Category: Economie

  • Nigeria : Nasir El-Rufai lancera un fonds de 100 millions $ ciblant des start-up du nord du pays

    Nigeria : Nasir El-Rufai lancera un fonds de 100 millions $ ciblant des start-up du nord du pays

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    (Agence Ecofin) – Après Aduna Capital qui consacre près de la moitié des investissements de son nouveau fonds à des start-up du Nord du Nigeria, un autre fonds de capital-risque, soutenu par l’ancien gouverneur de Kaduna, prévoit également d’investir dans des entreprises innovantes de la région.

    Nasir Ahmad El-Rufai (photo), gouverneur de l’Etat de Kaduna, dans le Nord-Ouest du Nigeria de 2015 à 2023, a annoncé sur son compte X (twitter) le lundi 4 décembre 2023, le lancement d’un fonds de capital-risque de 100 millions $ qui investira dans des entreprises innovantes et en phase de démarrage au Nord du Nigeria.

    Ce fonds sera par la suite déployé dans l’ensemble du pays. Il sera géré par la société de capital-risque Afri-Venture Capital qui lancera ses activités en janvier 2024.

    Sur les 100 millions $, Ahmad El-Rufai apportera 2 millions $ et promet de mobiliser le montant restant auprès d’investisseurs étrangers et locaux. 

    Pour cet homme politique, les jeunes entrepreneurs nigérians « ont essentiellement besoin de mentorat et de financement pour faire avancer leurs activités ». C’est la raison pour laquelle il propose de leur fournir « le financement de démarrage dont ils ont besoin, en échange d’une participation dans le capital de leurs entreprises ». Le montant à investir dans chaque start-up et le nombre de parts à acquérir par le fonds n’ont pas été précisés.

    Plusieurs firmes d’investissement ont choisi d’investir tout ou une partie de leurs financements dans des start-up du Nord du Nigeria. Fin novembre dernier, Aduna Capital a procédé au lancement d’un fonds de 20 millions $ qui consacrera 55 % de son capital à des start-up de la région. Pour cette firme d’investissement, cette localité « dispose d’une immense opportunité de marché pour le lancement et la mise à l’échelle de produits à travers le continent ».

    Le premier closing du fonds annoncé par Nasir Ahmad El-Rufai est attendu de même que l’apport des investisseurs étrangers et locaux. 

    Chamberline MOKO

    Lire aussi:

    Nigeria : Aduna lance un fonds de 20 millions $ qui investira 55 % de son capital dans des start-up du nord du Nigeria 



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  • Egypte : Al Baraka Bank mobilise 50 millions $ pour renforcer son portefeuille de prêts aux PME

    Egypte : Al Baraka Bank mobilise 50 millions $ pour renforcer son portefeuille de prêts aux PME

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    (Agence Ecofin) – Suite à la signature d’un accord de prêt avec la SFI, Al Baraka Bank Egypt prévoit accroître son exposition à des PME des secteurs de la technologie, des transports et de la santé. L’initiative contribuera à soutenir ces PME qui font face à un déficit de financement de près de 71 milliards $ en Egypte.

    La banque islamique cotée à la bourse égyptienne, Al Baraka Bank Egypt a procédé le lundi 4 décembre 2023, à la conclusion d’un accord de financement d’un montant de 50 millions $ avec la Société financière internationale (SFI).

    Cette ligne de crédit est légèrement en deçà des 55 millions $ que la SFI avait initialement prévu investir dans cette banque commerciale égyptienne. Le financement soutiendra l’expansion de son portefeuille de prêts à des micro, petites et moyennes entreprises (MPME) ainsi qu’à des PME dirigées par des femmes.

    Al Baraka Bank Egypt qui a pour premier actionnaire, avec 73,68 % de parts, le groupe d’investissement bahreïnite Al Baraka Banking Group (ABG) entend accroître son exposition aux entreprises des secteurs de la technologie, des transports, de la communication et de la santé. Au moins 25 % des prêts de la banque seront réservés à des PME appartenant à des femmes.

    L’établissement qui a créé en 2022 une division spécifique dédiée au financement des PME affirme avoir augmenté son portefeuille de financement de ces entreprises de 51 %, pour atteindre 4,6 milliards de livres égyptiennes en 2022 contre 3 milliards de livres égyptiennes en 2021.

    En Egypte, le déficit de financement des MPME est estimé à 71 milliards $, selon des données citées par la SFI. Cette situation entrave leur croissance dont la contribution au développement économique du pays est significative.

    « Grâce à un accès accru au financement, les MPME peuvent développer leurs activités et bâtir des communautés plus fortes… En soutenant également des petites entreprises appartenant à des femmes, nous investissons dans l’avenir de l’économie égyptienne », a fait savoir Cheick-Oumar Sylla, directeur régional de la SFI pour l’Afrique du Nord et la Corne de l’Afrique.

    Précisons que cet accord de financement est le deuxième conclu entre la SFI et Al Baraka Bank Egypt cette année. L’institution financière internationale s’était déjà engagée il y a quelques mois à soutenir les activités de financement du commerce à l’exportation des clients d’Al Baraka Bank Egypt.

    Chamberline Moko



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  • Les financements en dette représentent 42,3% des levées de fonds des start-up africaines sur les 11 premiers mois de 2023

    Les financements en dette représentent 42,3% des levées de fonds des start-up africaines sur les 11 premiers mois de 2023

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    (Agence Ecofin) – Alors que le refroidissement du marché mondial du capital-risque commence à gagner l’Afrique, les jeunes pousses du continent se tournent de plus en plus vers le financement non-dilutif pour combler leurs besoins en capitaux.

    Les start-up opérant en Afrique ont levé 1,1 milliard de dollars sous forme de dettes au cours des onze premiers mois de 2023, soit 42,3% du total des levées de fonds réalisées durant cette même période, selon des données publiées ce mardi 5 décembre par la plateforme Africa : The Big Deal.

    Les financements en dette (venture debt) mobilisés entre le 1er janvier et le 30 novembre 2023 sont en forte hausse par rapport à ceux récoltés durant la même période en 2022 (676 millions de dollars) et en 2021 (257 millions de dollars), a-t-on ajouté de même source.

    Avec environ 700 millions de dollars de dettes contractées, Sun King (financement de l’acquisition des kits solaires hors réseau), M-Kopa (financement de l’achat de produits tels que les smartphones, les systèmes d’énergie solaire hors réseaux et les contrats d’assurance santé) et MNT-Halan (fintech) ont accaparé environ deux-tiers du total des financements par emprunts mobilisés par l’ensemble des start-up africaines depuis le début de l’année 2023.

    Le principal avantage des emprunts pour les start-up réside dans le fait qu’il s’agit d’un financement non-dilutif dans la mesure où il permet aux fondateurs de garder l’actionnariat intact, sans avoir à vendre d’actions, ni à rémunérer à terme les investisseurs. 

    Africa : The Big Deal a par ailleurs révélé que le montant global des levées de fonds réalisées par les jeunes pousses actives sur le continent (fonds propres + dettes + subventions supérieures à 100 000 dollars) a atteint 2,6 milliards de dollars au cours des onze premiers mois de 2023. Ce montant ne représente cependant que 60% des levées de fonds recensées durant la même période en 2022.  

    Sur le seul mois de novembre 2023, les pépites africaines de la tech ont mobilisé 270 millions de dollars, dont 154 millions de dollars sous forme de financements par emprunt.  

    Lire aussi:

    24/01/2023 – Les prêts obtenus par les start-up africaines ont doublé en 2022 pour atteindre 1,5 milliard $ (rapport)

    08/09/2023 – En Afrique, 70% des investisseurs attendent des start-up un rapport mensuel concis, sincère et précis (rapport)

    17/11/2023 – Avec 738 licenciements au 3è trimestre 2023, les réductions d’effectifs s’amplifient dans les start-ups africaines (rapport)

    07/11/2023 – Les levées de fonds des start-up africaines ont augmenté de 23,6% en octobre 2023, à 144,3 millions $



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  • L’investisseur américain DFC entre au capital de l’entreprise ouest-africaine de produits forestiers Miro

    L’investisseur américain DFC entre au capital de l’entreprise ouest-africaine de produits forestiers Miro

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    (Agence Ecofin) – Annoncé en octobre 2023, l’investissement de 24 millions $ de l’institution américaine DFC au sein de l’entreprise de foresterie Miro a été signé début décembre, en marge de la COP28 à Dubaï. Cet engagement vise à encourager la production durable de bois et autres produits forestiers par cette firme engagée en Afrique.

    L’institution américaine de financement du développement, DFC, a annoncé ce mardi 5 décembre 2023, son entrée dans le tour de table de la société forestière Miro ForestryDevelopments Limited.

    Cette entrée va se matérialiser par un investissement en fonds propres de 24 millions $, au profit de cette entreprise de produits forestiers et de bois, opérant au Ghana et en Sierra Leone. L’accord entre Miro et la DFC a été signé en marge de la 28e Conférence des parties sur le climat de l’ONU (Cop28) qui se déroule du 30 novembre au 12 décembre 2023 à Dubaï, aux Emirats arabes unis.

    L’investissement soutiendra l’expansion de l’activité de production de bois de Miro. Cette entreprise augmentera sa capacité de production par an ainsi que son personnel en vue de générer un retour sur investissement à la fois économique, social et environnemental, non seulement pour ses actionnaires mais également pour les pays où elle opère.

    En soutenant Miro, la DFC explique vouloir accompagner une entreprise de foresterie durable qui contribue à la préservation de l’environnement, tout en générant des opportunités économiques.

    Cet investissement avait été annoncé début octobre. Miro figurait parmi les 132 transactions que l’investisseur américain a prévu de réaliser au cours de l’exercice 2023. Plusieurs institutions de financement du développement d’Europe et d’Amérique du Nord se sont engagées aux cotés de Miro, ces dernières années. 

    Chamberline MOKO

     



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  • Ismaël Cissé, Ceo de Sirius Capital : « La Finance climat, c’est un impératif, aujourd’hui indissociable du financement du développement »

    Ismaël Cissé, Ceo de Sirius Capital : « La Finance climat, c’est un impératif, aujourd’hui indissociable du financement du développement »

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    (SIRIUS CAPITAL) – La 28ème Conférence des Parties sur le Climat de l’ONU (COP 28) se déroule actuellement à Dubaï, aux Émirats Arabes Unis. En parallèle de ce rendez-vous mondial, Ismaël Cissé, CEO de Sirius Capital, interpelle sur la nécessité d’intégrer les enjeux climatiques dans les stratégies de financement du développement en Afrique. Les chiffres sont implacables : un financement inadéquat et un écart colossal entre les besoins et les ressources mobilisées. Cependant, le tableau n’est pas uniquement sombre. Le récent frémissement dans le marché des obligations vertes sur le continent signale un éveil, même timide, aux enjeux écologiques et financiers. 

    La question n’est plus de savoir si le changement climatique affecte l’Afrique, mais plutôt de comprendre quelles en sont les conséquences et comment y faire face. Selon la Banque Africaine de Développement (BAD), neuf des dix pays les plus vulnérables au changement climatique sont situés en Afrique. La BAD indique également que le changement climatique a entraîné une baisse de 5 à 15 % de la croissance du PIB par habitant en Afrique. Une autre étude suggère que les pays africains pourraient voir leur taux de croissance du PIB chuter jusqu’à 64 % d’ici la fin du siècle. L’urgence est indiscutable.

    Cependant, les chiffres révèlent un tableau préoccupant : le continent n’absorbe que 3 % des flux financiers mondiaux consacrés au climat. De ce maigre pourcentage, seulement 14 % provient du secteur privé, bien en deçà des niveaux observés dans des régions comme l’Amérique latine ou l’Asie. Le défi financier est colossal : il faudra mobiliser 2 800 milliards de dollars d’ici 2030 pour réaliser les Contributions Déterminées au niveau National (CDN) des pays africains.

    Ce manque de financement n’est pas un simple déséquilibre ; il souligne une faille systémique dans notre approche globale du développement durable. Il est temps d’agir rapidement, car pour un continent qui ne contribue qu’à hauteur de 3,8 % des émissions mondiales, les conséquences sont disproportionnées.

    La finance climatique l’ensemble des investissements, prêts et mécanismes financiers destinés à soutenir des projets, politiques et technologies visant à encourager le développement durable et à atténuer les effets du changement climatique est certes loin d’être la solution unique à la crise climatique du continent. Cependant, elle est un levier décisif pour changer la donne.

    En cela, les institutions financières ont une responsabilité majeure dans cette équation. Un rapport de la Banque européenne d’investissement (BEI) dévoile que seulement 10 % des banques du continent ont restructuré leurs offres vers une finance plus verte.  Cela souligne le besoin urgent pour ces institutions d’intégrer ou de renforcer les critères environnementaux dans leurs mécanismes de prêt et d’évaluation.

    Les gouvernements ne peuvent pas être relégués à un rôle de simple spectateur. La mise en place d’incitations fiscales pour les investissements dans les projets verts et l’harmonisation des réglementations environnementales avec les standards internationaux peuvent servir de catalyseurs pour attirer plus de financements. Le défi sera aussi de promouvoir la transparence en fournissant des données fiables sur les performances environnementales des différents secteurs.

    Mais ajuster le système actuel n’est pas suffisant. Il faut innover. Ainsi, pour combler ce gap de financement, plusieurs stratégies peuvent être adoptées. Des fonds verts nationaux, alimentés par des revenus issus des ressources naturelles, pourraient être exclusivement dédiés à des projets écologiquement viables.

    La blended finance, qui combine des investissements de diverses sources, tels que les banques de développement ou les fonds de pension, aux côtés d’investisseurs privés, est une solution innovante susceptible d’atténuer les risques associés aux transactions de projets verts.

    Saisir les opportunités du marché des capitaux internationaux n’est pas une option, c’est une urgence. Avec seulement 1% des green bonds mondiaux, l’Afrique reste un acteur marginal de ce marché colossal évalué à plus de 500 milliards de dollars. Certes, les signaux sont encourageants : une hausse de 14 % des émissions d’obligations vertes et assimilées (GSS+) en 2022, selon Sustainable Fitch, indique une mobilisation croissante du continent. Ce frémissement financier cache pourtant une réalité implacable : l’Afrique, qui a besoin d’approximativement 250 milliards de dollars annuellement pour affronter le changement climatique, en génère à peine 30 milliards.

    Ce déficit n’est pas une équation insoluble, mais un défi commun qui réclame une mobilisation sans précédent des ressources et des compétences des secteurs public et privé. C’est en unissant ces forces que l’Afrique pourra combler cet abîme financier et, peut-être, réécrire les règles du jeu de la finance verte globale. Ce n’est pas une option. C’est un impératif. La COP 28 qui se tient à Dubaï pourrait être le début de ce changement de paradigme ou un nouveau rendez-vous manqué pour tous les acteurs de la finance climatique.



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  • Mozambique : AgdevCo annonce un investissement de 10 millions $ dans un producteur agricole

    Mozambique : AgdevCo annonce un investissement de 10 millions $ dans un producteur agricole

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    (Agence Ecofin) – Avec un total de 5 investissements réalisés à ce jour au Mozambique, AgdevCo poursuit ses engagements dans ce pays d’Afrique de l’Est. Sa récente opération a été conclue avec la firme agricole Dowson Limitada.

    L’investisseur d’impact britannique AgdevCo a annoncé le vendredi 1er décembre 2023, la réalisation d’un investissement de dette mezzanine d’un montant de 10 millions $, au profit de Dowson Limitada. Cette firme mozambicaine engagée dans la production de macadamias et d’avocats prévoit d’utiliser cette ressource pour étendre sa production au cours des 5 prochaines années. Dowson Limitada compte atteindre de nouveaux marchés d’exportation, tout en optimisant sa production.

    « Ce financement structuré permet à Dowson d’atteindre ses objectifs d’expansion dans le secteur des macadamias et des avocats. Nous attendons avec impatience une relation longue et mutuellement bénéfique avec AgdevCo », a commenté Jack Brotherton, cofondateur et directeur général de Dowson Limitada.

    En réalisant cet engagement au sein de Dowson Limitada, AgdevCo soutient l’industrie du macadamia et de l’avocat au Mozambique. Dans ce pays d’Afrique de l’Est, AgdevCo totalise 5 investissements dans des entreprises privées, pour un montant global de 18,3 millions $.

    Chamberline MOKO



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  • Maroc : la BCMI et la BERD signent un accord de prêt de 21,8 millions $ pour financer des PME dirigées par des

    Maroc : la BCMI et la BERD signent un accord de prêt de 21,8 millions $ pour financer des PME dirigées par des

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    (Agence Ecofin) – Dans le cadre du 5e accord de financement conclu avec la BERD, la BMCI s’est de nouveau engagée à faciliter l’accès aux financements pour des PME dirigées par des femmes. L’initiative fait partie du programme Women In Business lancé en 2018 par la BERD au Maroc.

    La Banque marocaine pour le commerce et l’industrie (BMCI) a conclu fin novembre 2023, un accord de prêt de 220 millions de dirhams (21,8 millions $) avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD). La ligne de financement a été accordée dans le cadre du programme Women In Business.

    Il s’agit d’une initiative mise sur pied en 2018 par la BERD pour octroyer via des institutions financières, des lignes de crédit et services de conseil à des petites et moyennes entreprises (PME) dirigées par des femmes au Maroc. Ainsi, dans le cadre de ce programme, la BERD s’est de nouveau associée à la banque commerciale marocaine BMCI pour aider les entreprises dirigées par des femmes à être plus compétitives et à lever des fonds dont elles sont besoin pour se développer.

    Cet accord marque le cinquième partenariat entre la BMCI et la BERD. Il soutiendra la filiale locale du français BNP Paribas « dans la consolidation de son modèle commercial et la continuité de sa transformation numérique », précise la banque dirigée depuis juin 2023 par Samir Mezine.

    Sur cette enveloppe de 220 millions de dirhams, la BMCI allouera une part minoritaire aux investissements liés au digital ainsi qu’une autre part toujours minoritaire aux PME de la région d’El Haouz, touchées par le séisme du 8 septembre dernier au Maroc.

    Depuis la signature du programme Women In Business avec la BERD en 2018, la BMCI affirme avoir investi 135 millions de dirhams pour financer environ 200 projets portés par des femmes entrepreneures au Maroc. Au-delà du financement, ces entreprises ont bénéficié d’une assistance technique comprenant des sessions de coaching, de mentorat, et de conseil.

    Chamberline MOKO

    Lire aussi:

    Maroc : le résultat net consolidé de la Banque marocaine pour le commerce et l’industrie progresse de 10,8 % à fin 2022 

    La Banque marocaine pour le commerce et l’industrie cède sa filiale de gestion d’actifs à CIH Bank, à 6,7 millions $ 



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  • Rwanda : la banque de Kigali obtient un prêt de 108 millions $ pour accroitre le financement axé sur le climat des PME

    Rwanda : la banque de Kigali obtient un prêt de 108 millions $ pour accroitre le financement axé sur le climat des PME

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    (Agence Ecofin) – En marge de la COP 28 qui se déroule actuellement aux Émirats arabes unis, la Banque européenne d’investissement, a signé avec la banque de Kigali, un accord de financement du secteur agricole et d’autonomisation économique des femmes.

    La Banque de Kigali, la plus grande banque commerciale du Rwanda en termes de total d’actifs, a procédé le 2 décembre à la signature d’un accord de financement de 100 millions d’Euros (108,7 millions $) avec la Banque européenne d’investissement (BEI).

    L’accord a été conclu en marge de la 28ème conférence des parties sur le Climat de l’ONU (COP 28) qui s’est ouverte le 30 novembre dernier à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Il représente le plus grand investissement de la BEI au Rwanda et servira à soutenir des entreprises agroalimentaires et agricoles, ainsi que des PME dirigées par des femmes.

    La Banque de Kigali accordera au moins 30 % de ces 100 millions d’Euros à des femmes entrepreneures, ainsi qu’à des entreprises dirigées par des femmes. En outre, l’institution soutiendra via des prêts à long terme, des entreprises agroalimentaires et coopératives agricoles qui font face à des contraintes de crédit, freinant leur développement. Ces dernières utiliseront ce financement pour améliorer leur productivité agricole, et investir dans des technologies modernes permettant de résister aux aléas du climat.

    « Le changement climatique a eu un impact sur la production agricole et la stabilité de l’agroindustrie au Rwanda. C’est la raison pour laquelle ce programme de financement du secteur privé élaboré avec les experts de la banque de Kigali et de la BEI permettra d’accélérer l’adaptation au changement climatique et aussi d’améliorer les opportunités économiques pour les femmes », a fait savoir Diane Karusisi, directrice générale de la Banque de Kigali.

    Alors que l’agriculture contribue à plus de 60 % de l’emploi au Rwanda, l’accès au financement dans le secteur agricole reste limité du fait du manque de garanties et d’antécédents de crédit. À côté de cela, l’écart entre les sexes en matière d’accès aux prêts agricoles reste important avec 74,5 % des hommes y ayant accès contre 25,5 % des femmes. Et pourtant, 71 % des femmes au Rwanda travaillent dans le secteur agricole.

    Chamberline Moko



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  • A la COP 28, Serge Ekue et la BOAD à l’offensive, multipliant accords et contacts

    A la COP 28, Serge Ekue et la BOAD à l’offensive, multipliant accords et contacts

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    (Agence Ecofin) – A la COP 28, la BOAD, menée par Serge Ekue, multiplie les contacts avec une stratégie offensive mais ciblée. Entre accords-cadres, partenariats financiers et engagements climatiques, l’institution de l’UEMOA cherche des ressources et partenariats stratégiques pour ses ambitions. 

    Deux accords-cadres, des signatures d’accords de financement, des MoU, des rencontres et un side event axé sur le climat… Voilà le ballet d’activités qui rythme la participation de la BOAD à la COP 28.

    Moins d’une semaine après le début de cette 28e Conférence des parties qui se tient jusqu’au 12 décembre 2023 à Dubaï aux Emirats arabes unis, Serge Ekue (photo au centre) a déjà signé pas moins de six accords.

    Un contrat de placement hybride signé avec Sidi Ould Tah de la Banque arabe pour le développement économique (BADEA) cristallise cette cadence effrénée. Le but est de renforcer les fonds propres de la BOAD dans le cadre de son opération d’augmentation de capital, consolider sa notation pour les cinq années à venir en tirant partie de la note de crédit Aa2 de la BADEA, et, avec le produit net de ce placement, injecter de l’énergie neuve dans des projets verts et sociaux. En juin 2022, sous l’approbation du Conseil des ministres de l’UEMOA, une déclaration tripartite avait scellé cet engagement.

    L’alliance avec FinDev Canada, matérialisée par une convention de 20 millions d’euros, s’inscrit dans une synergie plus large, celle d’une ligne de crédit de 150 millions d’euros (162 millions de dollars) avec la BAD et Cassa Depositi e Prestiti. L’objectif est de catalyser le développement du secteur privé, de l’agriculture et promouvoir l’équité de genre dans l’UEMOA. Dans ce deal, la BAD doit apporter 70 millions d’euros et la banque italienne 60 millions d’euros.

    Déjà forte d’un portefeuille de crédits assuré à hauteur de 11% auprès d’importantes institutions européennes d’assurance, seulement au début de l’année 2023, la BOAD veut accélérer. L’accord avec la Société islamique pour l’assurance de l’investissement et du crédit à l’exportation (ICIEC), membre du groupe de la Banque islamique de développement (BID), dirigée par Oussama Kaissi, pourrait marquer une étape clé dans cette dynamique où la BOAD mise sur l’utilisation stratégique de l’assurance-crédit pour gérer les risques.

    Un autre partenariat a été scellé avec Samaila Zubairu, PDG d’Africa Finance Corporation (AFC). Pour Serge Ekue qui a paraphé le MoU, ce mémorandum ouvre la voie à une collaboration renforcée pour l’identification et le cofinancement de projets dans l’UEMOA, pour deux institutions qui ont déjà travaillé ensemble sur plusieurs deals.

    Par ailleurs, un accord-cadre historique a été signé avec Ousmane Diagana, vice-président Afrique de l’Ouest et Afrique centrale de la Banque mondiale, marquant un nouveau chapitre de collaboration dans des domaines clés tels que le soutien au secteur privé, la sécurité alimentaire, les énergies renouvelables et la finance climatique.

    D’après le président de la banque, qui finance les huit Etats de l’UEMOA, cette collaboration marquera un « nouveau départ » dans divers secteurs, notamment le soutien au secteur privé, la sécurité alimentaire, les énergies renouvelables et la finance climatique.

    Enfin, la BOAD a renouvelé son partenariat avec le Fonds Vert pour le Climat. Une ré-accréditation qui, bien plus qu’une formalité, marque une montée en puissance de la banque lui permettant désormais de mobiliser jusqu’à 250 millions d’euros par projet. « Un nouvel élan », a souligné le financier béninois, alors que le plan Djoliba de la BOAD place le financement climatique au cœur de ses priorités, dans une région fortement affectée par le dérèglement climatique.

    C’est d’ailleurs dans cette optique que la BOAD a organisé un side event, axé sur la finance climat. Le panel inaugural de cet événement a mis en avant le thème crucial des villes durables, avec la participation de personnalités influentes telles que Boitumelo Mosako, CEO de la DBSA Bank, Touré Sy, directrice régionale de l’IUCN, Solomon Quaynor, vice-président secteur privé de la BAD, et Kako Nubukpo, commissaire agriculture et environnement à la commission de l’UEMOA, contribuant ainsi à enrichir le débat et à définir les futures directions en matière de développement durable et de finance climatique.

    Fiacre E. Kakpo



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  • Le géant sud-africain Aspen Pharmacare annonce le rachat des activités du suisse Sandoz en Chine

    Le géant sud-africain Aspen Pharmacare annonce le rachat des activités du suisse Sandoz en Chine

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    (Agence Ecofin) – La transaction porte essentiellement sur l’acquisition des droits de commercialisation et la propriété intellectuelle de certains médicaments établis et d’autres produits en cours de développement.

    Le groupe pharmaceutique sud-africain, Aspen Pharmacare, a annoncé ce lundi 4 décembre, qu’il va racheter les activités chinoises de son homologue suisse Sandoz y compris les droits de commercialisation et la propriété intellectuelle de certains médicaments établis et d’autres produits en cours de développement, pour un montant pouvant atteindre 92,6 millions d’euros (100,6 millions de dollars).

    Le portefeuille des médicaments établis qui sont déjà commercialisés par Sandoz comprend Sandostatin, Aclasta et Voriconazole, a-t-on précisé de même source.

    Dans le cadre de cette transaction, Aspen Global Incorporated, une filiale d’Aspen, cédera à Sandoz les droits de commercialisation et la propriété intellectuelle relatifs à quatre produits anesthésiques qui sont actuellement vendus par Aspen dans l’espace économique européen, en l’occurrence Nimbex, Tracrium, Carbocaine et Naropin.

    Le géant sud-africain a par ailleurs indiqué qu’il prévoit de débourser jusqu’à 92,6 millions d’euros dont 18,5 millions d’euros dépendraient des résultats des ventes du portefeuille de produits qui seront lancés par Sandoz à court et à moyen terme.

    Pour la cession de ses droits de commercialisation et de la propriété intellectuelle portant sur les anesthésiques au spécialiste suisse des médicaments génériques et biosimilaires, Aspen devrait recevoir jusqu’à 55,5 millions d’euros dont 9,3 millions d’euros dépendraient des résultats des ventes de ces produits.  

    Lire aussi:

    31/08/2022 – Le sud-africain Aspen s’allie à Serum Institute of India pour produire quatre vaccins destinés aux marchés africains

    04/05/2022 – Aspen Pharmacare, la première usine de fabrication de vaccins anti-covid d’Afrique menace de fermer, faute de clients

    25/10/2021 – Le sud-africain Aspen Pharmacare cède à 123 millions $ un portefeuille de 6 produits au suisse Acino Pharma

    03/02/2020 – Le sud-africain Aspen Pharmacare finalise la cession de sa filiale japonaise de production de médicaments



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