Category: Economie

  • Kenya : Twiga Foods sécurise de nouveaux investissements pour accélérer sa transformation et sa croissance

    Kenya : Twiga Foods sécurise de nouveaux investissements pour accélérer sa transformation et sa croissance

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    (Agence Ecofin) – Après avoir réduit ses effectifs en août dernier, du fait des conditions de marché difficiles, Twiga Foods mobilise de nouveaux financements nécessaires pour renforcer son activité.

    Twiga Foods a levé de nouveaux financements, non dévoilés, auprès d’un groupe d’investisseurs, dont Creadev et Juven, a appris l’Agence Ecofin de sources médiatiques. La start-up kényane qui met en relation des fournisseurs de produits agricoles avec des épiciers utilisera cette ressource supplémentaire pour alimenter sa croissance et poursuivre sa transformation.

    Cette levée de fonds survient trois mois après la réduction du tiers des employés de la start-up, du fait des conditions de marché difficiles et de la volonté de l’entreprise de mieux organiser ses activités pour plus de rentabilité. Après ces licenciements, Twiga Foods a aligné ses effectifs sur ses besoins commerciaux actuels, afin d’assurer sa pérennité.

    L’entreprise qui affirme avoir réalisé des progrès significatifs dans la rationalisation de ses opérations et l’optimisation de sa structure de coûts utilisera ce nouveau financement pour poursuivre son activité.

    Depuis sa création en 2014, l’entreprise cofondée par Peter Njonjo et Grant Brooke a attiré plus de 100 millions $ de financements, en dettes et en capitaux propres.

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    01/11/2021 – Le kényan Twiga Foods lève 50 millions $ pour soutenir son activité en Afrique de l’Est

    30/10/2020 – Kenya : la SFI finalise un financement de 30 millions $ au profit de Twiga Foods



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  • Egypte : le chinois Befar Group prévoit d’investir 2 milliards $ dans un complexe industriel

    Egypte : le chinois Befar Group prévoit d’investir 2 milliards $ dans un complexe industriel

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    (Agence Ecofin) – Le complexe industriel, qui devrait être installé dans la zone intégrée de Port-Saïd Est, s’appuiera sur des sources d’énergie renouvelable telles que le solaire et l’éolien.

    L’Autorité générale de la zone économique du canal de Suez (SCZone) a annoncé, dans un communiqué publié ce jeudi 30 novembre, la signature d’une lettre d’intention avec le fabricant chinois de produits chimiques Befar Group prévoyant l’implantation d’un complexe industriel en Egypte, pour un investissement global de 2 milliards de dollars.

    Le site industriel, qui devrait être installé dans la zone intégrée de Port-Saïd Est (195 km au nord-est du Caire), s’appuiera sur des sources d’énergie renouvelable telles que le solaire et l’éolien, a-t-on précisé de même source.

    La phase initiale du projet prévoit des investissements d’un montant de 500 millions de dollars, ce qui permettra de créer environ 1 000 emplois directs.

    La lettre d’intention relative au projet a été signée au Caire par le président de l’Autorité générale de la zone économique du canal de Suez, Walid Gamal El-Din, et le vice-président du groupe chinois, Chen Lili.  

    Befar Group opère essentiellement dans la production, le traitement et la commercialisation de produits chimiques de spécialité tels que la soude caustique, l’oxyde de propylène, le solvant dichloropropane et le trichloréthylène.

    Lire aussi:

    26/10/2023 – Egypte : le chinois Xinxing Cathay International investira 1,08 milliard $ dans une usine de tuyaux en fonte et une aciérie

    20/10/2023 – Egypte : des sociétés industrielles chinoises investiront 2,75 milliards $ dans la zone économique du canal de Suez

    17/10/2023 – Egypte : deux groupes chinois investiront 14,75 milliards $ dans la production de l’hydrogène vert et de chlorure de potassium

    29/05/2023 – Egypte : les chinois Cheng Feng Iron et Sinoma CDI envisagent d’investir 300 millions $ dans un complexe sidérurgique



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  • La SFI soutient la bourse de Tunis dans l’adoption de normes ESG, pour une meilleure gestion des risques

    La SFI soutient la bourse de Tunis dans l’adoption de normes ESG, pour une meilleure gestion des risques

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    (Agence Ecofin) – En Tunisie, l’adoption de normes environnementales, sociales et de gouvernance par des banques et entreprises cotées est encore limitée. Et pourtant, assure la société financière internationale, la prise en compte de ces normes permettra d’attirer davantage d’investissements tout en améliorant la réputation des entreprises.

    La Société financière internationale (SFI) a procédé, ce mercredi 29 novembre, à la signature de trois accords de coopération avec des organismes tunisiens, parmi lesquels la Bourse de valeur mobilière de Tunis (BVMT). L’accord avec la principale place boursière de Tunis porte sur l’adoption de normes ESG (environnementales, sociales et de gouvernance) au sein de cet établissement.

    Cette démarche favorisera l’établissement de rapports ESG par des entreprises cotées sur la BVMT. La SFI apportera son expérience en la matière. L’appui de cette institution financière se traduira par la mise en place d’un cadre et des outils permettant à un plus grand nombre d’entreprises cotées de produire des rapports ESG. Il s’agira également de renforcer les capacités des administrateurs de banques en matière de normes ESG et de promouvoir la diversité des genres au sein des conseils d’administration.

    Selon l’institution financière internationale, la prise en compte de ces normes « permet de mieux gérer les risques, d’améliorer la réputation des entreprises et d’attirer davantage d’investissements ».

    En Tunisie, l’adoption des normes ESG reste limitée au niveau des banques et entreprises. Selon une étude de la SFI, de nombreuses banques locales ne sont pas dotées de capacités internes pour gérer les risques ESG et la production de rapports ESG par des entreprises cotées reste une démarche volontaire. Au-delà des banques, l’institution membre du groupe de la Banque mondiale entend encourager l’adoption de pratiques ESG dans l’ensemble du secteur financier tunisien.

    Chamberline Moko



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  • Network International spécialisée dans la fintech en Afrique espère boucler son rachat à 2,8 milliards $ en 2024

    Network International spécialisée dans la fintech en Afrique espère boucler son rachat à 2,8 milliards $ en 2024

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    (Agence Ecofin) – Network International prévoit de finaliser sa cession à Bidco au premier semestre 2024. Au centre des enjeux, le lucratif marché des paiements digitaux au Moyen-Orient, mais aussi et surtout le fort potentiel de croissance qu’offre le marché africain.

    Network International, une entreprise émiratie cotée sur la Bourse de Londres, prévoit de finaliser au premier semestre 2024 l’accord de 2,8 milliards de dollars conclu en juillet 2023 en vue de sa cession à Bidco, une entité gérée par le canadien Brookfield Asset Management.

    Avec une présence géographique à 80% de ses activités en Afrique, Network International attend encore des autorisations dans plusieurs pays, après avoir obtenu celles de la Tanzanie, de l’Afrique du Sud, de la Namibie et du Nigéria.

    Le communiqué de l’entreprise souligne la coopération continue avec les autorités compétentes pour obtenir les autorisations manquantes. L’objectif principal de l’acquisition est d’élargir sa présence sur le marché des solutions technologiques de paiement au Moyen-Orient, notamment en Arabie saoudite et aux Émirats Arabes Unis.

    En Afrique, Network International a généré seulement 28% de son chiffre d’affaires (66 millions de dollars) sur le premier semestre 2023, mais il faut replacer cette performance dans le cadre des défis économiques régionaux tels que l’inflation importée, la dépréciation des monnaies et des conditions d’accès difficiles aux marchés internationaux des capitaux.

    Les perspectives de croissance en Afrique restent positives, soutenues par l’adoption croissante des solutions de paiement numérique et une meilleure compréhension réglementaire de l’apport du secteur. En 2020, Network International a acquis les opérations du groupe DPO pour 288 millions de dollars selon le journal des transactions d’Ecofin Pro, une décision qui était basée sur une analyse approfondie du marché africain.

    Cette acquisition avait aussi suivi une période de croissance annuelle moyenne de 40% entre 2017 et 2019 dans les activités de DPO. Network International a depuis renforcé ses investissements en Afrique, déployant des solutions dans plus de 26 pays, y compris l’Égypte et l’Afrique du Sud.



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  • L’Initiative de la Banque verte africaine lance la création de quatre banques vertes

    L’Initiative de la Banque verte africaine lance la création de quatre banques vertes

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    (BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT) – En un an depuis son lancement lors de la COP 27, l’Initiative de la Banque verte africaine a lancé la création de quatre banques vertes et a contribué à la capitalisation de la facilité d’investissement verte du Rwanda dans le cadre de sa mission visant à aider l’Afrique à surmonter ses problèmes de financement climatique.

    La Banque Africaine de Développement  (BAD), via l’Initiative de la Banque verte africaine, a lancé la création de quatre banques vertes en Afrique. Une réponse innovante au déficit persistant de financement climatique, constaté lors de chaque conférence de la COP.

    En mettant en place des mécanismes de financements verts au sein des institutions financières au Bénin, en Côte d’Ivoire, au Maroc et en Égypte, l’initiative ambitionne de doter les banques locales des compétences techniques nécessaires pour attirer des financements climatiques, tant auprès d’investisseurs internationaux que nationaux.  

    En mai, la BAD a annoncé le lancement des premières banques vertes en Afrique, grâce à un partenariat avec des institutions financières en Côte d’Ivoire, la Banque Nationale d’Investissement (BNI), et au Bénin, La Caisse des Dépôts et Consignations du Bénin (CDC Bénin). En décembre, elle s’associera à des institutions financières au Maroc et en Égypte, pour lancer des banques vertes en Afrique du Nord.

    Audrey-Cynthia Yamadjako, coordinatrice de l’Initiative de la Banque verte africaine, a déclaré : “Le fait que les gouvernements africains et les institutions financières fassent des banques vertes une priorité montre que l’Afrique prend en main ses besoins de financement climatique. D’ici 2030, le financement estimé nécessaire pour que les pays africains respectent leurs contributions déterminées au niveau national (NDC) dans le cadre de l’accord de Paris s’élèvera à environ 2,8 milliards de dollars. Nous ne pouvons plus attendre pour résoudre le manque de financement climatique en Afrique”.

    Bien qu’elle soit l’une des régions les plus vulnérables au climat dans le monde, l’Afrique ne reçoit que 3% du financement climatique mondial. Cela rend le continent de plus de 1,4 milliard de personnes extrêmement vulnérable aux chocs climatiques mortels, car les projets résilients et adaptés au climat ne peuvent pas être déployés au rythme requis.

    Les pays développés ont promis 100 milliards de dollars par an pour aider ceux en développement à lutter contre le changement climatique à la COP 15 en 2009, mais ce financement tarde à venir. Des incertitudes demeurent sur l’éventualité d’une évolution de cette situation lors de la prochaine COP 28 à Dubaï. En réponse à ce manque de financement, l’Initiative de la Banque verte africaine prévoit de déployer un grand nombre de banques vertes à travers le continent au cours des prochaines années.

    Les banques vertes ou facilités d’investissement vert sont des instruments de financement mixtes placés dans des institutions financières existantes ou créés de toutes pièces, qui ont la capacité technique et financière d’attirer des financements climatiques auprès d’investisseurs internationaux et locaux. Ces mécanismes, par leur nature hybride, transcendent les contraintes traditionnelles inhérentes à l’investissement. En résulte une valorisation accrue des projets climatiques potentiels, les rendant non seulement plus attrayants aux yeux des bailleurs de fonds, mais aussi sensiblement moins risqués pour les acteurs du secteur financier dédié au climat.

    Le défi n’est pas tant l’absence de financements climatiques au niveau mondial une idée reçue courante mais bien la nécessité pour les institutions et gouvernements africains de développer des stratégies climatiques claires qui incluent des modèles de finance mixte pouvant dérisquer les investissements pour permettre la participation du secteur privé. En plus de la mise en place de nouveaux instruments climatiques dans les institutions partenaires, l’initiative aidera également à financer les banques vertes publiques déjà existantes.

    En octobre, la BAD en collaboration avec  le Fonds vert pour le climat, a aidé à lever des fonds concessionnels pour la banque verte du Rwanda, Ireme Invest, ainsi qu’ à la capitalisation totale de 142 millions de dollars de la banque par des agences de développement, dont le Danida du Danemark, l’Agence française de développement (AFD), le Bureau des affaires étrangères, du Commonwealth et du développement du Royaume-Uni (FCDO) et l’Agence suédoise de coopération internationale pour le développement (SIDA) de la Suède, ainsi que le Fonds mondial de partenariat pour le climat (GCPF) et la Banque européenne d’investissement (EIB).

    D’ici 2030, l’Initiative de la Banque verte africaine ambitionne de soutenir la création d’un écosystème de facilités d’investissement évalué jusqu’à 1,5 milliard de dollars à travers tout le continent. L’ensemble de ces actions vise à ce que chaque banque verte puisse lever des fonds destinés à des projets climatiques transformateurs, positionnant ainsi l’Afrique dans une situation nettement plus avantageuse pour affronter le changement climatique.

    À propos de l’Initiative de la Banque verte africaine

    L’Initiative de la Banque verte africaine est une initiative clé qui a été mise en place par la Banque Africaine de Développement (BAD) comme une solution réalisable et réaliste au manque de financement climatique en Afrique. Elle a été lancée à la COP 27 en Égypte et vise à déployer un grand nombre de banques vertes à travers le continent au cours des prochaines années.

    À propos de la Banque Africaine de Développement (BAD)

    Le Groupe de la Banque Africaine de Développement est la première institution de financement du développement en Afrique. Il comprend trois entités distinctes : la Banque Africaine de Développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds nigérian. Sur le terrain dans 41 pays africains et doté d’un bureau extérieur au Japon, la Banque contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 États membres régionaux. Pour plus d’informations : www.AfDB.org



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  • Un consortium d’investisseurs acquiert une part majoritaire de Netis Group pour soutenir l’inclusion numérique en Afrique

    Un consortium d’investisseurs acquiert une part majoritaire de Netis Group pour soutenir l’inclusion numérique en Afrique

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    (Agence Ecofin) – Dans l’optique de soutenir la croissance africaine de la société de services d’infrastructures de télécoms Netis Group, 4 investisseurs y ont engagé des fonds. Ces derniers espèrent tirer profit du marché en pleine croissance des télécommunications en Afrique.

    Un consortium d’investisseurs, dont Amethis, AfricInvest, la Société financière internationale (SFI) et Proparco, ont acquis une part majoritaire au capital du fournisseur de services d’infrastructures de télécommunications Netis Group. L’opération de rachat a été annoncée, le mercredi 29 novembre.

    Les parts acquises par chacun de ces investisseurs ainsi que les montants engagés n’ont pas été dévoilés. Cependant, la SFI dans une note d’information datant d’avril dernier indiquait vouloir investir en actions, le montant de 12 millions $, pour acquérir une participation de 12,9 % au capital de Netis Group.

    Opérant dans une quinzaine de pays d’Afrique subsaharienne et du Nord, Netis Group prévoit d’utiliser les fonds fournis par ces 4 nouveaux actionnaires, pour consolider ses opérations dans les pays où il est déjà présent et s’étendre à de nouveaux marchés africains. « Netis a des ambitions fortes dans les années à venir en termes de développement humain, technique et commercial. Notre vision de construction de réseaux de télécommunications pour une Afrique compétitive est parfaitement alignée sur celle de nos nouveaux partenaires du Consortium », ont déclaré Jean Farhat et Jean-Claude Figali, cofondateurs de Netis Group.

    En s’engageant aux côtés de Netis Group, le consortium d’investisseurs dit vouloir tirer profit de la croissance rapide du marché africain des télécommunications pour l’installation et la maintenance, aux fins de renforcer l’inclusion numérique sur le continent. Précisons que l’arrivée de ces 4 nouveaux actionnaires au capital de Netis s’est accompagnée de la sortie du gestionnaire de fonds Enko Capital de la structure actionnariale de Netis.

    Chamberline Moko

     



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  • Niger : Banque Atlantique inaugure de nouvelles infrastructures à Dosso, matérialisant son soutien à l’éducation

    Niger : Banque Atlantique inaugure de nouvelles infrastructures à Dosso, matérialisant son soutien à l’éducation

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    (BANQUE ATLANTIQUE) – Banque Atlantique Niger, filiale du Groupe panafricain Banque Centrale Populaire (BCP), a récemment marqué un tournant majeur dans son engagement envers l’éducation avec l’inauguration de deux nouvelles salles de classe à l’école publique Koira Tégui 1, située à Dosso. La cérémonie du 11 octobre 2023, qui a vu la présence notable de représentants de la banque et du Directeur de l’école, a été un moment de célébration et de reconnaissance, avec la participation enthousiaste des élèves et des enseignants. 

    Cette initiative s’inscrit dans un contexte national où la nécessité de structures éducatives durables est devenue pressante, notamment en raison de l’interdiction des constructions scolaires en paillote. 

    Les nouvelles classes, construites en matériaux durables, répondent à cet impératif en offrant un cadre d’apprentissage sécurisé et de qualité.

    L’école Koira Tégui 1 se dote ainsi d’un environnement propice à l’éducation, bénéficiant d’installations conformes aux standards modernes. 

    Ces améliorations offrent également aux enseignants, un espace adéquat pour dispenser un enseignement efficace et s’engager pleinement dans leur mission éducative.

    Cette action illustre l’engagement profond de Banque Atlantique envers le secteur éducatif du Niger. Elle souligne la contribution significative de la banque à l’amélioration des conditions d’apprentissage, jouant un rôle crucial dans la réalisation du potentiel éducatif et la construction d’un avenir meilleur et inclusif pour le pays.

    La donation de Banque Atlantique s’inscrit dans le cadre d’une convention de partenariat établie le 24 novembre 2022 entre la banque et le Ministère de l’Éducation Nationale.

    Cet accord vise à soutenir la politique de construction et de financement d’infrastructures scolaires durables, témoignant de la volonté de la banque de participer activement au développement socio-économique du Niger.

    À PROPOS DE BANQUE ATLANTIQUE

    Troisième plus grand groupe bancaire de la zone UEMOA en termes de parts de marché, Banque Atlantique, filiale du groupe BCP, est présente dans les huit pays membres de l’Union monétaire (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo). Banque Atlantique s’appuie également sur les filiales spécialisées, à savoir Banque d’Affaires (Atlantique Finance), Gestion d’Actifs (Atlantic Asset Management) ou encore Assurances (Atlantique Assurances et Atlantique Assurance Vie en Côte d’Ivoire, GTA Assurances et GTA Assurances Vie au Togo).

    À PROPOS DU GROUPE BCP

    Le groupe BCP est l’une des premières institutions bancaires du Maroc. Il tire sa force de ses valeurs de solidarité et de son organisation unique au Maroc. Il est composé de 8 Banques Populaires Régionales (BPR) à vocation coopérative, de la Banque Centrale Populaire (BCP), organe central du Groupe, de forme société anonyme cotée en Bourse, de filiales spécialisées, de fondations et de banques et représentations à l’étranger. Le groupe BCP est présent dans 32 pays dans le monde, dont 18 pays en Afrique. Il est, au Maroc, le premier collecteur de l’épargne (26% de PdM) et un acteur majeur du financement de l’économie (24% de PdM) 



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  • La BEI investit 15 millions $ dans le fonds Arch Cold Chain pour renforcer la chaîne du froid en Afrique de l’Est

    La BEI investit 15 millions $ dans le fonds Arch Cold Chain pour renforcer la chaîne du froid en Afrique de l’Est

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    (Agence Ecofin) – La Banque européenne d’investissement s’est engagée à accompagner le fonds Arch Cold Chain Solutions, dans le développement de ses installations de stockage de denrées périssables et produits pharmaceutiques au Kenya et en Afrique de l’Est.

    Le Fonds Arch Cold Chain Solutions qui développe et exploite une solution de chaînes de froid au Kenya, a annoncé ce mercredi 29 novembre, l’obtention d’un investissement de 15 millions $, auprès de la Banque européenne d’investissement (BEI).

    Cette ressource n’est qu’une partie des 81 millions $ mobilisés par ce fonds auprès d’un consortium d’institutions financières internationales, pour soutenir sa croissance au niveau régional.

    Ainsi, Arch Cold Chain Solutions Fund prévoit d’étendre ses installations de stockage de denrées périssables et produits pharmaceutiques en Afrique de l’Est, plus précisément en Ouganda, en Tanzanie, au Rwanda et en Ethiopie.

    Ces installations devraient contribuer à réduire le gaspillage alimentaire et à améliorer les normes de sécurité dans la distribution alimentaire en Afrique de l’Est. L’installation mise en place par Arch Cold Chain Fund « répond à un besoin réel de réduire le gaspillage et d’établir des normes mondiales de sécurité alimentaire dans la région », a souligné Edward Claessen, responsable du pôle régional de la BEI pour l’Afrique de l’Est.

    Dans cette partie du continent africain, la plupart des installations de chaîne de froid existantes sont intégrées verticalement dans de grandes entreprises et il existe très peu de fournisseurs tiers de solutions de chaîne de froid. Or ces solutions pourraient réduire les pertes alimentaires qui se produisent depuis la période post-récolte jusqu’à la vente au détail, en ce qui concerne les produits frais. L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime qu’environ 37 % des aliments produits en Afrique subsaharienne sont perdus à différents stades de la chaîne de valeur.

    Chamberline Moko



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  • Le kényan East Africa Reinsurance Company s’installe en Tanzanie

    Le kényan East Africa Reinsurance Company s’installe en Tanzanie

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    (Agence Ecofin) – En obtenant sa licence en vue d’exercer en Tanzanie, la compagnie kényane de réassurance East Africa poursuit son développement en Afrique de l’Est. Elle opèrera sur le marché tanzanien de la réassurance qui ne compte que 2 compagnies, à fin 2021.

    La compagnie de réassurance kényane East Africa Reinsurance Company Limited (EARe), a obtenu, début novembre, un agrément en vue d’exercer l’activité de réassurance sur le marché tanzanien. Octroyé par l’Autorité tanzanienne de réglementation des assurances, cet agrément traduit la volonté d’EARe d’étendre sa portée et de renforcer sa présence en Afrique de l’Est.

    « Il s’agit d’une étape stratégique dans le développement de l’empreinte de l’entreprise en Afrique […] Nous sommes impatients de nouer des partenariats solides en Tanzanie et de contribuer à la croissance et au développement du pays », a déclaré Peter Maina (photo), directeur général d’EARe.

    La nouvelle filiale d’EARe, prendra la dénomination d’East Africa Reinsurance (Tanzania) Company. Cette compagnie s’installe en Tanzanie ou opèrent seulement deux compagnies de réassurance (au 31 décembre 2021), à capitaux mixtes (locaux et étrangers), à savoir Grand Reinsurance Tanzania Company (GrandRe) et Tanzania Reinsurance Company Limited (TanRe).

    Selon le plus récent rapport du régulateur tanzanien du secteur de l’assurance et de la réassurance (Insurance market performance report, 2019-2021), à fin 2021, les primes brutes émises par les 2 compagnies de réassurance opérant en Tanzanie s’élevaient à 166 milliards de shillings tanzaniens (66,6 millions $), en augmentation de 18 % en glissement annuel. TanRe a contribué à environ 99,7 % des primes brutes de réassurance déclarées en 2021.

    Chamberline Moko



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  • La SFI engage 75 millions $ dans Apis Growth Markets III, ciblant des PME de services financiers innovants en Afrique

    La SFI engage 75 millions $ dans Apis Growth Markets III, ciblant des PME de services financiers innovants en Afrique

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    (Agence Ecofin) – La SFI annonce un deuxième engagement dans le dernier fonds en date d’Apis. L’initiative vise à soutenir des entreprises d’Afrique et d’Asie, qui développent des solutions financières disruptives.

    La Société financière internationale (SFI) a annoncé, lundi 27 novembre, un investissement de 75 millions $ dans le fonds Apis Growth Markets III. Ce montant est nettement supérieur aux 60 millions $ que la SFI avait initialement prévu d’investir dans ce fonds domicilié au Luxembourg et géré par la firme de private equity Apis Partners.

    Au-delà des 75 millions $, l’institution de financement du secteur privé dans des pays en développement allouera un financement supplémentaire de 25 millions $, qui servira à investir dans des sociétés du portefeuille d’Apis.

    Le fonds de capital-investissement Apis Growth Markets Fund III ambitionne de lever un montant global de 500 millions $. Cette somme sera investie dans des entreprises à croissance rapide, axées sur la fourniture de services financiers innovants en Afrique et en Asie. Le fonds cherchera à prendre des participations minoritaires significatives, ou dans certains cas des participations majoritaires, via des tickets de 60 à 70 millions $.

    Apis Growth Markets Fund III prévoit de réaliser 10 à 15 investissements en Asie du Sud, en Asie du Sud-Est et en Afrique. Sur le continent africain, le fonds ciblera principalement des pays comme l’Égypte, le Kenya, le Nigeria et l’Afrique du Sud. Selon Apis, ces pays présentent d’importantes opportunités de perturbations technologiques sur les marchés financiers dans des domaines tels que les paiements, le financement des consommateurs et des entreprises.

    De l’avis de Mohamed Gouled, vice-président des industries à la SFI, cet investissement réalisé au sein d’Apis Growth Markets Fund III « augmentera la compétitivité des sociétés de technologie financière et des micro, petites et moyennes entreprises, tout en leur permettant de proposer des solutions financières plus innovantes aux particuliers et aux entreprises ».

    L’investissement au sein d’Apis Growth Markets Fund III est le deuxième que la SFI réalise dans un fonds géré par Apis. En 2019, l’institution membre du groupe de la Banque mondiale avait réalisé un premier engagement de 25 millions $ dans le deuxième fonds d’investissement d’Apis.

    Chamberline Moko



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