élevées de l’industrie ».

    Dans ce cadre, les deux partenaires prévoient de travailler avec les sociétés d’ingénierie Tanger Med Engineering (Maroc) et Dorfner Anzaplan GmbH (Allemagne) pour élaborer, d’ici le quatrième trimestre 2024, une évaluation économique préliminaire (PEA) destinée à soutenir le financement de la construction de l’usine.

    En ce qui concerne l’approvisionnement de l’usine en graphite, Falcon Energy Materials a précisé avoir déjà reçu une « proposition clés en main » de Shandong Xinhai Mining Technology & Equipment, un groupe chinois qui développe la mine de graphite de Lola en Guinée.

    « La nature très complexe de la chaîne d’approvisionnement de CSPG, qui est presque entièrement dominée par la Chine, fait des partenariats chinois une voie essentielle vers le succès », a déclaré le PDG du groupe canadien, Matthieu Bos, cité dans le communiqué.

    Lire aussi:

    25/03/2024 – Maroc : le chinois Hunan Zhongke Shinzoom prévoit d’investir 500 millions $ dans une usine d’anodes pour batteries

    19/08/2024 – Maroc : une firme chinoise investira 363 millions $ dans les batteries électriques

    30/03/2024 – Maroc : le gouvernement donne son feu vert pour l’usine de cathodes de batteries électriques de BTR New Material

    09/01/2024 – Maroc : le chinois BTR New Material Group investira 497 millions $ dans une usine de cathodes de batteries électriques

    25/09/2023 – Maroc : le sud-coréen LG Chem s’associe au chinois Huayou pour construire deux usines de matériaux pour batteries électriques



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