Category: Economie

  • Après le Mali, le courtier d’assurance Oléa s’implante en Ouganda, sa 25e filiale africaine

    Après le Mali, le courtier d’assurance Oléa s’implante en Ouganda, sa 25e filiale africaine

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – Près d’un mois après son expansion au Mali, Oléa entre sur le marché ougandais via le rachat de la société locale de courtage d’assurance Ballpack Insurance Group Uganda. L’opération renforce sa position en Afrique de l’Est.

    Oléa Insurance Solutions Africa a annoncé vendredi 10 novembre sur sa page LinkedIn, l’ouverture d’une nouvelle filiale en Ouganda. Grâce à cette expansion, le courtier d’assurance sera désormais présent dans 25 pays africains.

    Pour s’installer sur le marché ougandais, Oléa a racheté une part majoritaire non dévoilée au capital du courtier d’assurance ougandais Ballpack Insurance Group. Du fait de cette acquisition dont le montant n’a pas été dévoilé, Ballpack a été renommée Oléa Uganda Insurance Brokers, et son directeur général, Paul Muhame, a été choisi pour diriger la nouvelle filiale d’Oléa en Ouganda.

    Oléa Uganda représente ainsi la 5e filiale est-africaine du courtier panafricain. Dans cette sous-région, la société co-fondée en 2017 par les francais Olivier Dubois et Olivier Canuel, est déjà implantée au Kenya, au Mozambique, au Rwanda, et en Tanzanie.

    En Ouganda, Oléa a constitué un portefeuille de clients internationaux. Ainsi, l’expansion dans ce pays traduit la volonté de la société de se rapprocher de sa clientèle et de l’agrandir. « Nous avons déjà un certain nombre de clients internationaux en Ouganda et il était important pour nous d’apporter nos solutions et nos services dans le pays », a confié Vincent de Charnacé, directeur général Afrique de l’Est et australe d’Oléa Insurance Solutions.

    Ce dernier poursuit en indiquant que cette acquisition représente « une marque de confiance envers les clients ougandais et internationaux d’Oléa opérant dans une grande variété de secteurs […] pour couvrir leurs besoins en assurance ».

    Rappelons que l’ouverture de cette nouvelle filiale en Ouganda intervient près d’un mois après l’expansion d’Oléa au Mali, en Afrique de l’Ouest. En janvier 2021, Vincent de Charnacé, annonçait déjà une expansion future d’Oléa dans deux pays africains, dont l’Ouganda. Ce dernier précisait que ce processus avait été ralenti du fait de la crise sanitaire.

    Ballpack Insurance Group qui passe sous le giron d’Oléa est l’une des 51 sociétés de courtage d’assurance agréées en Ouganda.

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    03/10/2023 – Le courtier d’assurance Oléa étend ses activités au Mali



    [ad_2]

    Source link

  • Côte d’Ivoire : 1ère édition de l’Abidjan Private Equity and Venture Capital Summit en mars prochain

    Côte d’Ivoire : 1ère édition de l’Abidjan Private Equity and Venture Capital Summit en mars prochain

    [ad_1]

    (J3A PARTNERS AM) – J3A PARTNERS AM organise la 1ère édition de l’Abidjan Private Equity and Venture Capital Summit qui se tiendra du 25 au 26 Mars 2024 au Sofitel Hôtel Ivoire à Abidjan sur le thème « Private Equity et Venture Capital, quels modèles de création de valeur pour les investisseurs, les entreprises et les états africains ? »

    • L’objectif est de réunir de grands investisseurs mondiaux, des banques multilatérales de développement, des responsables gouvernementaux clés, des “Family Offices”, des gérants de Fonds d’investissement, des dirigeants de grandes entreprises, des start-ups, des entrepreneurs, des fournisseurs de service, des universitaires de renom entre autres, afin de discuter des mécanismes de création de valeur ajoutée économique que peuvent apporter le capital investissement et le capital-risque à tous les acteurs de la chaine de valeur du financement privé.
    • Il s’agira aussi de favoriser des partenariats gagnant-gagnant et de mettre en exergue les dernières recherches universitaires publiées sur le sujet, des conseils de leaders du secteur du capital-investissement / capital-risque et des divers experts invités en tant que conférenciers et panélistes.
    • L’Abidjan Private Equity and Venture Capital Summit 2024 est enfin une opportunité pour les investisseurs mondiaux, les gouvernements, les leaders de l’industrie, les gérants de fonds, les start-ups et les entreprises à la recherche de financement etc…. d’échanger et de façonner l’agenda des marchés du financement privé. 

    Contacts pour information

    • Abidjan: +225 27 22 51 85 18 / +225 01 60 30 17 41 / +225 07 47 38 74 96
    • WhatsApp : +44 7471 305 066

    S’inscrire à l’évènement :

    Le programme complet est disponible sur notre site web.



    [ad_2]

    Source link

  • Eurobonds : 3 pays de l’UEMOA ont 14,5 milliards $ à rembourser jusqu’en 2048

    Eurobonds : 3 pays de l’UEMOA ont 14,5 milliards $ à rembourser jusqu’en 2048

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – Le Bénin, le Sénégal et la Côte d’Ivoire doivent rembourser 14,5 milliards $ en eurobonds d’ici 2048, majoritairement en euros. Le refinancement de ces obligations est difficile compte tenu des taux d’intérêt croissants et de la perception de risque élevé.

    Trois pays d’Afrique de l’Ouest, que sont le Bénin, le Sénégal et la Côte d’Ivoire, doivent rembourser ensemble 14,5 milliards de dollars d’eurobonds entre le 1er octobre 2023 et le 22 mars 2048 selon des données compilées par l’Agence Umoa-Titres sur la plateforme professionnelle Refinitiv. La majorité de cette somme, soit 9,5 milliards de dollars, doit être payée en euros.

    Ces pays ont un arrangement spécial qui leur permet de maintenir une valeur fixe de leur monnaie par rapport à l’euro. Par ailleurs, ils doivent aussi rembourser 4,9 milliards de dollars en obligations en dollars américains. Ces obligations en dollars présentent un risque, car leur valeur peut changer si le taux de change du dollar varie. Trois de ces obligations, d’un total de 1,9 milliard de dollars, doivent être remboursées avant fin juillet 2024.

    Ces pays pourraient avoir du mal à refinancer ces dettes. Bien qu’ils aient de bonnes perspectives économiques, les investisseurs les voient comme risqués et moins rentables comparés à d’autres régions comme les Etats-Unis, l’Europe ou l’Asie, où les taux d’intérêt augmentent. De ce fait, l’écart entre les taux d’emprunt de ces pays et les rendements actuels de leurs obligations continue de s’élargir, allant jusqu’à 5% pour certains.

    Au total, ces pays avaient emprunté 18,5 milliards de dollars sur le marché international, espérant bénéficier de taux d’intérêt plus bas que sur leur marché local. Mais la crise de la Covid-19 et les incertitudes mondiales ont fait changer la donne. Les Etats-Unis ont augmenté leurs taux d’intérêt, poussant les investisseurs à quitter les marchés plus risqués, y compris ceux où une annulation de la dette était en discussion.

    Un défi pour ces pays est que l’argent emprunté a souvent été utilisé pour des projets de développement ou pour gérer leur dette externe. Maintenant, ils doivent mettre en place des réformes économiques pour générer suffisamment de revenus en devises et rembourser leurs dettes.



    [ad_2]

    Source link

  • SPE Capital et Proparco se retirent du capital du groupe pharmaceutique marocain Amanys Pharma

    SPE Capital et Proparco se retirent du capital du groupe pharmaceutique marocain Amanys Pharma

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – Trois ans après leur investissement initial dans le fabricant d’antibiotiques et fournisseur hospitalier marocain Amanys Pharma, le capital-investisseur SPE Capital et le français Proparco cèdent leurs actions au laboratoire pharmaceutique marocain Laprophan.

    SPE Capital et Proparco ne sont plus actionnaires du groupe pharmaceutique marocain Amanys Pharma (ex Saham Pharma). La société de private equity axée sur l’Afrique et l’institution française de financement du secteur privé dans des pays en développement ont annoncé, samedi 11 novembre, la cession des actions qu’elles détenaient dans le capital du producteur de médicaments opérant depuis 2011 dans le Royaume.

    Si le repreneur des parts de SPE Capital et Proparco est connu, le montant obtenu par ces deux investisseurs après la vente de leurs actions n’a pas été dévoilé.

    SPE Capital et Proparco s’en vont après trois ans d’investissement dans le groupe Amanys. Les deux associés, qui affirment avoir accompagné Amanys dans sa croissance en étendant ses capacités industrielles et en améliorant ses normes de gouvernance, n’ont pas communiqué sur la rentabilité (taux de rentabilité interne) de cet investissement.

    La cession d’Amanys Pharma, qui sera finalisée après l’obtention de l’ensemble des autorisations réglementaires nécessaires, représente la deuxième sortie effectuée par SPE Capital via son fonds de capital-investissement axé sur l’Afrique, SPE AIF I.

    En s’associant à Amanys Pharma, SPE Capital et Proparco s’étaient engagés à accélérer la croissance de l’entreprise, à consolider sa position dans le secteur de la fabrication d’antibiotiques au Maroc et à soutenir son développement à l’international.

    Alors que le Maroc fabrique actuellement 70 % de ses besoins en médicaments, le continent africain plus globalement fabrique seulement 30 % des médicaments dont il a besoin, et importe plus de 70 % de médicaments, pour un cout annuel de 14 milliards $, selon des estimations de la Banque africaine de développement.

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    13/04/2020 – Le capital-investisseur SPE Capital finalise l’acquisition de la société pharmaceutique marocaine Saham Pharma 



    [ad_2]

    Source link

  • L’investisseur britannique British International Investment engage 16 millions $ dans le 4e fonds de Mediterrania

    L’investisseur britannique British International Investment engage 16 millions $ dans le 4e fonds de Mediterrania

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – Après la Société financière internationale, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement et l’investisseur italien Groupe CDP, c’est au tour du britannique British International Investment d’investir dans ce fonds axé sur le financement d’entreprises africaines de taille moyenne.

    L’investisseur d’impact britannique British International Investment (BII) engagera 15 millions d’euros (16 millions $) dans Mediterrania Capital IV, le 4e fonds d’investissement de la société de private equity Mediterrania Capital Partners. L’annonce a été faite le 9 novembre dernier par Mediterrania.

    A travers cet engagement, la BII espère étendre son portefeuille en Afrique du Nord et accéder à des marchés plus larges en Afrique subsaharienne. Les 16 millions $ fournis seront investis dans des entreprises africaines de taille intermédiaire. Mediterrania Capital IV ciblera des firmes qui opèrent dans les secteurs des services financiers, de l’enseignement supérieur, des produits de grande consommation, de la construction et de la consommation de base. Le fonds accordera également un intérêt à des sociétés axées sur le genre et le climat.

    Mediterrania Capital IV, qui cherche à mobiliser un total de 350 millions $, a déjà exécuté deux investissements à cette date. L’un dans le laboratoire pharmaceutique Laprophan et l’autre dans la plateforme marocaine de transfert d’argent Cash Plus. Avec le soutien de la BII, ce fonds poursuivra ses opérations d’investissement sur le continent.

    Bien avant la BII, plusieurs institutions financières internationales ont manifesté leur intérêt pour le fonds Mediterrania Capital IV. C’est d’abord la Société financière internationale (SFI) qui s’est engagée en mars dernier à mettre 25 millions d’euros dans ce fonds. Par la suite, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et l’institution italienne de coopération au développement Cassa Depositi e Prestiti S.p.A (Groupe CDP) ont respectivement annoncé, en septembre dernier, un investissement de 30 millions d’euros et de 20 millions d’euros dans Mediterrania Capital IV.

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    26/09/2023 – Après la BERD, l’investisseur italien Groupe CDP engage environ 21 millions $ dans le quatrième fonds de Mediterrania

    22/09/2023 – La BERD engage plus de 30 millions $ dans le quatrième fonds de Mediterrania, ciblant des PME en Afrique du Nord

    22/03/2023 – Le fonds Mediterrania IV proche d’obtenir plus de 26 millions $ pour financer des entreprises africaines de taille moyenne 



    [ad_2]

    Source link

  • Combler le déficit de l’Afrique en infrastructures : dirigeants et investisseurs ont cherché des solutions à l’AIF 2023

    Combler le déficit de l’Afrique en infrastructures : dirigeants et investisseurs ont cherché des solutions à l’AIF 2023

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – L’Afrique fait face à un déficit d’infrastructure majeur, avec un besoin de financement annuel estimé entre 68 et 108 milliards de dollars. Si les analystes ont soulevé la question comme un obstacle majeur au développement économique du continent, les efforts se multiplient pour réduire ce gap.

    La problématique du développement d’infrastructures durables a été longuement discutée cette semaine au cours des Market Days 2023 de l’AIF à Marrakech. En prélude à un panel consacré aux corridors régionaux, le président de la BAD a exhorté les différents acteurs à travailler ensemble pour trouver des solutions au problème et favoriser une intégration accrue du continent afin de le rendre plus compétitif.

    Au-delà des échanges, la rencontre a été le théâtre de plusieurs annonces marquantes en matière de développement des infrastructures. Ainsi, le Fonds Mohammed VI pour l’investissement (FM6I) a signé avec la Banque européenne d’investissement (BEI) une lettre de mandat pour obtenir auprès de cette dernière un financement de 500 millions d’euros. Les fonds seront, apprend-on, alloués à des projets d’infrastructure, à l’introduction de mécanismes de financement innovants pour soutenir les entreprises marocaines, et au renforcement des activités du FM6I en matière de capital-investissement et de capital-risque.

    Toujours au cours du forum, Sédiko Douka, le Commissaire chargé des infrastructures, de l’énergie et de la digitalisation de la CEDEAO, a déclaré qu’un total de 43 millions de dollars avait été mobilisé pour les travaux préparatoires du projet d’autoroute Lagos-Abidjan, auprès de la BAD et d’autres partenaires. Il a indiqué que l’étude de faisabilité du projet est terminée. Notons que ce projet d’autoroute est censé relier le Nigeria, le Bénin, le Togo, le Ghana et la Côte d’Ivoire, et avait suscité des intérêts d’investissement de 15,2 milliards de dollars lors de l’AIF 2022.

    Entre autres déclarations marquantes à cette rencontre à Marrakech, le président de la BAD a indiqué que son institution a alloué un total de 44 milliards $ au développement d’infrastructures en Afrique sur les 7 dernières années. La somme a permis de financer 25 corridors de transport, construire plus de 18 000 kilomètres de routes, 27 postes frontaliers et 16 ponts. Les projets d’infrastructures soutenus par la BAD comprennent le corridor Mozambique-Beira, le pont de Kazungula, le projet ferroviaire et portuaire Nacala, le pont Sénégambie ou encore le corridor de Lobito, l’initiative Desert-to-Power, etc.

    Des besoins encore colossaux

    Malgré les différents efforts consentis ces dernières années pour réduire le déficit de financement des infrastructures en Afrique, le gap reste encore important. Aux Market Days 2023 à Marrakech, Julius Maada Bio, président de la Sierra Leone, a reconnu que le continent est encore confronté à un sérieux déficit d’infrastructure et que ce déficit agit comme un obstacle entravant sa capacité à transformer son économie. Et plusieurs rapports corroborent les dires du président sierra-léonais.

    Selon la Banque mondiale par exemple, le coût des dépenses consacrées à des infrastructures durables par les pays en développement devrait se chiffrer à 4,5 % de leur PIB. « Les pays en développement auront en outre besoin de 2400 milliards de dollars par an au cours des sept prochaines années ne serait-ce que pour faire face aux coûts climatiques, aux conflits et aux pandémies », écrit l’organisation, indiquant que même dans les circonstances les plus favorables, aucune entité ne peut à elle seule réunir de tels montants. D’après un autre rapport disponible sur Ecofin Pro, la plateforme de l’Agence Ecofin réservée aux professionnels, l’investissement nécessaire au développement des infrastructures sur le continent est estimé à une fourchette de 130 à 170 milliards de dollars par an. De ce total, le déficit de financement serait de l’ordre de 68 à 108 milliards de dollars par an.

    Par ailleurs, un rapport publié cette semaine par la BAD indique que l’Afrique fait face à un déficit majeur en infrastructures routières, avec seulement 43 % de la population ayant accès à des routes praticables en toutes saisons. Seulement 53 % des routes du continent sont goudronnées, ce qui isole les populations des services de base et des opportunités économiques.

    Compte tenu de l’importance des infrastructures productives dans les domaines de l’électricité, de l’eau et des transports pour le développement économique de l’Afrique et la réduction de la pauvreté sur le continent, l’ampleur des travaux restants est encore énorme reconnaissent les différents dirigeants, décideurs et acteurs économiques du continent.

    Louis-Nino Kansoun

    Lire aussi :

    09/11/2023 – « L’Afrique a besoin d’initiatives innovantes et audacieuses qui libèrent pleinement son potentiel », Mohammed VI



    [ad_2]

    Source link

  • SEIP 2023 : « pour réussir professionnellement, les femmes doivent s’éduquer financièrement » Paul-Harry Aithnard

    SEIP 2023 : « pour réussir professionnellement, les femmes doivent s’éduquer financièrement » Paul-Harry Aithnard

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – Le manque d’éducation financière se présente comme un réel défi pour l’inclusion financière des jeunes. Au cours du SEIP 2023, coorganisé avec Ecobank Côte d’Ivoire, les experts financiers et les jeunes ont l’occasion d’échanger sur diverses problématiques liées à l’épargne et aux investissements.

    « Pour réussir professionnellement, les femmes doivent s’éduquer financièrement », a déclaré Paul-Harry Aithnard (photo), directeur général Ecobank Côte d’Ivoire et directeur régional exécutif UEMOA, lors d’un panel organisé à l’occasion du Salon de l’épargne, de l’investissement et du patrimoine (SEIP) qui se tient du 9 au 10 novembre 2023, à Abidjan, Côte d’Ivoire.

    S’exprimant sur le thème « Les jeunes face à l’épargne », le responsable a mis en exergue l’importance de l’inclusion financière des femmes, tant pour elles-mêmes que pour l’économie du pays. En effet, celle-ci permet aux femmes d’améliorer leur autonomie, leur sécurité, leur bien-être et leur participation sociale.

    Selon le rapport de l’Agence de promotion de l’inclusion financière (APIF CI), en 2021, les femmes ont enregistré un taux d’inclusion à 37% contre 64% pour les hommes.

    Pour y remédier, M. Aithnard propose une éducation financière dans les écoles en Côte d’Ivoire. « Nous voulons créer une génération d’épargnants, c’est pourquoi il faudrait intégrer à l’intérieur du cursus, des cours de finance », tout en mettant un accent particulier sur l’accompagnement des jeunes filles, a-t-il indiqué.

    Dans le même sillage, plusieurs initiatives d’éducation financière ont été mises en œuvre par les autorités ivoiriennes afin d’encourager et faciliter l’épargne des jeunes dans le pays. Parmi celles-ci, on peut citer le Programme national d’éducation financière de la Côte d’Ivoire (PNEF 2020/24), qui vise à renforcer les capacités des institutions clés ainsi que les compétences des populations, notamment celles à faibles revenus, les jeunes, les femmes et les producteurs ruraux. 

    En outre, Ecobank CI, dans son engagement à œuvrer pour une totale inclusion financière, a initié des programmes éducatifs et des campagnes de sensibilisation dans des écoles et les zones rurales du pays, afin de promouvoir la culture de l’épargne chez les jeunes et les aider à gérer leur budget, a confié Boris N’da, chargé d’affaires du segment des jeunes de 18 à 35 ans au sein de la banque des particuliers. 

    Il faut noter que pour sa 6e édition, le SEIP, coorganisé avec Ecobank Côte d’Ivoire autour du thème « De la jeunesse à la sagesse : maîtriser les finances à chaque étape de la vie », se veut être un lieu de formation, d’échanges et de solutions couvrant diverses problématiques liées à l’épargne et aux investissements, afin de permettre aux jeunes Ivoiriens de maîtriser les finances pour la concrétisation de leurs projets.



    [ad_2]

    Source link

  • Au SEIP 2023, Orange CI défend le mobile money comme un catalyseur de croissance pour les jeunes entreprises

    Au SEIP 2023, Orange CI défend le mobile money comme un catalyseur de croissance pour les jeunes entreprises

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – Au 6e Salon de l’épargne, de l’investissement et du patrimoine qui se tient à Abidjan, la directrice d’Orange Money Côte d’Ivoire a défendu l’importance du mobile money comme instrument clé de financement des jeunes entreprises.

    En Côte d’Ivoire comme en Afrique, le mobile money peut se révéler comme véritable catalyseur de financement pour les jeunes entreprises. C’est ce qu’a révélé Mariame Diaby Touré (photo), directrice générale Orange Money Côte d’Ivoire, à l’occasion du sixième Salon de l’épargne, de l’investissement et du patrimoine à Abidjan.  

    Lors d’un panel portant sur la thématique : « Les jeunes face au financement et à la gestion de leurs entreprises : quelles solutions ? quelle épargne ? », la responsable a indiqué que miser sur le mobile money est indéniablement un calcul gagnant dans la gestion de l’épargne des jeunes. Ceci, plus particulièrement à l’heure où la révolution digitale et entrepreneuriale prend de l’ampleur. 

    Faut-il le rappeler, la révolution apportée en Afrique par le paiement mobile ouvre pour les populations, surtout pour les acteurs de l’informel, de nouvelles perspectives favorisant la croissance et les investissements de leurs entreprises, dans un contexte de difficulté d’accès à certains produits proposés par les banques classiques. Le secteur informel est un maillon essentiel, car il représente, selon les statistiques, plus de 80% du tissu économique. 

    « On pense qu’il y a une opportunité que les banques ne saisissent pas assez […] On a un cadre réglementaire qui fait que nous ne pouvons pas prêter. Mais par contre, on pense qu’on a suffisamment de capacités et on peut user de la technologie pour détecter qui sont les commerçants, les entrepreneurs qui utilisent leur compte mobile money pour en faire une activité commerciale », a déclaré Mariame Touré. 

    Cette technologie offre des solutions pour accompagner les acteurs de l’informel dans leur quête de financements.

    « […] L’ensemble de ces opérations qui sont tracées, permettent en fait de qualifier de façon plus fluide, votre capacité à emprunter et peut-être la probabilité de défaut qu’on peut avoir sur vous. C’est vraiment l’opportunité que nous, en tant que mobile money, qui avons un certain nombre de données, et qui nous arrimons sur la technologie, nous pouvons apporter au secteur bancaire, mais également aux nombreux entrepreneurs et entreprises naissantes », a-t-elle ajouté.

    Ces solutions permettent également au mobile money d’apporter des solutions intéressantes aux défis liés à la croissance économique inclusive. D’après Mme Toure, le taux de pénétration des comptes bancaires en Côte d’Ivoire n’est que de 26%, tandis que le taux d’inclusion financière en incluant les comptes mobile money est de 82%. Des statistiques qui soulignent la nécessité de renforcer l’inclusion du numérique sur le territoire ivoirien.

    A ce titre, Orange Côte d’Ivoire indique avoir développé plusieurs produits et services permettant de consolider le taux d’inclusion financière. Depuis 2020, Orange money CI a lancé une nouvelle offre de crédit et d’épargne qui facilite l’accès au financement des acteurs de l’informel, « avec des tickets qui vont jusqu’à un million FCFA » selon sa directrice.

    Lire aussi:

    09/11/2023 – Côte d’Ivoire : Abidjan accueille son 6e salon de l’épargne et de l’investissement tourné vers la jeunesse



    [ad_2]

    Source link

  • Malawi : la licorne nigériane Flutterwave obtient une licence de transferts de fonds

    Malawi : la licorne nigériane Flutterwave obtient une licence de transferts de fonds

    [ad_1]

    (Agence Ecofin) – La licence permettra notamment à la fintech de se positionner sur le marché très lucratif des envois de fonds réalisés par la diaspora malawite vers son pays d’origine.  

    Le spécialiste nigérian des paiements Flutterwave a annoncé, dans un communiqué publié jeudi 9 novembre, avoir obtenu une licence de prestataire de services de transferts de fonds internationaux auprès de la Banque centrale du Malawi.

    La licence d’opérateur de transfert d’argent international (IMTO) délivrée par la Banque de réserve du Malawi permettra notamment à la fintech de se positionner sur le marché très lucratif des envois de fonds réalisés par la diaspora malawite vers son pays d’origine, a-t-on précisé de même source.

    « Grâce à la solution de transferts de fonds transfrontaliers de Flutterwave Send App, les clients peuvent désormais bénéficier d’avantages tels que des taux de change compétitifs, des transferts d’argent plus rapides, des plateformes mobiles et Web conviviales, l’accès à des transactions dans 150 devises, une assistance clientèle 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, et une adhésion stricte aux normes de sécurité et de conformité les plus élevées », souligne le communiqué.

    Au Malawi, le marché de transferts de fonds transfrontaliers a augmenté de 300 % depuis 2016, et représente désormais 2 % du PIB du pays, selon la Banque mondiale.

    Fondée en 2016 par les Nigérians Olugbenga Agboola et Iyinoluwa Aboyeji, Flutterwave est déjà présente dans une trentaine de pays africains.

    La start-up, basée à Lagos et à San Francisco et valorisée à environ 3 milliards de dollars, revendique plus de 550 millions de transactions pour un montant supérieur à 32 milliards de dollars. Outre les particuliers, elle offre ses services à plus de deux millions d’entreprises, dont Uber, Airpeace, Bamboo, PiggyVest.

    Lire aussi:

    15/09/2023 – Kenya : le spécialiste nigérian des paiements Flutterwave envisage d’investir 50 millions $

    08/09/2023 – Paiements : la licorne nigériane Flutterwave prend pied en Inde

    16/03/2023 – Nigeria : Flutterwave obtient les licences d’émetteur de monnaie électronique et de transfert de fonds au Rwanda

    13/01/2023 – La société nigériane de paiement Flutterwave intéressée par la fintech britannique Railsr



    [ad_2]

    Source link

  • Le Groupe Finactu renforce son engagement auprès de la CRRH-UEMOA

    Le Groupe Finactu renforce son engagement auprès de la CRRH-UEMOA

    [ad_1]

    ( FINACTU) – Le Groupe FINACTU, un des leaders du conseil en Afrique, consolide sa position sur le segment du financement du logement, à travers une nouvelle mission d’accompagnement stratégique de la Caisse Régionale de Refinancement Hypothécaire de l’UEMOA (CRRH-UEMOA).

    Institution de place, la CRRH-UEMOA est un vecteur essentiel du financement par les Banques et SFD de la demande de logement par les populations de l’UEMOA.

    Depuis sa création en 2010, la CRRH-UEMOA apporte de la liquidité aux Banques et aux SFD de l’UEMOA en refinançant les prêts à l’habitat qu’ils accordent avec des ressources à long terme.  Ces ressources sont elles-mêmes levées sur les marchés financiers régionaux et internationaux sous la forme d’emprunts obligataires, ou mobilisées auprès des bailleurs de fonds partenaires sous la forme de ressources concessionnelles. Après plus d’une décennie d’activité, la CRRH-UEMOA confirme sa contribution importante à l’accès au logement abordable en offrant des conditions de taux d’intérêt et de maturité plus avantageuses que les prêts hypothécaires classiques.

    L’étude confiée à FINACTU s’inscrit dans le cadre du projet régional Banque Mondiale / UEMOA en faveur du financement de l’habitat abordable et vise à évaluer l’impact des ressources concessionnelles obtenues auprès de bailleurs de fonds internationaux sur la promotion du financement de l’habitat, et particulièrement de l’habitat abordable dans les pays de l’UEMOA.

    Cette nouvelle preuve de confiance renforce la relation étroite que FINACTU a su développer au service de cette belle institution depuis 2020:  

    • Étude pour la mise en place d’une solution de garantie financière de prêts au logement en appui aux institutions financières (mission en cours) ;
    • Étude d’impact des refinancements consentis sur ressources de marché sur la promotion du financement de l’habitat et de l’accès à la propriété immobilière dans l’UEMOA ;
    • Étude de faisabilité stratégique et financière sur le refinancement par la CRRH-UEMOA des créances de location-vente immobilière ;
    • Étude stratégique et financière sur la conception d’une solution de garantie financière de prêts à l’habitat en faveur des ménages à revenus modestes et/ou irréguliers.

    Le succès de la CRRH-UEMOA est contemplé avec intérêt depuis l’Afrique centrale, où des projets similaires sont actuellement envisagés : FINACTU a en effet eu le plaisir d’accompagner la Banque Mondiale en 2020 dans la réalisation d’une étude de faisabilité pour la création d’une caisse régionale de refinancement hypothécaire qui œuvrerait à la promotion de l’accès à des prêts hypothécaires à long terme dans la zone CEMAC.

    Larbi CHRAÏBI, Senior Manager au sein de FINACTU, a précisé : « À l’orée de son nouveau Plan Stratégique quinquennal, les résultats de l’étude confirment le rôle important de la CRRH-UEMOA dans la promotion de l’accès à la propriété dans la zone UEMOA. Entre 2012 et 2023, la CRRH-UEMOA a mobilisé des ressources pour un montant total de FCFA 415 milliards, dont FCFA 85 milliards de ressources concessionnelles et a accordé des refinancements aux Banques et SFD à hauteur de FCFA 281 milliards. Cette intervention a permis aux Banques et SFD d’accorder environ 16 000 prêts au logement ».

    Luc MORIO, Directeur Associé du Groupe FINACTU, se réjouit : « Le Groupe FINACTU est fier de collaborer avec la CRRH-UEMOA pour améliorer le taux de consommation des ressources longues mobilisées à destination des Banques et SFD de la zone UEMOA en proposant des solutions novatrices, telles que la mise en place de solutions de garanties visant à réduire leur perception du risque, pour promouvoir l’accès à la propriété pour le plus grand nombre ».

    À propos de la Caisse Régionale de Refinancement Hypothécaire de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (CRRH-UEMOA)

    La CRRH-UEMOA a été créée en juillet 2010 sous la forme d’un établissement financier à caractère bancaire à l’initiative du Conseil des Ministres qui a mandaté les institutions régionales pour son instruction, à savoir la Commission de l’UEMOA, la BCEAO, la BOAD et l’AMF-UMOA. La BOAD a reçu mandat de structurer une CRRH-UEMOA.

    Elle apporte des ressources longues aux Banques et institutions de microfinance, en refinançant les crédits immobiliers que ces dernières distribuent. Elle offre également des solutions permettant d’alléger les besoins de fonds propres des banques à travers des opérations de titrisation de prêts hypothécaires, ainsi que des solutions de garanties en partenariat avec des acteurs de l’écosystème.

    Véritable « outil de place », elle est détenue principalement par les 58 Banques avec lesquelles elle travaille, la BOAD (Banque Ouest Africaine de Développement), IFC (International Finance Corporation), la BIDC (Banque d’Investissement et de Développement de la CEDEAO) et Shelter Afrique. 

    À propos du Groupe FINACTU

    Fondé en 1999, FINACTU est un groupe de conseil dédié au continent africain, spécialisé dans le conseil stratégique et opérationnel et dans le corporate finance.

    Plus de 200 clients dans 30 pays émergents nous ont fait confiance à ce jour, donnant à FINACTU une expérience privilégiée dans de très nombreux domaines : politiques publiques, banque et garantie (y compris Banques de Développement et Caisses de Dépôts et de Consignations), assurance et réassurance, private equity, protection sociale mais aussi d’autres domaines comme le secteur agricole, les télécom, le secteur postal et l’éducation.

    Avec des équipes basées principalement à Casablanca et des équipes à Abidjan, Dubaï, Libreville et Tunis, le Groupe FINACTU assure une couverture très large du continent.

    Pour plus d’information, vous pouvez consulter le site www.finactu.com 

      23698logocrrh



    [ad_2]

    Source link