Category: Economie

  • Le COFEB et HEC Paris remettent les certificats aux participants du « Certificat Executive Management Stratégique Bancaire 1 ».

    Le COFEB et HEC Paris remettent les certificats aux participants du « Certificat Executive Management Stratégique Bancaire 1 ».

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    (COFEB) – Le Centre Ouest Africain de Formation et d’Etudes Bancaires (centre de formation et de recherche de la BCEAO, le COFEB) et HEC Paris, procèdent à la cérémonie de remise des certificats aux participants du « Certificat Executive Management Stratégique Bancaire 1 ».

    Provenant des banques et établissements financiers des pays de l’UEMOA (Bénin, Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Togo), du Maroc et de la Centrafrique, trente (30) participants de la promotion 2023 ont suivi avec assiduité et succès ce parcours animé par une équipe de professeurs et d’experts d’HEC Paris.

    Art du Leadership, finance, management du changement, stratégie digitale, cybersécurité, Blockchain, Économie bancaire du futur, art oratoire, sont les thématiques modulaires qui ont structuré le programme qui s’est déroulé du 3 juillet au 23 novembre 2023, en mode virtuel puis en mode présentiel pour les deux derniers modules et pour la soutenance des travaux collectifs.

    Cette formation certifiante a comme objectifs, de permettre aux participants de développer de nouvelles compétences de manager, de prendre de la hauteur, de renforcer le leadership et d’ancrer la bonne posture pour mobiliser les collaborateurs et fédérer les équipes autour de la stratégie de l’entreprise.

    Destiné aux cadres dirigeants opérationnels et directeurs de départements des secteurs privé et public, ce parcours CEMSTRAT 1 s’inscrit dans le contexte d’un appui systémique de la banque centrale pour le renforcement des capacités des acteurs de la chaîne des valeurs du système bancaire et financier.

    Un deuxième certificat HEC Paris, le CEMSTRAT 2, complète l’offre de formation de la banque centrale. Il est destiné aux Directeurs Généraux du secteur bancaire et financier pour renforcer leurs expertises stratégiques, indispensables aux enjeux actuels, sur les piliers de la nouvelle économie digitale et de ses risques juridiques, économiques et géopolitiques.

    Cette cérémonie s’est tenue au Siège de la BCEAO à Dakar. Elle a été présidée par Monsieur Patrick KODJO, Conseiller du Directeur Général du COFEB, chargé de l’intérim ; en présence de Madame Armelle DUFOUR, Directrice des programmes stratégiques internationaux d’HEC Paris.

    Pour rappel depuis 2013, plusieurs centaines de dirigeants ont suivi avec succès les programmes certifiants, en management général des activités bancaires, en management des ressources humaines (CEMRH), en management stratégique bancaire et en management de la transformation digitale (CEMSTRAT et CEB2D), proposés conjointement par le COFEB et HEC Paris.

    Toutes les informations relatives aux différents parcours BCEAO/COFEB et HEC Paris sont disponibles sur le site internet du COFEB, à travers le lien suivant : https://cofeb.bceao.int/index.php/formations-strategiques 

    A PROPOS D’HEC Paris

    Créée en 1881, HEC Paris est une Business School leader en Europe dont l’ambition est d’avoir un impact positif sur le business et la société grâce à sa triple approche « Think, Teach, Act », pour contribuer à un monde plus inclusif, plus durable et plus prospère. Avec 160 professeurs chercheurs venus du monde entier qui produisent et enseignent un savoir unique à plus de 4500 étudiants issus de 110 pays, le campus d’HEC Paris s’affirme comme un véritable laboratoire d’innovation et d’échange, ouvert sur la diversité du monde et de ses enjeux. HEC Paris propose une gamme complète de formations aux décideurs de demain : pro- gramme Grande Ecole, Mastères Spécialisés, MSc, Summer School, MBA, Executive MBA, TRIUM Global Executive MBA, Doctorat ainsi qu’une large gamme de programmes pour cadres et dirigeants, qui pouvant être contextualisés aux enjeux d’une entreprise ou d’une institution.

    HEC Paris est classé en 2023 par le Financial Times, No1 mondial en Executive Education pour la 2e année consécutive.

    A PROPOS DU COFEB

    Le Centre Ouest Africain de Formation et d’Etudes Bancaires (COFEB) est le Centre de formation de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Il a été créé le 5 août 1977. Plus récemment, le 4 novembre 2019, le COFEB a connu une transformation institutionnelle qui a élargi sa mission à la recherche scientifique et aux actions de partenariat. A ce titre, le COFEB réalise des études et conduit des réflexions prospectives et stratégiques sur de nombreux sujets d’intérêt pour la BCEAO, pour les Etats membres de l’UEMOA et pour l’écosystème bancaire et financier. Cette transformation institutionnelle traduit l’ambition des Autorités de la BCEAO d’en faire un outil de formation bancaire de référence sur l’échiquier africain et mondial.

    Le COFEB a pour mission le renforcement des compétences du personnel de la BCEAO, des cadres des Banques Centrales partenaires, des banques, des établissements financiers, des systèmes financiers décentralisés, des émetteurs de monnaie électronique, du monde universitaire et des administrations économiques et financières des Etats membres de l’UEMOA. C’est à ce titre que sont organisés un nombre important de séminaires et d’ateliers, de conférences de haut niveau, de même que des formations diplômantes et des Parcours certifiants.



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  • Vista Bank Burkina renforcera son appui aux PME, grâce à un prêt de 8,1 millions $ d’Oikocredit

    Vista Bank Burkina renforcera son appui aux PME, grâce à un prêt de 8,1 millions $ d’Oikocredit

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    (Agence Ecofin) – Le financement permettra de soutenir la croissance du portefeuille de prêt de Vista Bank Burkina, et d’accroitre l’accès au financement en faveur des petites et moyennes entreprises.

    La filiale burkinabè du groupe bancaire Vista recevra un prêt de 7,5 millions d’euros (8,1 millions $) de l’investisseur d’impact Oikocredit. Ce dernier l’a révélé mercredi 22 novembre dans une note d’information.

    La ligne de crédit permettra à Vista Bank Burkina d’étendre son offre de financement en direction des petites et moyennes entreprises (PME), qui constituent la majorité de ses entreprises clientes. Le financement soutiendra des PME actives dans des secteurs d’activités cruciaux tels que les transports, la transformation agricole et le commerce.

    « Le financement d’Oikocredit renforcera la capacité de Vista Bank Burkina à accompagner le développement des PME en leur donnant accès à des financements adaptés à leurs besoins. Cette première étape marque le début d’un partenariat à long terme entre Vista Group et Oikocredit », a déclaré Mohamed Ba, directeur général de Vista Bank Burkina.

    Pour la banque appartenant au burkinabè Simon Tiemtoré, l’objectif affiché est celui de devenir un acteur majeur du secteur bancaire, en matière d’accompagnement des PME.

    Rappelons que Vista opère sur le marché burkinabè depuis 2021. L’établissement a été nommé Vista Bank Burkina à la suite du rachat de la Banque internationale pour le commerce, l’industrie et l’agriculture du Burkina (Biciab) par le groupe bancaire Vista. Le rachat de la Biciab représentait la porte d’entrée de Vista sur le marché de l’UEMOA.

    Dans cette zone (UEMOA), la hausse des crédits bancaires a été plus importante au niveau des micro, petites et moyennes entreprises (+22,6%) que chez les grandes entreprises (+3,7 %), à fin 2022. Les MPME ont capté plus de la moitié (51%) des crédits bancaires octroyés aux personnes morales en 2022, contre 46 % en 2021, renseigne la BCEAO dans son rapport sur les conditions de banque de l’UEMOA 2022, publié en juillet dernier.

    Chamberline Moko



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  • Lancement de Stork Partners, cabinet spécialisé dans l’accompagnement des acteurs de la croissance économique du continent africain

    Lancement de Stork Partners, cabinet spécialisé dans l’accompagnement des acteurs de la croissance économique du continent africain

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    (STORK PARTNERS) – Wilfrid Lauriano do Rego (Directeur Général) annonce la création du cabinet spécialisé Stork Partners au sein duquel Nicolas Jean, Cheick Travaly et Laëtitia Jean sont également associés. Ces personnalités, issues du monde de la banque, de la finance et du conseil, ont exercé des fonctions de direction et de management au sein de grands groupes internationaux et sont reconnues pour leur connaissance de l’Afrique gagnée depuis de nombreuses années sur le terrain.

    Le cabinet accompagne ses clients, champions nationaux et panafricains, ainsi que des investisseurs étrangers souhaitant se développer en Afrique. Grâce à la complémentarité des expertises, expériences et réseaux de ses quatre associés fondateurs, Stork Partners propose à ses clients de mobiliser, instantanément et de façon unique sur le continent africain, une équipe transverse composée d’experts de premier plan.

    Stork Partners offre ainsi à ses clients un accompagnement innovant centré sur l’ensemble des composantes de la croissance. Le cabinet a ainsi la capacité de structurer une équipe de très haut niveau pour intervenir en prise directe avec les dirigeants et décideurs, sur les problématiques suivantes :

    • Stratégie : définition et mise en œuvre de stratégies de croissance notamment en termes d’identification de nouveaux marchés, de diversification d’activités ou de nouvelles zones géographiques à développer ;
    • Organisation : réorganisation de groupes, optimisation des organes de gouvernance, transformation du secteur public ;
    • Management : accompagnement des dirigeants ;
    • Financement : mise en place de financements structurés et levées de fonds auprès de bailleurs de fonds régionaux et internationaux ;
    • Transaction : conseil en transaction notamment sur des projets (1) de partenariats publics-privés, (2) de co-développement / co-industrialisation, (3) de partenariats Sud-Sud.

    Pour Wilfrid Lauriano do Rego, Directeur Général : “C’est une grande joie d’annoncer la création de Stork Partners. A l’heure où les économies africaines vivent de profondes mutations, qui touchent à la fois le secteur public et le secteur privé, nous sommes fiers de présenter ce nouveau cabinet de conseil au service des acteurs du développement économiques du continent. Nous souhaitons faire de Stork Partners une référence dans le secteur du conseil en Afrique, et jouer un rôle de catalyseur dans le développement de projets à impact. Avec mes associés, dont je partage les valeurs d’audace et de résilience, nous revendiquons une approche holistique de très haut niveau du conseil au secteur privé en Afrique et contribuons par la même occasion à répondre aux défis de souveraineté des États ».

    Wilfrid Lauriano do Rego (ESCP, IAE Bordeaux, Université Cheickh Anta Diop de Dakar), expert-comptable et commissaire aux comptes de formation, intervient depuis plus de 35 ans sur des opérations de fusions-acquisitions et de private equity complexes, pour des clients majeurs, corporate et fonds d’investissements. Avant de fonder Stork Partners et d’en devenir Directeur Général, Wilfrid Lauriano do Rego a passé l’essentiel de sa carrière chez KPMG, dont il a été associé à partir de 2002 et Président du Conseil de Surveillance de KPMG France de 2019 à 2022. Wilfrid Lauriano do Rego a également été impliqué, depuis juillet 2019, par le Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron, sur des réflexions en faveur d’un renouvellement du partenariat entre la France et les pays du continent africain. Il est enfin membre de plusieurs conseils d’administration.

    Nicolas Jean (ESSEC, Magistère Université de Lorraine), avocat de formation, intervient depuis plus de 15 ans sur l’ensemble du continent africain. Nicolas Jean est spécialisé dans le conseil aux gouvernements, sociétés d’Etats, champions nationaux et panafricains, ainsi qu’aux investisseurs internationaux sur le continent africain. Il accompagne ses clients issus du secteur privé dans le développement et la réalisation de leurs stratégies de croissance. Il figure depuis 2020 dans le top 10 du classement Jeune Afrique des 100 avocats d’affaires les plus influents en Afrique francophone (1ère place en 2021) et le Financial Times l’a identifié comme l’un des 5 leaders pionniers du développement durable. Avant de fonder Stork Partners, Nicolas Jean a passé quinze ans dans l’un des principaux cabinets d’avocats internationaux, dont il a été associé puis élu membre du comité exécutif entre 2020 et 2023.

    Cheick Travaly (Moore School of Business de l’Université de Caroline du Sud, Université Cheickh Anta Diop de Dakar), banquier et expert financier, dispose de 32 ans d’expérience dans les secteurs bancaire et minier en Afrique. Avant de fonder Stork Partners, et d’en devenir Senior Advisor, Cheick Travaly a passé l’essentiel de sa carrière au sein du groupe Ecobank où il a exercé d’importantes responsabilités en Afrique francophone et anglophone. Après avoir dirigé plusieurs filiales, Cheick Travaly s’est notamment vu confier la responsabilité de la zone géographique la plus importante du groupe Ecobank entre 2019 et 2023. À ce titre, il était en charge de la supervision directe de 18 filiales pays en Afrique Centrale, de l’Est et Australe (région CESA) et gérait notamment un portefeuille de crédits directs de 1,7 milliards US Dollars et un volume de ressources de 5 milliards US Dollars.

    Laëtitia Jean (Science-Po Paris, ESCP) intervient depuis plus de 15 ans auprès de ses clients en tant que conseil en stratégie, organisation et management. A ce titre, Laëtitia Jean bénéficie d’une solide expérience en matière d’accompagnement de fusions, de conception et de mise en œuvre de projets stratégiques et opérationnels, d’amélioration de la performance et des organisations, et d’accompagnement managérial (accompagnement du changement, formations, création et animation de collectif de direction, coaching individuel et collectif). Avant de fonder Stork Partners, Laëtitia Jean a passé 8 ans chez PwC (conseil en stratégie et organisation auprès du secteur public), avant de rejoindre Bpifrance (directrice de cabinet du DRH Groupe), puis Sémaphores (directrice de mission Transformation Organisation et Humaine), et de fonder en 2021 Ciconia Advisory, un cabinet de coaching et de conseil dédié à la performance organisationnelle et humaine.

    A propos de Stork Partners Stork Partners est un cabinet de conseil basé à Paris spécialisé dans l’accompagnement des acteurs économiques du continent africain. Le cabinet propose à ses clients une approche innovante centrée sur l’ensemble des composantes de la croissance : la stratégie, l’organisation, le management, le financement et le transactionnel.



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  • Kenya : le président Ruto annonce la privatisation de 35 entreprises publiques

    Kenya : le président Ruto annonce la privatisation de 35 entreprises publiques

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    (Agence Ecofin) – Alors que le Kenya connaît des difficultés financières et a du mal à mobiliser de nouvelles ressources sur les marchés financiers, le gouvernement souligne que le désengagement de l’Etat de plusieurs dizaines de sociétés ne vise pas à améliorer la situation des finances publiques. 

    Le président kényan William Ruto (photo) a annoncé, ce jeudi 23 novembre, que le gouvernement s’apprête à privatiser 35 entreprises publiques après avoir promulgué le mois dernier une loi visant à simplifier le processus de désengagement de l’Etat du secteur productif.

    « Nous avons identifié les 35 premières sociétés d’Etat qui seront cédées au secteur privé. Nous en avons près d’une centaine d’autres dont la privatisation est en cours d’examen par le gouvernement en collaboration avec des conseillers financiers », a-t-il déclaré lors de la cérémonie d’ouverture de l’Assemblée annuelle de l’Association des bourses africaines qui se tient à Nairobi.  

    M Ruto a également précisé que le Kenya avait révisé sa loi relative à la privatisation des entreprises publiques en octobre dernier dans le but d’éliminer les « procédures bureaucratiques inutiles », indiquant que cette initiative du gouvernement stimulerait le processus d’introduction en bourse des entreprises.

    Certains économistes ont lié la cession des parts de l’Etat dans les entreprises publiques aux difficultés financières que rencontre la première économie d’Afrique de l’Est, qui a du mal à mobiliser des ressources sur les marchés financiers avant le remboursement d’un eurobond de 2 milliards de dollars qui arrivera à échéance en juin 2024. Le ministre kényan des Finances a cependant indiqué que la nouvelle vague de privatisation ne vise pas à améliorer la situation des finances publiques.

    « L’un des principaux objectifs est de stimuler l’activité du marché boursier. Les liquidités sont une question secondaire », a-t-il souligné, cité par Reuters.

    Lire aussi:

    10/10/2023 – Kenya : le président Ruto promulgue le projet de loi sur la privatisation 2023

    06/07/2020 – Kenya : le gouvernement renonce à la privatisation des sucreries publiques

    25/02/2020 – Kenya : l’exécutif veut relancer la privatisation des sucreries publiques

    28/05/2018 – Kenya : le processus de privatisation des entreprises sucrières publiques a du plomb dans l’aile



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  • Le fournisseur de services de dialyse Africa Healthcare Network mobilise 20 millions $ pour s’étendre en Afrique

    Le fournisseur de services de dialyse Africa Healthcare Network mobilise 20 millions $ pour s’étendre en Afrique

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    (Agence Ecofin) – Deux ans après l’investissement de l’institution américaine de financement du développement, DFC, AfricInvest et Africa50 s’engagent à leur tour aux côtés du fournisseur est-africain de services de dialyse, Africa Healthcare Network.

    Africa Healthcare Network (AHN), qui exploite un réseau de centres de dialyses en Afrique de l’Est, a annoncé mercredi 22 novembre avoir obtenu 20 millions $ de financements en fonds propres et en dette pour soutenir sa croissance.

    AHN, qui compte une quarantaine de cliniques de dialyse dans 5 pays africains, prévoit de poursuivre sa croissance afin d’ouvrir une centaine de centres à travers le continent d’ici 2025, principalement dans des régions mal desservies.

    Alors qu’Africa50 a apporté le financement en fonds propres nécessaire pour l’expansion d’AHN, la plateforme d’investissement panafricaine AfricInvest a fourni le financement par emprunt. La transaction a été effectuée via le fonds Transform Health Fund (THF) d’AfricInvest, qui investit dans la chaine d’approvisionnement de la santé en Afrique.

    « Africa50 et AfricInvest soutiendront notre expansion à travers le continent et au-delà. Nous avons connu une croissance considérable ces dernières années, passant de 17 centres fin 2021 à près de 50 centres », a confié Nikhil Pereira-Kamath, président exécutif et co-fondateur d’AHN.

    Il faut souligner qu’en plus d’AfricInvest et Africa 50, la société pharmaceutique basée à Tokyo, Ohara Pharmaceutical, a également participé à la mobilisation de ces 20 millions $ de financements, au profit d’AHN.

    Au-delà de sa croissance géographique, le fournisseur de services de dialyse AHN prévoit d’utiliser une partie de ce financement pour améliorer sa technologie en matière d’identification et de gestion précoce de maladies rénales. AHN investira également dans des programmes de développement de son personnel. 

    Bien avant les investisseurs AfricInvest et Africa50, AHN avait obtenu, au deuxième trimestre 2021, un prêt de l’institution américaine de financement du développement, DFC.

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    26/05/2021 – Soutenu par la DFC, Africa Healthcare poursuit l’extension de ses centres de dialyse en Afrique subsaharienne 



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  • Face aux promesses non tenues des pays riches, 5 pays africains lanceront des banques spécialisées dans la finance climat

    Face aux promesses non tenues des pays riches, 5 pays africains lanceront des banques spécialisées dans la finance climat

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    (Agence Ecofin) – Soutenue par la BAD, l’initiative vise à combler le déficit des financements climatiques résultant du non-respect par les pays riches de leur engagement à fournir 100 milliards de dollars par an aux pays en développement.   

    Cinq pays africains s’apprêtent à lancer des banques spécialisées dans la finance climatique avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD) pour tenter de combler le déficit du financement résultant du non-respect par les pays riches de leur engagement à fournir 100 milliards de dollars par an aux pays en développement, a rapporté Bloomberg lundi 20 novembre, citant une dirigeante de l’institution financière panafricaine.

    « L’Egypte, le Maroc, le Bénin et la Côte d’Ivoire sont en train de créer des banques vertes sous l’égide de la BAD. Nous soutenons également le Rwanda, qui a lui-même pris l’initiative de mettre en place une telle institution », a déclaré Audrey-Cynthia Yamadjako, chargée principale de la finance climatique à la BAD et coordinatrice de l’initiative des banques vertes africaines.

    La BAD a déjà mobilisé 142 millions de dollars pour la banque verte rwandaise grâce notamment à ses propres contributions et à celles du Fonds de partenariat mondial pour le climat, de l’Agence danoise de développement international (DANIDA), de l’Agence française de développement (AFD) et du gouvernement britannique.

    La banque verte rwandaise prévoit également de s’associer à des institutions privées pour cofinancer des projets dans le cadre d’une approche connue sous l’appellation de « Blended finance » (financement mixte).

    « Ce sera un modèle pour la région africaine, en particulier pour les gouvernements qui souhaitent lancer leur propre banque verte nationale », a souligné Mme Yamadjako, indiquant que la banque verte rwandaise commencera à financer des projets en 2024.

    Sous l’égide de la Convention des Nations unies sur la lutte contre le changement climatique (CNUCC), les pays riches, principaux responsables historiques des émissions de gaz à effet de serre, s’étaient engagés en 2009 à porter à 100 milliards de dollars par an leur aide climatique en faveur des pays en développement à partir de 2020. Mais cette promesse n’a pas été jusqu’ici tenue.

    Entre temps, les besoins des pays africains en financements climatiques ne cessent d’augmenter alors que les fonds investis sur le continent ne représentent qu’une infime part des flux mondiaux des financements climatiques, et la part couverte par le secteur privé reste limitée.

    Le coût global de la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national (CDN), qui représentent les efforts qui doivent être déployés par chaque pays pour réduire ses émissions nationales et s’adapter aux effets du changement climatique comme définis par l’Accord de Paris sur le climat, est estimé à 2 800 milliards de dollars entre 2020 et 2030, selon une étude publiée par la Climate Policy Initiative, un groupe de réflexion sur le climat composé de 90 experts.

    Sur ce montant global, les gouvernements africains se sont engagés à mobiliser 264 milliards de dollars de ressources publiques nationales, soit environ 10 % des besoins globaux en financements climatiques sur la période concernée. Les 2 500 milliards restants, soit 250 milliards par an, devraient provenir de sources publiques internationales et des acteurs privés nationaux et internationaux.

    « Nous devons nous diversifier. Nous devons trouver d’autres solutions pour l’Afrique, qui est la région du monde la plus touchée par le changement climatique », a lancé Mme Yamadjako.

    Lire aussi:

    19/11/2023 – Le Kenya pourrait perdre jusqu’à 7,25% de son PIB d’ici 2050 à cause du changement climatique (Banque mondiale)

    26/06/2021 – Assemblées annuelles de la BAD :  accroître le volume des financements climatiques pour renforcer la résilience de l’Afrique

    22/11/2023 – Au Nigeria, les pertes économiques liées au changement climatique pourraient atteindre 460 milliards $ d’ici 2050 (rapport)

     11/01/2021 – One Planet Summit : la BAD montre l’exemple et consacre plus de 36% de ses approbations aux financements climatiques



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  • Orabank assure « servir ses clients avec rigueur et professionnalisme »

    Orabank assure « servir ses clients avec rigueur et professionnalisme »

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    (ORABANK) – C’est avec une grande surprise que nous avons pris connaissance de plusieurs articles de la presse en ligne béninoise le mardi 21 novembre, faisant un lien inadéquat entre un supposé désaccord entre VISTA et ECP, actionnaire majoritaire du groupe Orabank et l’inquiétude que cela devrait susciter chez les clients et une éventuelle menace sur leur épargne.

    Pour rappel, notre groupe annonçait le 10 août 2023 la signature d’un accord en vue de la cession totale des actions d’ECP, de BIO, de PROPARCO et de DEG dans Oragroup au Groupe VISTA Bank. Les discussions entre actionnaires pour finaliser cette transaction n’ont aucun rapport avec notre mission première d’apporter à nos clients un service bancaire de qualité, de leur permettre de réaliser leurs projets dans les meilleures conditions et de les accompagner avec éthique, responsabilité et transparence.

    Cette mission, nous en faisons aussi un devoir et nous assurons au quotidien de la mener à bien, avec nos équipes commerciales qui continuent de prouver notre forte capacité de mobilisation de ressources avec une croissance de nos dépôts de 12% entre septembre 2023 et septembre 2022.

    Nous invitons tous les organes de presse à vérifier l’exactitude des informations qu’ils diffusent, à faire preuve de discernement et d’éviter les amalgames et raccourcis tendancieux et totalement infondés.

    Nous remercions nos clients pour la confiance sans cesse renouvelée et les assurons de notre parfait engagement à toujours mériter leur confiance.

    À propos du Groupe Orabank

    Le groupe Orabank est présent dans 12 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad et Togo) et dans quatre zones monétaires (UEMOA, CEMAC, Guinée et Mauritanie). Avec plus de 170 agences et points de ventes, une société de gestion et d’intermédiation (SGI) et plus de 2 500 collaborateurs, le groupe Orabank offre à près de 700 000 clients (grandes entreprises multinationales, régionales et locales, institutionnels, PME, professionnels, TPE et particuliers) une large gamme de produits et services bancaires et financiers selon des principes de proximité et de réactivité.

    En visant l’inclusion financière par le déploiement de solutions innovantes, le groupe Orabank se concentre aussi sur des segments de la population à revenus modestes. Cet engagement se traduit par sa politique RSE, partie intégrante de sa stratégie et priorité de ses organes de direction, axée sur la transition énergétique, la gestion des risques environnementaux et sociaux, le bien-être du public et de ses collaborateurs.

    Pour plus d’informations, rendez-vous sur mailto:https://www.orabank.net/fr ou LinkedIn, @GroupOrabank on Twitter, Facebook, Instagram, et YouTube. Explorez également KEAZ, la nouvelle plateforme numérique du groupe Orabank.



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  • La banque d’investissement française Bpifrance rejoint le 4e fonds de Mediterrania, dédié aux PME africaines

    La banque d’investissement française Bpifrance rejoint le 4e fonds de Mediterrania, dédié aux PME africaines

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    (Agence Ecofin) – Après deux précédents investissements dans les 2e et 3e fonds de la société de private equity Mediterrania, Bpifrance s’engage à nouveau avec cet investisseur. La banque française sera présente dans le tour de table de MC IV ciblant des entreprises de taille moyenne sur le continent.  

    La banque publique d’investissement française Bpifrance rejoint le quatrième fonds de Mediterrania Capital Partners, dénommé MC IV. A travers un communiqué publié mardi 21 novembre, Mediterrania précise que l’investissement non encore dévoilé sera réalisé par le biais du fonds des fonds Averroès lancé conjointement par Bpifrance et Proparco pour soutenir le développement du private equity en Afrique.

    Le quatrième fonds de Mediterrania, d’une taille de 350 millions d’euros, cible des entreprises africaines et PME de taille moyenne évoluant dans des secteurs clés de croissance tels que les services financiers, l’éducation, les produits de grande consommation, la construction. L’objectif de ce véhicule sera d’accompagner les entreprises sélectionnées dans l’atteinte de leur plein potentiel opérationnel et de croissance.

    Ce nouvel engagement de Bpifrance avec MC IV s’inscrit dans la continuité des investissements précédents dans les 2e (MC II) et 3e fonds (MCIII) de Mediterrania, respectivement en 2013 et 2019. Bpifrance poursuit ainsi ses opérations de financement d’entreprises africaines. Jusqu’à présent son fonds des fonds Averroès a investi à ce jour, plus de 205 millions d’euros en Afrique, en prenant des parts dans plus de 30 fonds de capital-investissement et capital-risque ciblant le continent. Le portefeuille africain de Bpifrance (via Averroès) est constitué à ce jour de plus de 160 entreprises réparties dans plus de 40 pays et évoluant dans de nombreux secteurs tels que l’industrie, l’agroalimentaire, la santé et les transports.

    « Nous sommes ravis de poursuivre notre partenariat avec notre investisseur de longue date, Bpifrance. […] Grâce au soutien financier et stratégique de Bpifrance, nous continuerons à accompagner des entreprises africaines à fort potentiel de croissance, en établissant des bases solides et en mettant en œuvre les stratégies nécessaires en vue d’assurer un développement durable et à long terme », a déclaré Albert Alsina, fondateur et CEO de Mediterrania Capital Partners.

    Chamberline Moko



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  • Maroc : le résultat net de CIH Bank à fin septembre 2023, impacté par une hausse de 168,2 % du coût du risque

    Maroc : le résultat net de CIH Bank à fin septembre 2023, impacté par une hausse de 168,2 % du coût du risque

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    (Agence Ecofin) – Alors que son coût du risque a fortement progressé, le résultat net part du groupe CIH Bank a faiblement progressé de 1 %. La banque explique avoir adopté une démarche de prudence en matière de couverture des risques.

    Le groupe bancaire marocain CIH Bank a déclaré une hausse de 168,2 %, à 747,4 millions de dirhams (73,7 millions $), du coût du risque consolidé au 3e trimestre 2023. Cette hausse du coût du risque qui pourrait ne pas inspirer confiance aux investisseurs, émane « d’une démarche de prudence en matière de couverture des risques », fait savoir la banque.

    Dans ses indicateurs d’activité du 3e trimestre, publiés le 16 novembre dernier, la banque déclare accroître ses provisions pour se prémunir « des risques à date ainsi que des risques prospectifs, notamment sur quelques contreparties ».

    Cependant, les efforts de provisionnement de la CIH Bank ont impacté son résultat net part du groupe (RNPG), (y compris celui de ses filiales Sofac, Umnia Bank…) qui n’a progressé que de 1% à fin septembre 2023. La banque a d’ailleurs clairement expliqué qu’elle s’attendait à ce que ce provisionnement « ait un impact limité » sur ses résultats de 2023.

    Bien qu’en hausse, ce coût du risque « reste dans la moyenne du secteur bancaire », assure la CIH Bank. Cette dernière explique que ce provisionnement fait partie de sa stratégie de développement en cours depuis quelques années. Cette stratégie axée sur la diversification de ses emplois vers le financement de l’entreprise lui a permis, assure-t-elle, « de développer ses revenus de façon diversifiée tout en adoptant une politique de provisionnement prudente ».

    Au-delà de son RNPG, CIH Bank a affiché un produit net bancaire consolidé de 3 326,7 millions de dirhams, en hausse de 32,6 %, en glissement annuel, et résultant d’une progression de la marge nette d’intérêt de 10,6 % et des performances de l’activité de marché à fin septembre 2023.

    Chamberline Moko



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  • MTN Nigeria : le coût de la dette et la pression sur les marges constituent des risques à surveiller

    MTN Nigeria : le coût de la dette et la pression sur les marges constituent des risques à surveiller

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    (Agence Ecofin) – MTN Nigéria s’achemine lentement dans un cercle vicieux de l’endettement, alors que ses performances progressent plus lentement et que l’environnement économique local accentue la pression sur ses marges.

    La filiale au Nigéria du groupe MTN a déclaré pour la période des 9 mois s’achevant le 30 septembre 2023, un bénéfice avant impôts et amortissements de 232,4 milliards de nairas (284 millions $), contre 400,4 milliards de nairas sur la même période en 2022. Cette marge réalisée ne représente plus que 2,1 fois les intérêts nets payés par l’entreprise, contre 3,5 fois une année auparavant.

    Les chiffres révèlent que les charges nettes d’intérêts ont baissé à 114,3 milliards de nairas contre 125 milliards de nairas. On constate aussi, sur le plan de l’exploitation, que MTN Nigeria a mieux résisté aux défis qui s’imposent actuellement à l’économie du Nigéria. Son chiffre d’affaires a légèrement dépassé les 1772 milliards de nairas (2,1 milliards $), en hausse de 21% par rapport aux neuf premiers mois de 2022. Malgré des charges d’exploitation de réseau en augmentation de 34%, son résultat d’exploitation (hors charges financières) est resté supérieur à celui de 2022. 

    La pression sur les marges est principalement due à la hausse de ses charges financières, notamment à l’impact négatif occasionné par la dévaluation du naira sur la valeur de ses engagements extérieurs. L’entreprise explique qu’elle a fait appel à des lettres de crédit bancaires couvertes par des disponibilités en monnaie locale pour financer ses investissements dans son réseau. La dévaluation du naira l’a contrainte à réévaluer la situation, ce qui s’est traduit par une augmentation des pertes de change potentielles à plus de 295 millions $. 

    Avec une couverture de 2,1 fois les intérêts nets payés par le bénéfice avant impôts et amortissements (EBITDA), la situation reste correcte. Cependant, la pression sur les marges pourrait persister si l’environnement économique ne s’améliore pas au Nigéria. La réponse classique des entreprises face à une telle situation est souvent de contracter de nouvelles dettes. MTN Nigeria a justement annoncé le 8 novembre dernier avoir réussi à mobiliser 250 milliards de nairas grâce à l’émission de papiers commerciaux.

    Cette ressource permettra de refinancer des dettes existantes, dont 197 milliards de nairas sous la forme de papiers commerciaux remboursables en novembre 2023, février et mai 2024. Bien que cela constitue une solution à court terme, il est à noter que le nouvel emprunt porte un taux d’intérêt plus élevé que les précédents, ce qui entraînera une augmentation du volume des intérêts à payer et une réduction supplémentaire du niveau de couverture par l’EBITDA.

    La valeur de MTN sur la Bourse de Lagos reste à des niveaux élevés, mais a légèrement reculé depuis sa position record de juin 2023. Les investisseurs continuent d’être séduits par le type d’entreprise (secteur des télécommunications) et par une politique généreuse de distribution des dividendes. Toutefois, il n’est pas exclu que de nouvelles évaluations soient faites d’ici la fin de l’année par ces derniers. Pour le moment, il n’y a eu aucun mouvement des investisseurs, selon des informations consultées par l’Agence Ecofin.

    Idriss Linge



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