Category: Economie

  • RDC: Rawbank annonce un investissement de 20 millions $ pour les énergies renouvelables et la biodiversité

    RDC: Rawbank annonce un investissement de 20 millions $ pour les énergies renouvelables et la biodiversité

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    ( RAWBANK) – Rawbank franchit une nouvelle étape dans son engagement pour le climat en RDC et annonce un investissement de 20 millions de dollars dans des projets en énergies renouvelables et la préservation de la biodiversité

    A l’occasion de la COP 28, Rawbank, banque leader en République démocratique du Congo (RDC), renforce ses engagements dans la lutte contre le réchauffement climatique et annonce un partenariat avec Vitol, pour un investissement de 20 millions de dollars dans des projets en énergies renouvelables et la préservation de la biodiversité. 

    A travers cet investissement majeur de soutien des énergies renouvelables et de la préservation des écosystèmes forestiers, Rawbank s’engage à accompagner des projets en RDC qui permettront la réduction de 75 millions de tonnes d’émission de CO2 sur les 10 prochaines années. Les premiers projets financés par la banque prévoient la distribution en électricité de 1 million de foyers à travers la RDC ou encore la production de 800 MW d’hydroélectricité et 200 MW d’énergie solaire dans la province de Kasaï et Gemena, soit une capacité totale de de 1000 MW.

    Face à la crise climatique, Rawbank compte jouer un rôle majeur en apportant des financements pour réduire considérablement les émissions de CO2 dans un pays doté de vastes forêts, constituant un puits de carbone estimé à 1,5 milliard de tonnes de CO2, soit près de la moitié des émissions totales de l’Europe.

    Déterminée à contribuer à la neutralité́ carbone globale d’ici 2050, Rawbank va au-delà des frontières traditionnelles du secteur financier congolais et lance le premier finance climate desk de la RDC tout en sollicitant l’autorisation de vendre des crédits carbones dans le cadre de l’article 6.2 de l’Accord de Paris.  Dans ce contexte, Rawbank compte renforcer son dialogue avec ses clients pour identifier les meilleures pratiques, mieux comprendre leurs trajectoires et faciliter la mise en place d’une méthode d’alignement tenant compte des objectifs de réduction des émissions de CO2.

    « Le développement durable est au cœur de notre stratégie et n’implique pas uniquement le finance climate desk mais toutes les équipes dans chaque activité, fonction et géographie. Nous pensons que le défi de la décarbonation de l’économie congolaise ne concerne pas uniquement Rawbank, mais l’ensemble de l’industrie bancaire. Nous voulons être pionnier en RDC et contribuer avec nos clients à une transition à la fois volontariste et responsable, c’est notre vision », déclare Mustafa Rawji, DG de Rawbank.

    Pour rappel, la RDC est dotée de nombreuses ressources en matière de biodiversité, en particulier le bassin du Congo, dont la forêt tropicale est la deuxième plus grande du monde après celle de l’Amazonie. Or, à elle seule, la RDC représente 70 % de cette forêt. La marchandisation des émissions de CO2 pourrait apportera l’économie des fonds bien plus importants que le secteur minier. L’exploitation minière représente environ 20 milliards de dollars par an, tandis que l’émission d’un milliard et demi de tonnes de CO2 à 20$ la tonne équivaut 30 milliards $ par an.

    A PROPOS DE RAWBANK

    Rawbank est la première banque congolaise en RDC. S’appuyant sur un modèle d’affaires diversifié et prudentiel, la banque allie solidité financière, gestion minutieuse des risques et stratégie de croissance durable et responsable. Engagée dans la transformation positive de l’économie et la société congolaise, Rawbank agit depuis sa création en 2022, avec ses 1900 collaborateurs, avec ses clients, pour construire ensemble, un avenir meilleur en apportant les solutions financières nécessaires au développement de la RDC.

    Acteur important de l’économie réelle congolaise depuis plus de 22 ans avec un ancrage solide et décentralisé, Rawbank continue de renforcer sa politique de conformité et sa maîtrise des risques, et à consolider ses ratios prudentiels, pour demeurer la référence dans la montée en gamme du secteur bancaire congolais. Lucide et déterminée, Rawbank reste en ordre de marche pour servir plus de 500 000 clients parmi lesquels figurent les PME, nombreuses mais encore peu accompagnées et pourtant à très fort potentiel pour le pays en termes de richesses et d’emplois. En incarnant des valeurs d’audace, d’excellence, et d’innovation, place la digitalisation au cœur de sa stratégie, simplifiant ainsi les transactions bancaires et améliorant l’expérience client et l’inclusion financière en RDC.

    L’inauguration en juin 2021 de la première salle des marchés du pays, aux normes internationales, a marqué un tournant significatif pour la banque, renforçant ainsi son rôle clé sur la scène financière congolaise et contribuant à stimuler l’économie du pays. Rawbank va au-delà du rôle d’une banque et soutient également les femmes entrepreneures via le programme “Lady’s First.” Elle s’engage dans la responsabilité sociale en investissant dans la santé, l’éducation, le sport, et en apportant son aide aux populations confrontées à des défis socio-économiques majeurs et des situations complexes, renforçant son rôle d’acteur socialement responsable.

    Fort de son engagement et de sa stratégie de soutien à l’économie de la RDC, Rawbank a remporté le prix The Banker Awards » de la meilleure banque en RDC. La crédibilité de la banque est aussi renforcée par la confiance de ses partenaires internationaux de renom, comme la Société financière internationale (IFC) qui lui a accordé un prêt de 35 millions de dollars pour l’accompagner à accroître sa capacité de financement aux PME. C’est avec cette conviction que la banque a conclu en septembre 2022, avec l’African Guarantee Fund (AGF) des accords de garantie d’un total de 45 millions de dollars. En 2022, Rawbank a également remporté les Euromoney Awards for Excellence de la meilleure banque en RDC et a connu une progression impressionnante dans le classement des 300 champions de la finance africaine du Magazine Jeune Afrique.



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  • Mohamed Kande : l’Ivoirien aux différences assumés, prêt à présider PricewaterhouseCoopers

    Mohamed Kande : l’Ivoirien aux différences assumés, prêt à présider PricewaterhouseCoopers

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    (Agence Ecofin) – Il y a un peu plus d’un mois, Mohamed Kande a été nommé futur président de PwC, l’une des quatre plus grandes firmes de consulting et d’audit en activité. Son parcours atypique suscite de plus en plus d’intérêt.

    Comme il l’évoque dans un blog rédigé sur sa page LinkedIn en février 2023, rien ne semblait le préparer à ce qu’il entreprendra à partir de juillet 2024. Pourtant, sa mentalité de gagneur lui rappelle que tout est possible. « Je ne suis qu’une histoire parmi tant d’autres. Je suis noir, immigré, je parle anglais avec un accent français et je m’appelle Mohamed », écrit-il.

    L’histoire de Kande est celle de plusieurs victoires sur sa différence, transformant chaque défi en opportunité. Son exploit le plus récent est la réussite de son examen d’expertise comptable aux États-Unis, le US-CPA, un examen notoirement difficile, un défi d’autant plus à relever dans la cinquantaine avec un agenda professionnel chargé. Seul Kande sait s’il visait déjà la présidence de PwC. Ce diplôme lui a cependant ouvert la voie pour devenir partenaire senior de la branche américaine de la firme, dont il était déjà patron mondial du service conseil et coprésidait le service de consultation aux USA.

    L’obtention de ce diplôme tombe à pic, car elle compense une exception dans le profil de Kande. Selon le Financial Times, PwC a toujours été dirigé par des personnes ayant une expérience dans la division fiscalité et audit, une division clé pour les 53 milliards de dollars de revenus annuels du groupe.

    À 16 ans, Kande a dû se réinventer. Originaire de la Côte d’Ivoire, il est parti vivre le rêve français, confronté aux difficultés d’être différent dans la France des années 80. Mais il en fallait plus pour décourager cet homme de compétition, pratiquant depuis ses 13 ans le Tae Kwondo, un art martial sud-coréen, forgeant autant le physique que le mental.

    Diplômé en ingénierie, il a traversé l’Atlantique pour Montréal, au Canada, afin d’obtenir un diplôme en affaires, avant de se diriger vers les États-Unis. Ce pays, symbole de rêve mais aussi de défis, lui a imposé la barrière de la langue. L’anglais, déjà complexe, se révélait encore plus ardu avec l’accent de Chicago. Kande a appris à lire sur les lèvres et à interpréter les gestes, parfois relisant plusieurs fois des mails pour en saisir le sens. Malgré ces obstacles, il a bénéficié de la confiance de nombreuses personnes.

    La présidence de PwC représente une étape ultime pour ce ressortissant de la Côte d’Ivoire. Il prend la tête d’une organisation influente dans un monde moderne plein de paradoxes : redéfinition des alliances entre pays, quête de justice fiscale et bouleversements apportés par l’intelligence artificielle.

    Au-delà de ces enjeux, cet enfant de l’Afrique sera scruté et observé, à l’instar de personnalités telles que Barack Obama, ancien président des États-Unis dont le papa était kényan, Tidjane Thiam, figure du développement et de la finance internationale, ou Thierry Tanoh, qui a dirigé la Société Financière Internationale en Afrique et Ecobank, le groupe bancaire panafricain le plus présent sur le continent.

    Un nouveau défi qu’il s’est fixé, c’est celui d’être capable, au-delà des différences perceptibles, de réécrire sa propre histoire avec d’autres personnes, en donnant l’opportunité à des potentiels d’éclore. Une ambition que l’Afrique peut lui permettre d’atteindre.



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  • Tactis, lauréat du 22e prix de l’International Jacques-Cresson 2023 / Vie

    Tactis, lauréat du 22e prix de l’International Jacques-Cresson 2023 / Vie

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    (TACTIS) – Le jeudi 30 novembre 2023, Stéphane Lelux, Président du cabinet Tactis, leader français du conseil en aménagement numérique et des projets d’infrastructures de télécommunications, s’est vu remettre le prix spécial « VIE » de l’international Jacques Cresson 2023 chez BPI – Maisons-Alfort.

    Décerné par le Comité CCE (Conseillers du Commerce Extérieur) du Val-de-Marne, en partenariat avec Business France et BPI France, il vise à valoriser l’utilisation pertinente et efficiente du dispositif Volontariat International en Entreprise (VIE) par une entreprise du Val-de-Marne.

    Avec plus de 30% de son activité réalisée à l’international et principalement en Europe et Afrique, Tactis est une PME de plus de 70 consultants et experts qui coopère étroitement avec la TEAM France Export depuis 5 ans.

    Depuis 2019, Tactis a ouvert une filiale au Rwanda, pays attractif et leader dans l’innovation afin d’étendre sa présence sur le marché Est Africain. En 2022, le Cabinet a mobilisé deux contrats VIE, diplômés EMLyon Business School et ESTP pour soutenir le développement de sa filiale locale notamment à travers des missions innovantes : étude de faisabilité pour l’AFD d’un Drone Operations Center et la modernisation des réseaux du gouvernement ; élaboration pour RISA (Rwanda Information Society Authority) d’un plan d’extension du réseau de fibre optique et de mise en place de hotspots publics, notamment pour les écoles ; étude sur la connectivité pour tous dans les zones fragiles, en conflit et affectés par la violence (notamment en Centrafrique) pour la Banque Mondiale ; etc.

    « Nous remercions vivement le Comité CCE Val-de-Marne, Business France, BPI France et la Team export France. Ces accompagnements, et notamment le dispositif VIE, constituent de précieux soutiens et appuis pragmatiques pour des PME à potentiel dans le montage des leurs activités à l’international. Cela contribue à la promotion des savoir-faire français à l’international » confie Stéphane Lelux Président de TACTIS et Vice-président d’INFRANUM (filière française des infrastructures numériques).

    En outre, si le dispositif VIE offre une véritable opportunité aux entreprises pour initier ou renforcer leur implantation à l’étranger, il l’est aussi pour les jeunes potentiels qui peuvent réaliser des missions de haut niveau, avec beaucoup d’autonomie et de responsabilités. Tactis a d’ailleurs embauché le dernier candidat qui arrivait à l’échéance de son VIE.

    Ce prix est un encouragement pour toutes nos équipes à poursuivre ses efforts de développement à l’international, et particulièrement en Afrique.

    A propos de :

    Tactis est le cabinet de conseil français leader en matière d’aménagement numérique, d’ingénierie et de transformation numérique des territoires. Depuis 1995, il accompagne des acteurs publics et privés en tant qu’assistant à maîtrise d’ouvrage ou expert métier dans les domaines des infrastructures de télécommunications (fibre, 4G, 5G, wifi, satellite), du développement de smart territoires (data centers, plateformes de services, objets connectés, mobilité, smart grids, e-inclusion, participation citoyenne), de systèmes d’information (schémas directeurs, gestion de la donnée, cybersécurité) et de transformation des organisations (démarches collaboratives innovantes, accompagnement du changement, modernisation des processus). Depuis sa création, Tactis a contribué à la réalisation de projets publics et privés représentant plus de 5 milliards d’euros d’investissements.



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  • La Global Green Bond Initiative fait équipe avec la BAD pour renforcer les marchés d’obligations vertes en Afrique

    La Global Green Bond Initiative fait équipe avec la BAD pour renforcer les marchés d’obligations vertes en Afrique

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    (BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT) – Le Groupe de la Banque africaine de développement a signé un accord de partenariat conjoint avec la coalition d’institutions de financement du développement de la Global Green Bond Initiative pour une collaboration en matière d’assistance technique. L’objectif est de promouvoir les marchés d’obligations vertes en Afrique. L’engagement de l’Afrique sur le marché des obligations vertes représente actuellement moins de 1 % des plus de 2 200 milliards de dollars d’émissions d’obligations vertes communautaires en 2022.

    La coalition Global Green Bond Initiative comprend la Banque européenne d’investissement, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, la Cassa Depositi e Prestiti d’Italie, l’Agence espagnole pour la coopération internationale au développement, la banque de développement allemande KfW, PROPARCO, filiale du groupe de l’Agence française de développement (AFD), agissant en tant que consortium d’institutions européennes de financement du développement, ainsi que le Fonds vert pour le climat.

    La vice-présidente et directrice financière du Groupe de la Banque africaine de développement, Mme Hassatou N’Sele, a signé la déclaration avec les représentants des institutions membres de la coalition en marge de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques 2023 (COP28) qui se tient à Dubaï, aux Émirats arabes unis.

    Ce nouveau partenariat stratégique s’inscrit dans le cadre du programme d’assistance technique de la Global Green Bond Initiative qui a été annoncé en juin 2023 par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

    L’Initiative favorisera l’afflux de capitaux privés provenant d’investisseurs institutionnels vers des projets climatiques et environnementaux dans les pays partenaires de l’UE, améliorant leur accès au capital grâce à l’assistance technique fournie aux émetteurs d’obligations vertes dans les marchés émergents et les économies en développement (EMDE), et en attirant les investisseurs privés par l’intermédiaire d’un fonds dédié dérisqué, qui agira comme investisseur phare dans les obligations vertes émises dans les EMDE. L’impact attendu pourrait atteindre 15 à 20 milliards d’euros d’investissements verts.

    Pour renforcer davantage le volet d’assistance technique de Global Green Bond Initiative, la coalition travaille également avec des partenaires stratégiques, notamment des banques de développement régionales telles que la Banque africaine de développement, pour soutenir l’émission d’obligations vertes, le développement et l’identification de réserves de projets verts, ainsi que le développement de cadres d’obligations vertes crédibles et cohérents.

    Mme N’Sele a salué ce partenariat : « Cette déclaration commune de collaboration en matière d’assistance technique sur les obligations vertes en Afrique est notre engagement à travailler ensemble, elle est importante et a de l’impact. Il ne peut y avoir de développement efficace en Afrique sans marchés de capitaux locaux dynamiques. »

    Mme N’Sele a souligné les engagements de la Banque africaine de développement sur le marché des obligations vertes, notamment l’émission d’obligations vertes et sociales d’une valeur de plus de 10 milliards de dollars l’année dernière pour soutenir le progrès durable à travers l’Afrique : « Aidons l’Afrique à tirer pleinement parti de la puissance des obligations vertes, et nous pourrons contribuer ensemble à un avenir durable pour les Africains. » 

    Stefano Signore, de la direction des partenariats de la Commission européenne, a décrit le partenariat avec la Banque africaine de développement comme une étape importante dans les efforts visant à mobiliser les obligations vertes dans les économies émergentes en développement : « Avec le partenariat de la Banque africaine de développement, nous espérons pouvoir contribuer à l’intensification de projets climatiques et environnementaux pertinents et d’une réserve qui peut déclencher la mobilisation de la Global Green Bond Initiative », a-t-il déclaré.

    À propos de l’AECID

    L’AECID, l’Agence espagnole pour la coopération internationale au développement, est le principal organe de gestion de la coopération espagnole, qui vise à réduire la pauvreté et à assurer un développement humain durable. Sa feuille de route stratégique, conforme à l’Agenda 2030, est le 5e plan directeur de la coopération espagnole, fondé sur une approche axée sur les droits de l’Homme, qui accorde une attention particulière aux questions transversales du genre, de la qualité de l’environnement et du respect de la diversité culturelle.

    À propos de la Banque africaine de développement

    Le Groupe de la Banque africaine de développement est une institution régionale multilatérale de financement du développement créée en 1964 pour stimuler le développement économique durable et le progrès social dans ses pays africains membres régionaux (PMR), contribuant ainsi à la réduction de la pauvreté. Il réalise cet objectif en mobilisant et en allouant des ressources à ses PMR pour l’investissement, et en fournissant des conseils sur les politiques et une assistance technique pour soutenir les efforts de développement.

    À propos de la Cassa Depositi e Prestiti

    La Cassa Depositi e Prestiti (CDP), l’institut national de promotion de l’Italie, soutient l’économie italienne depuis 1850. Son principal objectif est d’accélérer le développement industriel et infrastructurel de l’Italie afin de stimuler sa croissance économique et sociale. Les activités de la CDP se concentrent sur le développement durable au niveau local, soutenant l’innovation et la croissance des entreprises italiennes sur la scène internationale. Elle participe aussi activement à des initiatives de coopération internationale pour réaliser des projets dans les pays en développement et les marchés émergents. www.cdp.it

    À propos du Fonds vert pour le climat

    Le Fonds vert pour le climat (FVC) est le plus grand fonds dédié au climat au monde, qui vise à favoriser un changement de paradigme vers des voies de développement à faibles émissions et résilientes au changement climatique dans les pays en développement. Le FVC dispose d’un portefeuille de 12,8 milliards de dollars (48,3 milliards de dollars, en incluant le cofinancement) et met en œuvre des actions climatiques transformatrices dans plus de 120 pays. Son programme de soutien à la préparation renforce les capacités et aide les pays à élaborer des plans à long terme pour lutter contre le changement climatique. Le FVC est une entité opérationnelle du mécanisme financier de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et sert l’Accord de Paris de 2015, en soutenant l’objectif de maintenir l’augmentation moyenne de la température mondiale bien en deçà de 2 °C.

    À propos de la Banque européenne d’investissement

    La Banque européenne d’investissement (BEI) est l’institution de financement à long terme de l’Union européenne, détenue par ses États membres. La BEI finance des investissements viables qui contribuent à la réalisation des objectifs politiques de l’UE en soutenant des projets dans les domaines de l’infrastructure, de l’innovation, du climat et de l’environnement, ainsi que des petites et moyennes entreprises. BEI Monde exerce ses activités à l’extérieur de l’Union européenne. En tant que partenaire clé du Global Gateway de l’UE, l’objectif de la BEI est de soutenir au moins 100 milliards d’euros d’investissements d’ici fin 2027, soit un tiers de l’objectif de la stratégie. Avec des bureaux dans le monde entier, BEI Monde est proche des populations, des entreprises et des institutions locales, et favorise de solides partenariats entre l’Équipe Europe et les institutions de financement du développement.

    À propos de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement

    La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) est une banque multilatérale qui promeut le développement du secteur privé et l’initiative entrepreneuriale dans 36 économies réparties sur trois continents. La banque est détenue par 72 pays ainsi que par l’UE et la BEI. Les investissements de la BERD visent à rendre les économies de ses régions compétitives, inclusives, bien gouvernées, vertes, résilientes et intégrées. En tant que partenaire stratégique de l’UE, la banque contribue activement à la mise en œuvre du Global Gateway de l’UE par le biais de projets d’investissement, de réformes politiques et de conseils. Pour favoriser la transition verte et numérique et garantir l’égalité des genres et l’inclusion économique, la BERD investit dans des projets dans de multiples secteurs, tels que les transports, l’énergie, le numérique, les infrastructures municipales et les matières premières essentielles. Elle collabore étroitement avec des parties prenantes du monde des affaires, de l’investissement et du développement, tant au niveau local qu’international. Elle opère depuis son siège à Londres et dispose d’un vaste réseau de bureaux résidents et de bureaux satellites qui emploient plus de 1 000 personnes dans 35 pays.

    À propos de la KfW

    Fondée en 1948, la KfW Bankengruppe est la banque promotionnelle allemande et l’une des principales banques promotionnelles au monde. Elle est détenue à 80 % par le gouvernement fédéral allemand et à 20 % par les États fédérés.

    Secteur d’activité : la KfW Development Bank réalise des projets de coopération financière avec des pays en développement et des économies émergentes pour le compte du gouvernement fédéral allemand, et plus particulièrement pour le compte du ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement. La KfW Development Bank emploie environ 1 200 personnes à son siège de Francfort-sur-le-Main et 400 spécialistes dans plus de 60 sites internationaux, qui coopèrent avec des partenaires du monde entier pour lutter contre la pauvreté, préserver la paix, protéger l’environnement et le climat et assurer une mondialisation équitable. La KfW Development Bank est un conseiller stratégique compétent pour les questions actuelles de politique de développement.

    À propos de Proparco

    Proparco est une filiale du groupe AFD (Agence française de développement) axée sur le développement du secteur privé. Elle promeut un développement économique, social et environnemental durable depuis plus de 45 ans. Proparco finance et accompagne les entreprises et les institutions financières en Afrique, en Asie, en Amérique latine et au Moyen-Orient. Son action se concentre sur les secteurs clés du développement : les infrastructures, principalement pour les énergies renouvelables, l’agro-industrie, les institutions financières, la santé et l’éducation. Ses opérations visent à renforcer la contribution des acteurs privés à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) adoptés par la communauté internationale en 2015. À cette fin, Proparco finance des entreprises dont l’activité contribue à la création d’emplois et de revenus décents, à la fourniture de biens et services essentiels et à la lutte contre le changement climatique.



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  • Le kenyan Equity Group Holdings finalise l’acquisition de la Cogebanque, 5ème plus grande banque du Rwanda

    Le kenyan Equity Group Holdings finalise l’acquisition de la Cogebanque, 5ème plus grande banque du Rwanda

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    (Agence Ecofin) – 6 mois après la conclusion de l’accord initial de vente, le groupe financier Equity boucle le rachat de la Compagnie générale de Banque qui sera fusionnée à sa filiale bancaire au Rwanda dans le but de créer une institution plus importante pour renforcer la position du groupe dans ce pays est-africain.

    La holding kényane de services financiers Equity Group Holdings Plc a annoncé avoir obtenu toutes les approbations réglementaires et corporatives nécessaires pour l’acquisition de la Cogebanque (Compagnie Générale de Banque Plc). Ce rachat fera de Equity l’actionnaire principal de cette banque commerciale avec 99,12% de parts. Acquise à environ 48,1 millions USD, la Cogebanque est la 5ème plus grande banque du Rwanda à fin 2022, de par le total de ses actifs et capitaux propres.

    La banque qui cumule 24 années d’activités sera fusionnée avec la filiale bancaire d’Equity au Rwanda. La nouvelle entité deviendra « la deuxième plus grande banque du Rwanda avec une part de marché des actifs combinés de 18% et une part de marché des dépôts de 19% sur la base des comptes audités au 31 décembre 2022 ». James Mwangi, DG d’Equity Group Holdings renchérit en ces termes : « La fusion éventuelle de Cogebanque et d’Equity Bank Rwanda consolidera la position d’Equity Group au Rwanda et soutiendra la mise en œuvre de sa stratégie globale ».

    Le choix porté sur le Rwanda pour son expansion en Afrique de l’Est a été motivé par la forte croissance de ce pays. « Le taux de croissance moyen du PIB sur 5 ans du Rwanda à 6,5 % le classe parmi les 10 pays à la croissance la plus rapide au monde. Seulement son secteur des services financiers reste sous-pénétré, avec un crédit au secteur privé et un PIB inférieur à 30%. Cela offre une opportunité de croissance à long terme bien définie pour le groupe Equity » explique James Mwangi.

    Ainsi, l’expansion des activités d’Equity Group au Rwanda contribuera à renforcer le paysage des services financiers de ce pays. Précisons que c’est en juin 2023 qu’Equity a entamé le processus de rachat de la Cogebanque. Le groupe coté sur les bourses de Nairobi, d’Ouganda et du Rwanda avait alors conclu un accord initial avec les actionnaires majoritaires de Cogebanque, à savoir le gouvernement rwandais, le Conseil rwandais de la sécurité sociale, Sanlam Vie Plc et Mme Judith Mugirasoni.

    Rappelons aussi qu’en dehors du Kenya, Equity Group possède des filiales bancaires en République démocratique du Congo, au Rwanda, en Ouganda, en Tanzanie, au Soudan du Sud et a ouvert un bureau de représentation en Ethiopie.

    Chamberline MOKO



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  • La BAD et le Prince’s Trust International s’engagent à accélérer les programmes de création de richesse pour les jeunes

    La BAD et le Prince’s Trust International s’engagent à accélérer les programmes de création de richesse pour les jeunes

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    (BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT) – « Ensemble, nous avons la possibilité de créer de la richesse pour les jeunes et d’éradiquer la pauvreté, qui n’est pas un produit commercialisable. »  Akinwumi A. Adesina

    Le président du Groupe de la Banque africaine de développement, Akinwumi A. Adesina, et le directeur général de l’organisation caritative Prince’s Trust International (PTI), Will Straw, se sont rencontré le 29 novembre 2023 à Londres afin d’explorer des partenariats stratégiques pour développer l’emploi des jeunes, le capital humain et les opportunités d’entrepreneuriat à grande échelle. 

    Avec une population de 1,4 milliard d’habitants, l’Afrique compte la plus grande proportion de jeunes sans emploi et sous-employés au monde. Plus de 60 % de la population du continent a moins de 30 ans.

    « Trop souvent, les programmes en faveur de la jeunesse font l’objet de discours de pure forme. Cela doit changer. Ensemble, nous avons l’occasion de créer de la richesse pour les jeunes et d’éradiquer la pauvreté, qui n’est pas un produit commercialisable. », a déclaré Akinwumi Adesina.

    Will Straw a donné un aperçu des programmes du PTI à l’échelle internationale et a mis l’accent sur le Ghana et le Nigéria, où le renforcement des capacités et des compétences entrepreneuriales a un impact sur les jeunes. 

    Il a déclaré que le Prince’s Trust International s’engageait à développer les initiatives existantes en faveur des jeunes et à coorganiser un sommet de l’investissement centré sur la jeunesse en 2024 au Royaume-Uni, en collaboration avec la Banque africaine de développement.

    Depuis 2015, le Prince’s Trust, fondé par Sa Majesté le Roi Charles III (alors Prince de Galles) pour lutter contre la crise mondiale du chômage des jeunes, a soutenu plus de 75 000 personnes. Cette initiative fait suite à 40 ans d’expérience au Royaume-Uni.

    Lors de la signature d’un protocole d’accord entre les deux institutions, M. Adesina a décrit le chômage des jeunes comme précurseur de la pauvreté, ce qui nécessite une approche stratégique multisectorielle et multipartite. 

    Le protocole d’accord engage les deux institutions à travailler ensemble pour identifier et développer des opportunités de partenariat afin d’intégrer les compétences d’employabilité dans les projets d’enseignement et de formation techniques et professionnels (EFTP) financés par la Banque dans les pays d’intérêt commun. Le Prince’s Trust participera à la préparation, à la conception, à la mise en œuvre et au suivi des projets d’EFTP et de développement des compétences. 

    Michelle Pinggera, vice-présidente du Prince’s Trust International, Arunma Oteh, administratrice, et Victor Oladokun, conseiller principal du président de la Banque, étaient présents lors de la signature du protocole d’accord.

    La Banque africaine de développement a lancé des banques d’investissement pour l’entrepreneuriat des jeunes afin de fournir un soutien financier et technique aux entreprises fondées par des jeunes. Le Liberia était le premier à lancer ce type de banque avec un financement initial de 16 millions de dollars approuvé par le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement. Ceci s’ajoute au programme ENABLE Youth de la Banque et à plusieurs autres programmes destinés aux jeunes. 

    Le Prince’s Trust International gère 13 programmes au Ghana, au Kenya, au Nigéria, au Rwanda, en Tanzanie et en Ouganda, qui sont conçus pour mettre en adéquation les compétences et aspirations des jeunes avec les opportunités d’emploi et d’entreprise existantes.



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  • Kenya : la start-up Amini clôture un financement de démarrage de 4 millions $ pour poursuivre sa croissance

    Kenya : la start-up Amini clôture un financement de démarrage de 4 millions $ pour poursuivre sa croissance

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    (Agence Ecofin) – 7 mois après la mobilisation d’un financement de pré-amorçage de 2 millions $, la plateforme Amini mobilise de nouveaux financements pour développer son activité d’agrégation et traitement de données basée sur l’IA. 

    Amini, une start-up kényane qui exploite l’intelligence artificielle pour rendre accessibles les données environnementales sur l’Afrique, a récemment mobilisé 4 millions $ de financement de démarrage. La levée de fonds a été dirigée par la firme de capital-risque Female Founders Fund et Salesforce Ventures Impact Fund.

    Les financements obtenus accéléreront la croissance d’Amini dans de nouveaux secteurs. La start-up, fondée par l’experte en innovation et technologie en IA Kate Kallot (photo), ambitionne de proposer ses services à des entreprises d’aliments et de boissons, ainsi qu’à des producteurs de biens de consommation qui espèrent transformer leurs chaînes d’approvisionnement.

    « Nous sommes ravis de soutenir Amini, une entreprise pionnière à l’avant-garde de l’innovation en matière d’intelligence artificielle et technologie climatique. La technologie d’Amini.ai est sur le point de susciter un changement transformateur et un engagement à repousser les limites de l’IA climatique », a déclaré Claudine Emeott, vice-présidente de Salesforce Ventures Impact Fund.

    La levée de ce financement de démarrage intervient 7 mois après la mobilisation par Amini d’un premier financement de pré-amorçage de 2 millions $. L’opération réalisée en mai dernier, avait permis à la start-up fondée en 2021 de mettre sur pied une plateforme d’agrégation et de traitement de données basée sur l’IA.

    Chamberline MOKO

    Lire aussi :

    La start-up climatique Amini lève 2 millions $ pour développer son activité 



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  • Un an après son lancement, I&P Digital Energy finance deux entreprises d’énergie solaire en Ouganda et au Cameroun

    Un an après son lancement, I&P Digital Energy finance deux entreprises d’énergie solaire en Ouganda et au Cameroun

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    (Agence Ecofin) – I&P Digital Energy a réalisé ses deux premières opérations de financement. Cette initiative d’accompagnement de start-up et petites entreprises africaines du secteur de l’énergie espère soutenir une douzaine de sociétés sur le continent, d’ici 2028. 

    Lancé en 2022, le programme I&P Digital Energy, axé sur le financement de start-up et petites entreprises d’Afrique subsaharienne, proposant des solutions numériques d’accès à l’énergie, a réalisé ses deux premiers engagements.

    Dans une annonce le mercredi 29 novembre, Investisseurs & Partenaires (I&P), l’un des 4 membres du consortium ayant lancé I&P Digital Energy, a annoncé des investissements de ce programme dans les entreprises Innovex en Ouganda et Solarly au Cameroun. Ces deux sociétés ont obtenu un financement d’amorçage compris entre 100 000 et 500 000 Euros par entreprise, dans le but de soutenir leurs activités respectives.

    L’Ougandais Innovex, spécialisé dans la production d’équipements et solutions technologiques de surveillance des performances des systèmes d’énergie solaire hors réseau prévoit d’accroître la production de ses appareils connectés, pour s’étendre davantage sur le marché local. L’entreprise camerounaise Solarly, en activité depuis 2016, envisage de renforcer son réseau de distribution sur son marché domestique. Au-delà du financement, ces deux sociétés bénéficieront d’un renforcement de capacités et d’un accompagnement stratégique.

    « Innovex et Solarly entrent dans le mandat d’I&P Digital Energy, qui vise à soutenir l’intégration des sources d’énergie renouvelables, et à renforcer l’accès à l’énergie sur le continent », a déclaré Caty Diokhané, responsable de programme chez I&P Digital Energy.

    Ce programme, doté d’une enveloppe globale de 4 millions d’Euros, compte financer une douzaine de start-up et PME du secteur de l’Energie en Afrique, d’ici 2028. En Afrique subsaharienne, la demande en énergie connaît une croissance significative, soutenue par la forte population et l’urbanisation.

    Chamberline Moko



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  • Financement des PME et du Commerce : La BAD annonce 168 millions $ d’engagements en Egypte et au Nigéria

    Financement des PME et du Commerce : La BAD annonce 168 millions $ d’engagements en Egypte et au Nigéria

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    (Agence Ecofin) – La BAD a annoncé des engagements de 20 millions de dollars au profit des PME du Nigéria avec FSDH et 148 millions de dollars en Égypte avec CIB. Dans les deux cas, l’ambition est de dynamiser la pratique du commerce par les petites et moyennes entreprises en Afrique.

    La Banque africaine de développement (BAD) a récemment engagé des financements pour renforcer les activités commerciales menées par des petites et moyennes entreprises (PME) au Nigeria et en Egypte. Dans le premier pays, il s’agit d’une facilité de financement du commerce de 20 millions de dollars avec First Securities Discount House Limited (FSDH), dont 5 millions $ sous la forme de garanties. Dans le deuxième cas, elle a accordé un paquet financier de 148 millions de dollars à la Commercial International Bank of Egypt (CIB) en Égypte.

    Ces engagements sont présentés comme une réponse aux défis auxquels fait face le financement du commerce en Afrique. La BAD estime le déficit annuel de financement du commerce sur le continent à 81 milliards de dollars, avec une lacune spécifique de 7 milliards de dollars pour le Nigéria. En Égypte, la situation est exacerbée par une pénurie de devises étrangères, due à des facteurs macro-économiques et géopolitiques complexes.

    Au Nigeria, pays de près de 220 millions d’habitants, l’accès limité au financement handicape le potentiel des PME, essentielles au tissu économique du pays. L’intervention de la BAD vise à offrir des ressources nécessaires pour l’expansion des activités commerciales. En Égypte, le financement de la CIB cible spécifiquement les besoins en devises étrangères des PME, cruciaux pour leur participation dans le commerce international.

    En tant qu’institution notée triple A, la BAD joue un rôle catalyseur dans le financement du commerce en Afrique. Sa capacité à lever des fonds pour des opérations internationales est un atout majeur. Ces interventions au Nigéria et en Égypte démontrent l’engagement de la BAD à soutenir les PME, moteurs de croissance et de diversification économique, contribuant ainsi à la stabilité et à la prospérité économique de l’Afrique.



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  • Ecobank : les marchés d’Afrique centrale, australe et orientale sont des relais de croissance en 2023

    Ecobank : les marchés d’Afrique centrale, australe et orientale sont des relais de croissance en 2023

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    (Agence Ecofin) – La zone CESA a connu une augmentation régionale record de 40% en bénéfice avant impôt. Sans les dépréciations monétaires sur ces marchés, cette croissance aurait été de 124%. L’UEMOA continue de dominer cependant sur la majorité des indicateurs.

    Les filiales du groupe Ecobank situées en Afrique centrale, orientale et australe (CESA) ont constitué un relais de croissance durant les neuf premiers mois de 2023. Selon les données financières de l’entreprise, consultées par l’Agence Ecofin, cette zone a enregistré le deuxième plus important bénéfice avant impôts du groupe sur cette période, totalisant 220 millions de dollars.

    Avec une croissance de 40%, la zone CESA a enregistré la plus forte augmentation régionale en termes de bénéfice avant impôt. Sans les dépréciations monétaires sur ces marchés, cette croissance aurait atteint 124%. La région a également généré le meilleur rendement des fonds propres, avec 34,4% en hausse de 10 points de pourcentage par rapport à septembre 2022.

    Cette performance est attribuée à une diminution du coût du risque. Les remboursements de crédit se sont améliorés, limitant les pertes nettes à 13 millions de dollars, comparés aux 25 millions de dollars enregistrés au Nigéria, un marché distinct. L’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) demeure toutefois le marché principal d’Ecobank, ainsi que sa plus grande exposition aux risques.

    L’UEMOA a enregistré la plus grande contribution au Produit Net Bancaire, avec 491 millions de dollars, soit une hausse de 19%. Elle détient aussi la majorité des crédits accordés aux clients, à hauteur de 4,54 milliards de dollars, et la plus grande part d’épargnes mobilisées, s’élevant à 7,38 milliards de dollars. Le Nigéria, affecté par sa transition politique, continue de montrer une contribution modeste aux performances du groupe.



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