Category: Economie

  • Malawi : la Banque centrale dévalue le kwacha de 44 % pour soutenir les réserves de change

    Malawi : la Banque centrale dévalue le kwacha de 44 % pour soutenir les réserves de change

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    (Agence Ecofin) – L’institution souligne que l’importante dévaluation monétaire vise à corriger les déséquilibres entre l’offre et la demande de devises sur le marché de change, et à contrer les opérations d’arbitrage apparues sur ce marché. 

    La Banque centrale du Malawi a annoncé, dans un communiqué publié ce jeudi 9 novembre, une nouvelle dévaluation de 44 % du kwacha en vue de soutenir les réserves de change du pays.

    La monnaie nationale sera échangée à 1 700 kwachas pour un dollar à partir du jeudi, contre 1 180,29 kwachas pour un dollar précédemment, a précisé la Reserve Bank of Malawi.

    Cette mesure, qui réduit la valeur du kwacha de deux tiers par rapport au début de l’année en cours, est la deuxième dévaluation significative de la monnaie malawite après celle réalisée en mai 2022 pour soutenir des réserves de devises étrangères, qui avaient alors chuté sous l’effet de la hausse des prix des matières premières et de la diminution des recettes provenant des exportations de tabac.

    « La nouvelle dévaluation a été décidée pour corriger les déséquilibres entre l’offre et la demande de devises sur le marché de change, et contrer les opportunités d’arbitrage qui sont apparues sur ce marché », a expliqué la Banque centrale.

    L’institution a également indiqué qu’elle allait « surveiller de près l’évolution du marché afin d’éviter tout comportement désordonné de la part des acteurs du marché qui pourrait entraîner une volatilité excessive ».

    Les opérations d’arbitrage sur le marché de change consistent à acheter une monnaie sur une place et à la vendre sur une autre pour profiter d’un décalage des cours existant entre ces deux places.

    Lire aussi:

    28/08/2023 – Malawi : la Banque centrale annonce des négociations « très positives » sur la restructuration de 1,2 milliard $ de dettes

    09/05/2012 – Le Malawi dévalue le kwacha de 34%

    09/03/2012 – Malawi : le FMI exige 40% de dévaluation de la monnaie nationale

    27/04/2012 – Charles Chuka, nouveau gouverneur de la banque centrale du Malawi



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  • Report des Séminaires et du Forum Présidentiel du Cinquantenaire de la BOAD

    Report des Séminaires et du Forum Présidentiel du Cinquantenaire de la BOAD

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    (BOAD) – En raison de la volatilité du contexte international et particulièrement de celui qui prévaut encore à date dans la région, le Président de la BOAD, Président du Conseil d’Administration a pris la décision de reporter sine die, la tenue des séminaires réservés aux administrateurs et ministres statutaires, ainsi que le Forum Présidentiel prévu les 12, 13 et 14 novembre 2023 dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de la BOAD.

    Les cérémonies du jubilé seront circonscrites aux activités prévues exclusivement pour le personnel de la BOAD.

    Nous présentons à nos actionnaires, clients et partenaires, nos excuses pour tout éventuel désagrément que ce report pourrait engendrer et espérons pouvoir annoncer dans les meilleurs délais les prochaines dates de la tenue de ces rencontres.

    Serge A. P BOUAH

    Directeur des Départements des Relations Institutionnelles, de la Communication et des Relations Publiques



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  • Nigeria : pas de dividendes intérimaires pour la filiale de TotalEnergies au terme des 9 premiers mois de 2023

    Nigeria : pas de dividendes intérimaires pour la filiale de TotalEnergies au terme des 9 premiers mois de 2023

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    (Agence Ecofin) – TotalEnergies Nigeria n’a pas prévu de distribuer de dividendes intérimaires pour les 9 premiers mois de 2023, malgré une hausse de 25% du chiffre d’affaires. Une décision qui survient dans un contexte où le bénéfice net est en baisse, suite à des coûts accrus.

    Au Nigeria, la filiale locale du groupe énergétique français TotalEnergies ne prévoit pas de distribuer de dividendes intérimaires pour les neuf premiers mois de l’année 2023, apprend-on de sa communication financière. Pour la même période en 2022, l’entreprise avait distribué un dividende de 4 nairas par action, celle-ci ayant une valeur comptable de 50 centimes de naira.

    Aucune explication n’a été fournie directement concernant cette décision. Cependant, l’analyse des résultats financiers de l’entreprise permet d’élaborer quelques hypothèses. La première est que le dividende final annoncé pour 2023 a été de 17 % supérieur à celui de 2022. On note également que l’entreprise a clôturé le troisième trimestre avec un bénéfice net de 10,8 milliards de nairas (13,4 millions $), soit 13 % de moins que celui de la même période en 2022.

    Le chiffre d’affaires a pourtant affiché une augmentation de 25 %. Cette hausse est intervenue dans un contexte marqué par l’augmentation des prix de l’essence à la pompe, suite à la décision du nouveau gouvernement de mettre fin aux subventions sur les produits pétroliers. Une autre réforme politique majeure, concernant la gestion des opérations de change, a, d’une part, augmenté de 6 milliards de nairas les charges liées aux opérations financières internationales, et d’autre part, le coût des marchandises en stock a également augmenté, réduisant ainsi la marge bénéficiaire.

    Les investisseurs de TotalEnergies au Nigeria continueront de suivre l’évolution de la conjoncture au sein de l’une des économies les plus importantes d’Afrique. Malgré l’absence de dividendes intérimaires, les actionnaires peuvent espérer une évolution positive de la valeur boursière de l’entreprise, qui s’est améliorée de 82 % sur les 12 mois se terminant à la fin de septembre 2023.



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  • Les Market Days 2023 de l’Africa Investment Forum s’ouvrent au Maroc sur le thème du renforcement des chaînes de valeur

    Les Market Days 2023 de l’Africa Investment Forum s’ouvrent au Maroc sur le thème du renforcement des chaînes de valeur

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    (Agence Ecofin) – Depuis son lancement en 2018, l’Africa Investment Forum organisé par la BAD a généré près de 143 milliards de dollars d’intérêts d’investissement. La nouvelle édition qui vient de commencer à Marrakech s’annonce productive.

    L’édition 2023 des Market Days de l’Africa Investment Forum a commencé mercredi 8 novembre à Marrakech, en présence de plusieurs présidents africains, dont Azali Assoumani, Julius Maada Bio et Samia Suluhu. Organisé par la Banque africaine de développement (BAD) et plusieurs partenaires, l’événement réunira sur trois jours des investisseurs, des promoteurs de transactions, des chefs de gouvernement et des responsables d’institutions de financement du développement.

    Le thème principal de cette édition des Market Days de l’AIF est « Débloquer les chaînes de valeur de l’Afrique ». Les discussions tourneront autour de la manière de rendre productifs plusieurs secteurs où l’Afrique possède un avantage comparatif, comme l’agriculture, les énergies renouvelables ou encore l’industrie manufacturière. Plusieurs transactions concernant ces différents secteurs seront présentées au cours de l’événement.

    Dans son discours d’ouverture, le président de la BAD, Akinwumi Adesina, a rappelé que les économies africaines offrent certaines des meilleures opportunités d’investissement au monde, en raison de leur croissance démographique, de la jeunesse de leur population et du marché important qu’elles représentent pour l’alimentation et l’agriculture.

    Il a également évoqué le potentiel de la Zlecaf (qui représente un marché consolidé de 3400 milliards de dollars), les capacités de l’Afrique en matière d’énergies renouvelables et le rôle clé que jouera le continent sur le marché des véhicules électriques, alors que la plupart des minéraux nécessaires à cette industrie sont disponibles dans des pays africains.

    « En tant qu’investisseurs, investissez là où se trouve l’avenir. L’avenir est en Afrique. Les investisseurs devraient considérer l’Afrique non pas à partir de ce qu’ils entendent dire, mais à partir de ce que disent les faits », a déclaré Akinwumi A. Adesina, ajoutant que l’Afrique n’est pas aussi risquée qu’on le pense. 

    Depuis son lancement en 2018, l’Africa Investment Forum a attiré plus de 16 500 participants et a généré près de 143 milliards de dollars d’intérêts d’investissement. Lors des Market Days 2022, le corridor autoroutier Abidjan-Lagos a suscité 15,5 milliards de dollars d’intérêts d’investissement, tandis que le corridor ferroviaire de l’Afrique de l’Est a suscité 3,6 milliards de dollars la même année.

    Louis-Nino Kansoun

    25/10/2023 – Market Days de l’Africa Investment Forum 2023 : le compte à rebours a commencé

    21/06/2023 – Akinwumi Adesina: « Il est essentiel de réduire les risques liés au capital pour accroître le financement du développement »



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  • PIEX Group annonce l’acquisition du groupe Apexfarma et de sa filiale Cross Pharm

    PIEX Group annonce l’acquisition du groupe Apexfarma et de sa filiale Cross Pharm

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    ( PIEX Group) – PIEX Group, leader de la distribution de produits de santé et de bien-être en Afrique, annonce avoir signé l’acquisition du groupe Apexfarma, spécialisé dans le développement et la promotion de produits pharmaceutiques en Afrique et en Asie septentrionale. Cette acquisition permet à PIEX Group de poursuivre l’expansion dynamique de la société sur le continent africain, qui offre des perspectives de croissance exceptionnelles, tout particulièrement dans le domaine de la santé. Grâce à la complémentarité de l’offre d’Apexfarma, PIEX Group ambitionne de répondre, à l’échelle du continent, à une demande forte d’accès à des produits de santé de qualité pour tous. L’opération inclut par ailleurs l’acquisition du laboratoire Cross Pharm, filiale du groupe Apexfarma.

    PIEX, fondée en 1979, fait partie des sociétés les plus solides financièrement de son secteur grâce à un niveau de services et une performance opérationnelle en progression constante. Soutenu par LBO France, son principal actionnaire, Africinvest et Bpifrance le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 144 millions d’euros en 2022 (+6% par rapport à 2021). Basé en France, PIEX compte plus de 50 employés.

    Apexfarma, créée par Carlos Pijoan en 1995, est une société basée à Barcelone. Couvrant plus de 40 marchés dont la majeure partie des pays d’Afrique Sub-Saharienne, elle dispose d’une équipe promotionnelle d’environ 350 délégués sur le terrain, qui devrait rapidement atteindre 500 personnes d’ici fin 2024, coordonnés par une équipe au siège de plus de 15 personnes. Elle compte actuellement 50 marques en promotion active, gère 900 dossiers d’enregistrement et effectue environ 700 000 visites de médecins et de pharmaciens chaque année.

    Une acquisition dans la continuité du développement de PIEX Group en Afrique

    Depuis sa création, PIEX s’appuie sur un réseau de partenaires qui lui assure une présence au plus près du terrain et une sécurité de ses approvisionnements. Depuis plus de 20 ans, PIEX et Apexfarma collaborent pour apporter aux patients africains des médicaments de qualité et pour servir les ambitions de leurs laboratoires partenaires.

    Le marché africain francophone est historiquement caractérisé par une séparation entre les métiers de la distribution et de la promotion pharmaceutique, ce qui en rend la gestion complexe, dans un environnement lui-même parfois instable et fragmenté. L’alliance de PIEX Group et d’Apexfarma s’inscrit dans une logique de complémentarité offrant à ses laboratoires partenaires une plate-forme unique. L’offre intégrant le réglementaire, le marketing/analyse des marchés et les ventes, ainsi que la logistique et la distribution, accroît son impact sur le continent. Cette alliance permet surtout d’élargir l’accès à des médicaments de qualité pour le plus grand nombre, dans un contexte de demande en forte augmentation et de recrudescence de faux médicaments.

    Vers une intégration de la chaîne de valeur

    L’acquisition d’Apexfarma et de sa filiale Cross Pharm permet également à PIEX Group d’étendre ses activités en amont de la chaîne de valeur. Avec Cross Pharm, PIEX Group devient détenteur d’autorisations de mise sur le marché (AMM) et du droit d’exploitation de marques. Longue et complexe, la délivrance de ces AMM permettra à PIEX Group de maîtriser une étape clé de la chaîne de valeur. Le groupe développera à terme une plateforme de R&D orientée vers des pathologies et des besoins spécifiques à l’Afrique, délaissés de plus en plus par les acteurs traditionnels de l’industrie pharmaceutique.

    Bertrand Talbotier, Président de PIEX Group, a déclaré : « Cette acquisition illustre la dynamique de forte croissance de PIEX Group, grâce au soutien de ses actionnaires et dans un contexte de fort développement des besoins en médicaments sur le continent africain. Elle nous permet de nous doter d’outils qui répondent aux défis du marché de la santé en Afrique pour les prochaines décennies. Le groupe est sur une trajectoire de croissance qui ne se dément pas. »

    Jean-Marie Leroy, Partner en charge de l’activité Small Cap chez LBO France, commente : « Par cette alliance avec Apexfarma, PIEX Group franchit une nouvelle étape de son développement et se donne les moyens de devenir le leader de la distribution de produits de santé et de bien-être en Afrique. Accompagné par les équipes opérationnelles de LBO France, PIEX Group poursuit une stratégie ESG ambitieuse en faveur de l’accès aux médicaments pour tous, sur un territoire qui présente un très grand potentiel de croissance. »

    Carlos Pijoan, PDG d’Apexfarma, a déclaré : « Cette alliance avec PIEX Group est naturelle. Depuis plus de 20 ans, nous construisons des partenariats de long terme, gages de fiabilité et de confiance sur un continent complexe. En tant que fondateur du groupe, j’ai toute confiance dans les équipes de PIEX Group pour amener Apexfarma et Cross Pharm vers une nouvelle étape de leur histoire. »

    À propos de PIEX Group

    PIEX Group est un distributeur de produits de Santé et de Bien-être, principalement présent en Afrique. Avec un catalogue de plus de 2000 références, PIEX Group entretient un lien privilégié entre les fabricants en amont et les acteurs en aval de la chaîne d’approvisionnement : grossistes répartiteurs, pharmacies, hôpitaux. PIEX est une société totalement indépendante au service de ses clients, de ses fournisseurs et de ses actionnaires. Avec une offre intégrée, PIEX Group propose une solution « One-Stop-Shop » vers le marché africain de la Santé et du Bien-être. Le groupe s’inscrit dans un projet plus large de développement d’une « entreprise internationale focalisée sur l’Afrique » visant à apporter au plus grand nombre des produits de santé et de bien être de qualité, ainsi que des services, à un coût adapté aux contraintes des marchés.

    À propos d’Apexfarma

    Apexfarma fournit à l’industrie pharmaceutique une solution intégrée pour l’export de produits de Santé en Afrique essentiellement, mais aussi dans les pays de la CEI et en Europe de l’Est. La mission d’Apexfarma est de fournir aux fabricants de médicaments une solution fiable, professionnelle et efficace pour accéder aux pays émergents.

    logos PIEX



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  • ARISE IIP prix Reuters 2023 “Pionnier du développement durable” et finaliste du prix “Transition circulaire”

    ARISE IIP prix Reuters 2023 “Pionnier du développement durable” et finaliste du prix “Transition circulaire”

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    (ARISE) – ARISE IIP, développeur et opérateur panafricain de parcs industriels de classe mondiale, a remporté le prix Reuters “Pionnier du développement durable” lors de la 14e édition des “Responsible Business Awards” organisée par Reuters. L’annonce a été faite lors d’une cérémonie à Londres où plus de 280 finalistes du monde entier se sont réunis pour célébrer l’excellence en matière du développement durable des entreprises. ARISE IIP a également été finaliste pour le Prix de la “Transition circulaire”.

    Le “Responsible Business Awards” est un évènement de renommée mondiale qui réunit les entreprises qui transforment le monde en matière de développement durable. Avec plus de 700 candidatures provenant de 51 pays, Arise IIP a été sélectionné par un panel indépendant de 25 experts du monde entier sur la base de l’innovation et de l’impact de ses activités.

    Cette année, le prix Reuters “Pionnier du développement durable” récompense le Centre de formation aux métiers textile situé dans la zone de Glo-Djigbe Industrial (GDIZ), le parc industriel construit par ARISE IIP près de Cotonou au Bénin. 500 jeunes, dont 60% de femmes, reçoivent une formation qualifiante dans cet ambitieux parc textile équipé de technologies de pointe.

    Les juges ont déclaré à propos de la réalisation d’ARISE IIP : « Le travail d’ARISE IIP incarne pleinement le terme “pionnier” dans leur manière de travailler. Ils conçoivent une industrie axée sur l’équité et les moyens de subsistance des populations. Le modèle remarquable qu’ils ont créé est reproductible, en commençant par le Bénin et il peut être étendu à d’autres régions d’Afrique et même à d’autres parties du monde. Il s’agit d’une innovation, qui permet d’atteindre plusieurs objectifs de développement durable par le biais d’une entreprise pilote et qui peuvent être reproduits dans une industrie centrée sur l’être humain ».

    Ramakrishnan Janarthanan, Directeur des opérations des projets textiles au sein d’ARISE IIP a confié : “Nous sommes très fiers de cette distinction qui récompense tous nos efforts ces dernières années. Basé sur quatre principes que sont la traçabilité, la durabilité, la circularité et la formation, le modèle que nous avons conçu au Bénin a vocation à être répliqué dans d’autres pays africains, un continent qui a tous les atouts pour jouer un rôle croissant dans l’industrie textile dans les années à venir.”

    À propos d’ARISE IIP

    ARISE Integrated Industrial Platforms (ARISE IIP) est un développeur et opérateur panafricain de parcs industriels de classe mondiale engagé à faire prospérer l’Afrique. Nous identifions les opportunités dans les chaînes de valeur commerciales et industrielles à travers l’Afrique, et concevons, finançons, construisons et exploitons les infrastructures nécessaires, jouant un rôle de catalyseur pour aider les pays à passer à une économie industrielle. Nous sommes animés par la recherche d’une croissance verte ; notre ambition est de libérer le potentiel industriel du continent tout en neutralisant nos émissions de carbone et notre impact sur le climat. ARISE IIP est actuellement présent au Bénin (GDIZ), au Togo (PIA) et au Gabon (GSEZ). En 2020, GSEZ a été classée comme la meilleure zone économique spéciale au monde dans le secteur du bois selon le classement FDI.

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  • Les levées de fonds des start-up africaines ont augmenté de 23,6% en octobre 2023, à 144,3 millions $

    Les levées de fonds des start-up africaines ont augmenté de 23,6% en octobre 2023, à 144,3 millions $

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    (Agence Ecofin) – Alors que l’Afrique reste la région la plus touchée par la pauvreté énergétique à l’échelle mondiale, le secteur de l’énergie a dominé les levées de fonds en octobre dernier, reléguant le secteur des technologies financières à la deuxième place.    

    Les levées de fonds réalisées par les start-up actives en Afrique ont atteint un montant total de 144,3 millions de dollars durant le mois d’octobre 2023, enregistrant ainsi une hausse de 23,6% par rapport aux financements mobilisés au cours du mois de septembre de la même année, selon des données publiées par le cabinet de conseil en économie numérique TechCabal Insights.

    Les levées de fonds réalisées par un total de 27 jeunes pousses africaines en octobre dernier représentent une baisse de 22,6% par rapport aux 186,4 millions de dollars récoltés en octobre 2022.

    La répartition de ces levées de fonds par secteur d’activité montre que l’énergie a reçu 57,9% de l’ensemble des financements injectés dans les pépites de la tech opérant sur le continent durant le mois écoulé. Viennent ensuite les secteurs de la fintech (20,1%), de la healthtech (6%), de l’agritech (5,3%) et de l’edtech (3%).

    La ventilation des financements par région montre d’autre part que l’Afrique de l’Est a attiré la partie la plus importante des levées de fonds (79,1 millions de dollars), devant l’Afrique australe (36,8 millions), l’Afrique de l’Ouest (18,9 millions) et l’Afrique du Nord (9,5 millions).

    Les trois plus grosses levées de fonds recensées en octobre 2023 ont été réalisées par la plateforme de financement kényane M-Kopa (65 millions de dollars), la fintech sud-africaine Stitch (25 millions) et la cleantech nigériane WATT (13 millions).

    Lire aussi:

    08/09/2023 – En Afrique, 70% des investisseurs attendent des start-up un rapport mensuel concis, sincère et précis (rapport)

    23/08/2023 – En Afrique, les levées de fonds des start-up du secteur de l’énergie ont dépassé celles des fintech au 2e trimestre 2023 (rapport)

    09/07/2023 – Top 15 des meilleurs écosystèmes start-up d’Afrique en 2023 (StartupBlink) 

    03/07/2023 – En Afrique, les levées de fonds des start-up ont chuté de 52,4 % au 1er semestre 2023, à 1,19 milliard $ (Disrupt Africa)



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  • Ouganda : la filiale Airtel Africa n’a pas fait mieux que celle de MTN Group pour son introduction en bourse

    Ouganda : la filiale Airtel Africa n’a pas fait mieux que celle de MTN Group pour son introduction en bourse

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    (Agence Ecofin) – Airtel Uganda a enregistré une souscription de seulement 54,45% à son offre publique initiale d’introduction en bourse. L’IPO a eu de la peine, malgré un aménagement favorable pour les investisseurs et une bonne performance de la bourse ougandaise.

    Airtel Uganda a annoncé, ce lundi 6 novembre, une souscription à seulement 54,45 % de son offre publique initiale (IPO), proposant 8 milliards d’actions à 100 shillings ougandais l’unité. La vente d’actions, lancée le 29 août, visait à vendre jusqu’à 20 % de l’entreprise, mais seulement 4,36 milliards d’actions ont été effectivement souscrites.

    Le Fonds national de sécurité sociale (NSSF) ougandais a marqué cet événement en exprimant le souhait d’acquérir au moins 10,55 % d’Airtel, représentant ainsi plus de la moitié des actions offertes, pour un investissement de 199 milliards de shillings (52,8 millions USD).

    Malgré diverses stratégies déployées pour séduire les investisseurs, Airtel n’a pas connu le succès escompté, dans le même sillage que la filiale locale de MTN. Cette dernière n’avait obtenu des souscriptions que pour 64,7 % de ses actions disponibles, et ce, malgré une politique de dividendes généreuse et un prix d’action abordable.

    Ce résultat interroge sur la capacité des marchés financiers africains à soutenir certaines IPO. Airtel, à l’instar de MTN Uganda, cherchait à répondre aux exigences réglementaires imposant l’ouverture du capital des entreprises télécoms aux investisseurs locaux.

    Cependant, cette réglementation semble ne pas avoir considéré la profondeur limitée d’un marché financier qui peine à séduire les investisseurs aussi bien nationaux qu’internationaux. Le report de la clôture de l’offre n’a pas non plus semblé suffire à attirer davantage de personnes intéressées par l’opération.

    Bien que le marché financier ougandais ne soit pas parmi les plus liquides, il offre des rendements respectables. En 2023, il a enregistré une plus-value globale de 7,5 % depuis le début de l’année. De plus, le bénéfice net global des entreprises cotées a été multiplié par 2,6 depuis octobre 2021, atteignant 1200 milliards de shillings ougandais (environ 320 millions de dollars) pour la même période en 2023, d’après des données consultées par l’Agence Ecofin.



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  • UBA : les entreprises et les dérivés sur les devises ont dopé le bénéfice net du groupe, à fin septembre 2023

    UBA : les entreprises et les dérivés sur les devises ont dopé le bénéfice net du groupe, à fin septembre 2023

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    (Agence Ecofin) – United Bank for Africa a rapporté pour les trois premiers trimestres de 2023, un bénéfice net en nairas, de 4 fois supérieur à celui de la même période en 2022. Les revenus d’intérêts et le trading de devises ont soutenu cette performance, mais des risques sous-jacents existent.

    Pour les neuf premiers mois de 2023, United Bank for Africa (UBA), groupe bancaire nigérian, a rapporté un bénéfice net consolidé de 449,3 milliards de nairas, équivalant à environ 574 millions de dollars au taux de change officiel, selon sa communication financière. En nairas, le bénéfice est presque quadruplé par rapport à la même période en 2022, qui était de 116 milliards de nairas, et il est multiplié par 2,14 lorsqu’il est converti en dollar américain.

    Cette performance résulte principalement d’une hausse remarquable des revenus d’intérêts, c’est-à-dire ceux que la banque perçoit en octroyant des crédits à ses clients. Le segment des entreprises s’est avéré le plus lucratif, avec une marge d’intérêt net de 281,7 milliards de nairas à fin septembre 2023, en progression de 39,5 % par rapport à 2022.

    Toutefois, ce sont les produits dérivés des transactions en devises étrangères qui ont significativement stimulé le résultat financier net de UBA. Le groupe financier a indiqué que cette ligne d’activité a engendré un revenu exceptionnel de 342,5 milliards de nairas, comparativement aux 6,5 milliards de nairas de 2022. Le groupe bancaire n’a pas fourni plus de précisions sur la manière dont les gains en plus-values sur ces instruments financiers ont contribué à ses marges.

    L’accroissement des revenus d’intérêts s’est avéré constant. Le groupe a signalé une croissance de son portefeuille de crédit à la clientèle. Il est complexe de déterminer si cette augmentation consolidée provient de la valorisation en nairas des crédits octroyés par ses filiales, notamment celles en zone Franc CFA qui sont dynamiques et bénéficient d’une monnaie relativement stable.

    Néanmoins, cette rapide expansion des prêts et avances aux clients pourrait représenter un risque en cas d’accumulation de défauts de paiement en devises étrangères. De plus, l’exceptionnelle hausse des revenus de trading et de change révèle une exposition marquée aux fluctuations du marché. Bien que profitable dans le contexte actuel, une volatilité accrue du naira pourrait engendrer des pertes futures. Pour l’heure, le gouvernement d’Abuja ne semble pas avoir trouvé de solution durable à ce défi.

    Le 4 novembre dernier, il a été révélé que les principaux dirigeants de UBA, y compris des individus liés à la famille de Tony Elumelu, son fondateur et président, ont acquis plus de 40 millions d’actions de la société sur la Bourse de Lagos où le groupe est coté. UBA s’est révélée être une source de rentabilité notable pour ses investisseurs. Depuis le début de l’année, sa valeur a augmenté de 147 %. Sur une base annualisée et en tenant compte des dividendes distribués, l’action a généré un rendement de 384 % pour ses investisseurs. À titre de comparaison, cela surpasse le rendement de 154% du secteur bancaire et les 113,7% de performance générale du marché boursier de Lagos.



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  • Socium, spécialiste africain des ressources humaines, poursuit sa croissance en Afrique centrale avec l’ouverture d’un bureau à Douala

    Socium, spécialiste africain des ressources humaines, poursuit sa croissance en Afrique centrale avec l’ouverture d’un bureau à Douala

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    (SOCIUM) – Socium, la start-up fondée en 2021 par Samba LO, annonce son expansion en Afrique centrale en inaugurant un nouveau bureau à Douala, au Cameroun. Cette décision stratégique constitue une avancée significative dans la trajectoire de croissance de l’entreprise, démontrant son engagement renforcé dans la réponse aux besoins croissants du continent en matière de recrutement et d’administration du personnel.

    Forte de ses bureaux au Sénégal et en Côte d’Ivoire, Socium a choisi de lancer son expansion en Afrique centrale depuis le Cameroun, une décision motivée par sa confiance en la maturité du marché et le dynamisme du pays.

    Dans ce cadre, l’entreprise est fière d’annoncer l’arrivée de Jordan TCHATO en qualité de directeur de l’Afrique centrale. Avec son expérience précieuse et sa connaissance approfondie des enjeux stratégiques propres à l’Afrique centrale, son rôle sera essentiel pour orienter la croissance de Socium au sein de cette région dynamique.

    Avec une équipe actuelle de 25 collaborateurs, Socium se distingue par une structure actionnariale majoritairement africaine. Suite au succès de sa première levée de fonds d’un million d’euros réalisée entre février et mai 2022 auprès de fonds de capital-risque, la start-up a étendu sa présence en Afrique de l’Ouest, opérant désormais dans plus de 20 pays à travers le continent. Elle bénéficie également d’un solide réseau de partenaires, comprenant plus de 90 entreprises de toutes tailles, 25 écoles et universités, et a tissé des liens étroits avec des diasporas actives.

    Parmi ses clients de renom, le spécialiste africain des RH compte des entreprises multinationales (Orange, EY, Philip Morris, etc.) et des champions nationaux (Petroivoire, Azalaï, etc.)Avec des clients déjà établis au Gabon et au Cameroun, Socium a pour objectif d’étendre sa présence dans l’ensemble de la sous-région. Cette expansion revêt une importance particulière dans une région où les entreprises et leurs employés sont confrontés à des enjeux organisationnels majeurs, notamment en matière de gestion administrative des salaires, des contrats et des validations. En adoptant une approche globale des ressources humaines, la société aspire à simplifier le quotidien des entreprises, tout en facilitant leur capacité à attirer les meilleurs talents locaux et internationaux.

    Samba LO, PDG de Socium, partage son enthousiasme concernant cette expansion en déclarant : « Socium est née de notre vision d’un continent africain dynamique et interconnecté. Notre implantation en Afrique centrale marque une étape majeure dans la concrétisation de cette vision, et nous sommes impatients de continuer à accompagner les entreprises et les talents locaux pour stimuler la croissance et l’innovation. »

    Jordan TCHATO, le nouveau directeur de Socium pour l’Afrique centrale, se réjouit également de cette opportunité en affirmant : « C’est un véritable honneur de rejoindre l’équipe de Socium pour diriger les opérations de l’entreprise en Afrique. Je suis convaincu que notre expertise en matière de recrutement et d’administration du personnel apportera une réelle valeur ajoutée à cette région en plein essor, en aidant les entreprises et les professionnels à exploiter pleinement leur potentiel. »

    L’ouverture du bureau de Douala représente une étape capitale dans la poursuite de l’expansion de l’entreprise en Afrique, illustrant son ferme engagement en faveur de l’autonomisation économique et de la connectivité sur le continent. Socium se positionne comme un fournisseur complet de systèmes d’information pour la gestion des ressources humaines (SIRH), couvrant l’ensemble du cycle des ressources humaines, du recrutement à l’administration du personnel. Les différents modules ont été développés en intégrant les spécificités des marchés locaux, offrant ainsi une solution adaptée aux besoins de chaque entreprise sur le continent africain.

    À propos de Socium :

    Socium est une start-up panafricaine fondée par Samba Lo en 2021, dédiée à la fourniture de solutions innovantes de recrutement et de gestion des ressources humaines. Avec un solide réseau de partenaires et une équipe de professionnels engagés, Socium s’engage à stimuler la croissance des entreprises et à soutenir le développement des carrières professionnelles à travers l’Afrique. Sa solution SIRH complète, qui intègre les spécificités locales, simplifie la gestion des ressources humaines, améliore la productivité et facilite la prise de décision. Pour plus d’informations sur Socium et ses activités, veuillez consulter le lien suivant : https://socium.link/



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