Category: Economie

  • L’assureur sud-africain Hollard International entre au capital du kényan Apa Insurance

    L’assureur sud-africain Hollard International entre au capital du kényan Apa Insurance

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    (Agence Ecofin) – Après son investissement à la mi-octobre dans une insurtech sud-africaine, Hollard International acquiert une part au capital de la compagnie d’assurance kényane Apa Insurance. L’opération renforcera son empreinte en Afrique.

    Le groupe d’assurance privé sud-africain Hollard International a conclu le 31 octobre un accord portant sur l’acquisition d’une part non dévoilée au capital de l’assureur kényan Apa Insurance. La transaction donnera à l’assureur kényan accès à un marché plus vaste et à des opportunités de croissance. Apa Insurance, filiale du groupe est-africain de services financiers Apollo Investments Limited, accueillera Hollard, en tant que 2ème investisseur international lorsque la transaction sera finalisée.

    « En plus d’étendre nos opérations au Kenya, cette entreprise [Hollard International, Ndlr.] nous permettra de renforcer notre présence en Ouganda et en Tanzanie. De plus, cela nous positionne favorablement pour saisir les opportunités sur le marché éthiopien une fois qu’il deviendra accessible », a commenté Ashok Shah, DG de Apollo Investments Limited.

    Il indique aussi que cet accord permettra à Apa Insurance « d’avoir accès à une nouvelle expertise dans des secteurs d’activité tels que l’assurance automobile, l’ingénierie, la marine et d’autres branches d’assurance spécialisées qui ouvriront la voie à un certain nombre d’opportunités commerciales rentables ».

    S’agissant d’Hollard International, la transaction lui permettra d’entrer sur le marché est-africain pour compléter ses opérations existantes en Afrique australe et occidentale. L’assureur, qui a acquis à la mi-octobre une part dans l’insurtech sud-africaine Simply Financial Services, continue d’étendre son empreinte sur le continent. Présent en Namibie, au Mozambique, en Zambie, au Lesotho, au Botswana et au Ghana, il prévoit d’explorer de nouvelles opportunités en Afrique de l’Ouest francophone.

     « Hollard International recherchait un partenaire en Afrique de l’Est depuis un certain temps, et APA Insurance a coché de nombreuses cases : elle a une expérience établie, une proposition de valeur impressionnante avec de solides relations avec les courtiers et les clients. Tous ces éléments nous ont fortement marqués » a déclaré Pravin Kalpagé, DG de Hollard International.

    Chamberline Moko



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  • George Agyekum Donkor (BIDC) : « les banques de développement sont plus utiles en période de crise »

    George Agyekum Donkor (BIDC) : « les banques de développement sont plus utiles en période de crise »

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    (Agence Ecofin) – En pleine mutation, les systèmes financiers africains se situent actuellement à un carrefour déterminant, où la balance oscille entre les méthodes éprouvées et les innovations disruptives. Les banques de développement n’y échappent pas, mieux quand elles sont dans une région frappée ces dernières années pas d’instabilités à facettes multiples : sécurité, politique, social, économie…

    En marge de la 9e édition du Rebranding Africa Forum où il s’est vu décerner le « Prix du Champion du Développement », George Agyekum Donkor, président de la BIDC et de son conseil d’administration, revient pour l’Agence Ecofin sur les enjeux de taille qui façonnent le paysage financier et économique de la sous-région. Renforcement des capacités productives, mobilisation de financements durables, amélioration des infrastructures, intensification du commerce intra, développement des technologies financières… sont autant de leviers cruciaux pour catalyser la croissance économique et l’intégration régionale en Afrique, nous raconte le dirigeant ghanéen. Interview ! 

    Agence Ecofin : Vous avez participé à l’édition 2023 du Rebranding Africa Forum qui cette année était placée sous le thème : « les systèmes financiers africains en mutation, concilier authenticité et modernité : les chemins de l’inclusion financière ». En quoi ce thème est-il pertinent pour la BIDC et quelle importance revêt-il pour vos initiatives ?

    George Agyekum Donkor : L’inclusion financière est indispensable au bien-être économique de nos populations. Elle permet de stimuler la croissance économique et la productivité grâce à la promotion de l’épargne au sein de la population. En effet, l’épargne est un levier de l’entrepreneuriat, de l’innovation et de l’investissement, et contribue à la création d’emplois et à l’amélioration des conditions de vie des populations. Un assainissement de la conjoncture économique mondiale contribuera à terme à une optimisation des opérations de la Banque, dans la mesure où cela réduira la probabilité de survenue de prêts en souffrance (due au non-paiement de ces derniers) et améliorera le profil de risque de la sous-région, et par ricochet, le portefeuille de la Banque, ce qui facilitera son accès aux meilleures ressources qu’elle pourra consacrer aux initiatives de développement.

    Les innovations du secteur financier, telles que les services de paiement par téléphonie mobile et les services bancaires électroniques, ont également joué un rôle majeur dans l’amélioration de l’inclusion financière des populations rurales ou à faible revenu, grâce à un dispositif facilitant l’ouverture de comptes et la réalisation de transactions financières. Cependant, d’après les données statistiques, plus de 350 millions de personnes ne sont toujours pas bancarisées en Afrique, dont la majeure partie réside en Afrique de l’Ouest.

    C’est dans cette optique que la BIDC est enthousiaste à l’idée de soutenir les innovations financières dans la sous-région de la CEDEAO, grâce aux ressources qui seront allouées au secteur financier ainsi qu’aux facilitateurs de la technologie financière, tels que les acteurs du secteur des télécommunications et de l’électricité. Nous sommes convaincus qu’au fil des années, l’innovation financière permettra de réduire considérablement le taux de non-bancarisation dans la sous-région.

    Agence Ecofin : En 2021, la BIDC a lancé la mise en œuvre d’un nouveau plan stratégique. Quels sont les progrès réalisés à ce jour dans l’exécution de ce plan ?

    George Agyekum Donkor : La Banque est en passe de réaliser les objectifs énoncés dans sa Stratégie 2021-2025. En effet, la majorité des objectifs fixés à mi-parcours ont déjà été atteints à fin mars 2023. A titre d’exemple, les taux d’approbation de nouveaux projets et d’engagements étaient respectivement de l’ordre de 77,7 % et de 97,5 %. Les taux de réalisation des décaissements et de la mobilisation de ressources s’élevaient également à 63,9 % et 62,1 %, respectivement, tandis que les objectifs de croissance du portefeuille de prêts et du bilan ont été dépassés de 7 % et 23,1 %.

    Par ailleurs, la Banque intensifie ses activités de financement en faveur des Etats membres, compte tenu des défis posés par les différents soubresauts économiques rencontrés récemment. 

    Enfin, la Banque procède actuellement à une évaluation à mi-parcours de la Stratégie 2025 afin de réajuster certains de ses objectifs, sur la base des résultats enregistrés au cours des deux années et demie écoulées.

    Agence Ecofin : La BIDC entend jouer un rôle significatif dans le développement de l’espace CEDEAO, avec des engagements nets dépassant 3 milliards de dollars. Cependant, la question du développement inclusif reste un défi pour la région. Quelle est votre approche de solution en la matière ?

    George Agyekum Donkor : L’inclusion financière constitue l’une des priorités de la Stratégie 2025 de la BIDC, comme en témoigne l’adoption des dix premiers Objectifs de développement durable (ODD) qui visent la réduction de la pauvreté et des inégalités dans le cadre des interventions de la Banque en faveur des Etats membres. La Banque a déployé des efforts délibérés durant les processus d’évaluation et d’identification des projets pour soutenir les projets menés par les femmes et les jeunes dans toutes les chaînes de valeur, et ce, afin de promouvoir l’inclusion financière.

    Agence Ecofin : La BIDC a procédé l’année passée à une augmentation de son capital autorisé. Quelles sont les raisons qui ont motivé cette décision et quelle est la prochaine mesure que la Banque compte prendre à cet effet ?

    George Agyekum Donkor : La Banque a procédé à une augmentation de son capital autorisé afin d’accroître ses ressources destinées au financement des programmes de développement des Etats membres, sans pour autant compromettre l’effet levier de son bilan. 

    L’augmentation du capital autorisé, en plus d’être une marque de soutien des actionnaires, permettra également à la Banque d’apporter une plus-value à ses clients, en particulier dans un environnement où le coût des financements est élevé, grâce à un mécanisme de prêt axé sur un mixage du nouveau capital et des lignes commerciales existantes afin de réduire le coût des financements à des niveaux inférieurs à ceux du marché.

    A long terme, cela contribuera à une meilleure notation de la Banque et la rendra plus réactive et plus pertinente par rapport aux besoins de ses parties prenantes pour se conformer aux normes de l’industrie.

    Agence Ecofin : Vous avez réussi à mobiliser des fonds auprès de diverses institutions ces dernières années. Quels sont les facteurs clés de cette réussite ?

    George Agyekum Donkor : Nos partenaires ont pris conscience de notre nouvelle orientation stratégique et étaient convaincus que nous étions en mesure de redresser la situation financière de la Banque et de la sous-région. Malgré l’environnement économique difficile créé par la pandémie de Covid-19 et la crise entre l’Ukraine et la Russie, la Banque a toujours honoré ses engagements. Nous avons repris contact avec nos anciens partenaires et fait appel à de nouveaux partenaires qui partagent notre vision pour la sous-région et ont réalisé la bancabilité de notre approche, tout comme notre engagement inébranlable.

    En outre, les performances exceptionnelles enregistrées par la Banque au cours des trois dernières années témoignent de l’efficacité de nos nouvelles initiatives et de l’amélioration des processus mis en place. Nous avons obtenu une meilleure note de Moody’s et de Fitch Ratings, amélioré la qualité de nos actifs et renforcé notre gouvernance.

    Agence Ecofin : En dépit des défis sociopolitiques de la sous-région, notamment des crises et des coups d’Etat, la BIDC a connu une hausse de ses engagements. Quelle est la stratégie opérationnelle qui sous-tend cette résilience ?

    George Agyekum Donkor : Les banques de développement sont plus utiles en période de crise. Nous avons pu accroître nos engagements, car nous avons démontré aux Etats membres que nous pouvions répondre à leurs besoins. Cela explique l’apurement des arriérés de capital par les principaux Etats membres, en dépit de la crise économique actuelle. La disponibilité des ressources (aussi bien des fonds propres que des ressources commerciales) nous a permis d’engager et de déployer ces ressources de façon opportune et rentable. Nous avons élaboré des solutions pour répondre aux besoins de financement des Etats membres en cette période éprouvante.

    Agence Ecofin : Quels sont notamment les défis que votre institution doit relever en raison du climat actuel d’instabilité ?

    George Agyekum Donkor : L’instabilité politique actuelle affecte la Banque sur plusieurs plans. Nous avons dû suspendre les programmes de décaissement dans certains pays en proie à l’instabilité, en raison des sanctions qui leur ont été imposées. En outre, certains remboursements de prêts des pays concernés sont en souffrance pour les mêmes raisons, ce qui a entraîné la classification de ces actifs par les agences de notation comme étant des prêts non performants. De manière générale, l’instabilité politique a détérioré l’environnement économique dans lequel la Banque mène ses opérations, ce qui a eu des incidences négatives sur sa notation de crédit et pourrait, à terme, se répercuter sur le coût de ses financements.

    Agence Ecofin : La BIDC est-elle engagée dans la lutte contre le changement climatique ? Si oui, quelles sont les mesures prises par la Banque pour relever les défis inhérents à cette question ?

    George Agyekum Donkor : Le 10 octobre dernier, la BIDC a organisé une première réunion d’experts dans le cadre de la résilience climatique et du développement vert durable, dénommée « Table ronde du Président ». Cet événement avait pour thème « Rendre l’Afrique de l’Ouest plus verte », et était dédié au financement et à la promotion des programmes et projets de développement durable de la CEDEAO dans divers secteurs, en sus des questions de viabilité environnementale et de résilience climatique qui ont été débattues.

    S’agissant des mesures prises par la Banque, l’objectif 13 des ODD est l’un des objectifs sur lesquels notre plan stratégique s’est aligné. La Banque a pris des mesures résolues pour identifier et financer les projets de lutte contre le changement climatique. A fin mars 2023, le taux d’engagement de la Banque en faveur des énergies renouvelables s’élevait par exemple à 72,1 % de l’objectif de la stratégie 2025. Il s’agit essentiellement des projets de production d’énergie solaire et des projets d’irrigation alimentés par l’énergie solaire dans l’ensemble de la sous-région.

    La Banque a également investi dans des initiatives d’agriculture durable avec des mesures environnementales pour lutter contre le changement climatique, telles que le Projet de développement de l’irrigation dans le bassin du Bani et à Sélingué, dans la région de Djenné, dans la région de Mopti (PDI-BS II) au Mali et le Projet de pôle agro-industriel dans le nord de la Côte d’Ivoire (2 PAI-Nord-CI). Ces projets sont liés aux ODD 1, 2 et 13, qui s’attaquent respectivement à l’éradication de la pauvreté, à la sécurité alimentaire et au changement climatique.  

    Nous sommes déterminés à en faire davantage dans ce domaine dans le cadre de la mise en œuvre de notre Stratégie 2021-2025, d’autant plus que des efforts sont en cours pour obtenir des financements environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

    Agence Ecofin : D’après les statistiques, seulement 3 % des financements climatiques sont destinés à l’Afrique. Le financement climatique reste faible, notamment dans l’espace CEDEAO. Quelles stratégies les banques de développement et d’investissement devraient-elles adopter pour impulser le financement de ce secteur en Afrique ?

    George Agyekum Donkor : La BIDC a publié son premier cadre de financement ESG au premier trimestre de cette année, en vue de promouvoir une croissance résiliente, inclusive et durable dans ses Etats membres. Le coût actuel élevé des financements a mis à mal la mobilisation des ressources à un coût raisonnable, y compris les ressources ESG.

    Toutefois, il est important pour les banques de développement et d’investissement de privilégier cette question dans le cadre de leurs opérations. En outre, ces banques doivent affecter une partie de leurs ressources à la promotion de cette cause, étant donné que le changement climatique est devenu une menace non seulement pour la survie des générations futures, mais également des nôtres.

    Agence Ecofin : Quels sont les secteurs prometteurs que la BIDC et d’autres institutions financières ont identifiés pour leurs investissements futurs ?

    George Agyekum Donkor : Il s’agit bien évidemment des secteurs de la technologie financière, de l’innovation et des ESG. L’innovation est la clé des progrès économiques futurs, mais la Banque ne devrait pas perdre de vue les investissements ESG. En effet, ces derniers ne devraient pas être sacrifiés au profit des divers projets d’innovation. Nous devons plutôt promouvoir des innovations qui mettent en avant les questions ESG. Nous nous emploierons à financer les projets favorisant l’inclusion des femmes et des jeunes dans notre espace économique, tout en accordant une attention particulière aux questions environnementales.

    Agence Ecofin : Les petites et moyennes entreprises (PME) sont souvent considérées comme le moteur d’une économie, en particulier dans les pays en développement. Quelles sont les mesures prises par la BIDC en matière de financement des PME au sein de l’espace CEDEAO ? Quels programmes ou mécanismes spécifiques avez-vous mis en place pour soutenir ces entreprises ?

    George Agyekum Donkor : Les PME constituent l’un des principaux centres d’intérêt de la Stratégie 2021-2025 de la BIDC. La complexité, la taille et le nombre des PME sont tels que les banques de développement qui n’ont pas autant d’agences que les banques commerciales auront du mal à suivre convenablement leurs opérations pour réduire les risques de non-paiement de prêts. La stratégie de la BIDC, et de plusieurs banques de développement à l’instar de la nôtre, consiste à octroyer des prêts aux PME par le biais des banques commerciales locales, qui sont mieux placées pour suivre leurs opérations.

    Cela explique en partie les raisons pour lesquelles les engagements de la BIDC dans le secteur financier ont à fin mars 2023, dépassé de 122 % l’objectif énoncé dans la Stratégie 2025. La Banque continue de donner une suite favorable aux demandes de financement des PME.

    Interview réalisée par Fiacre E. Kakpo



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  • Almouneer lève 3,6 millions $ pour développer sa plateforme de gestion du diabète centrée sur l’Afrique et le Moyen-Orient

    Almouneer lève 3,6 millions $ pour développer sa plateforme de gestion du diabète centrée sur l’Afrique et le Moyen-Orient

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    (Agence Ecofin) – Les fonds mobilisés auprès d’un groupe d’investisseurs sont destinés à financer l’expansion et le développement de sa plateforme Dru, axée spécifiquement sur la gestion et le traitement du diabète.

    Almouneer, une plateforme égyptienne de santé axée sur le traitement de maladies chroniques telles que le diabète, a levé un financement d’amorçage de 3,6 millions $. L’opération, annoncée mardi 31 octobre, a été dirigée par la firme dubaïote de capital-risque Global Ventures.

    Proparco, Digital Africa, Wrightwood Investments et des fonds internationaux y ont pris part. Les capitaux levés permettront à la healthtech, co-fondée en 2017 par Noha Khater (photo, à gauche) et Rania Kadry (photo, à droite), de soutenir le développement et l’expansion de sa plateforme Dru axée sur le traitement du prédiabète, du diabète et de l’obésité en Egypte et dans la zone Afrique et Moyen-Orient.

    Dru améliorera sa technologie pour se connecter à des appareils portables tout en fournissant des traitements en ligne pour des patients. La plateforme de prévention et gestion du diabète développera son écosystème pour recruter davantage de prestataires constitués de médecins, coachs de santé, nutritionnistes. D’ici 2024, Dru se développera à l’échelle régionale et internationale, avec des entrées sur les marchés de l’Arabie saoudite, des Emirats arabes unis et de pays africains, tels que Nigeria et le Kenya.

    « Cette levée de fonds marque une étape importante dans notre parcours. Au cours de l’année écoulée, nous avons agrandi notre équipe et lancé Dru. Cette levée de fonds nous catapultera dans la phase suivante de notre activité, en nous aidant à développer notre équipe, et à investir dans notre technologie », a déclaré Noha Khater, co-fondatrice et directrice générale d’Almouneer.

    En plus de soutenir sa plateforme Dru, Almouneer prévoit d’élargir et améliorer son offre de services en lançant des plans de traitement et de nutrition personnalisés pour des patients atteints de diabète et d’obésité.

    En Afrique et au Moyen-Orient, l’obésité et le diabète touchent plus de 40 % de la population. L’Egypte compte à elle seule 15 millions de diabétiques, dont 20 % d’adultes.

    Chamberline Moko



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  • Norrsken22 lève 205 millions $ pour investir dans des entreprises africaines à fort potentiel de croissance

    Norrsken22 lève 205 millions $ pour investir dans des entreprises africaines à fort potentiel de croissance

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    (Agence Ecofin) – L’opération survient près de deux ans après le premier closing de son fonds ciblant des entreprises leaders dans leurs secteurs d’activités en Afrique.

    Norrsken22, axé sur le financement d’entreprises africaines leaders dans leurs secteurs d’activités, a annoncé ce vendredi 3 novembre, la levée de 205 millions $ lors du closing final de son tout premier fonds d’investissement, Norrsken22 African Tech Growth Fund.

    Près de la moitié du capital levé servira à réaliser des investissements de série A et B, et le montant restant sera réservé à des investissements de suivi, sous forme de série B et C.

    Le fonds de croissance technologique Norrsken22 prévoit d’investir dans une vingtaine de start-up. Il se concentrera sur des fintechs, edtechs, healthtechs et des sociétés capables de générer de solides rendements. L’investissement minimal sera de 10 millions $, avec la possibilité d’atteindre 16 millions $ pour des investissements de suivi.

    Le fonds investira en Afrique, mais ciblera spécifiquement le Nigeria, le Kenya, l’Afrique du Sud et le Ghana. « La valeur que nous apportons est destinée aux entreprises qui cherchent à se développer au-delà de leurs frontières et à créer des sociétés panafricaines et multi-pays », a déclaré Natalie Kolbe, associée directrice chez Norrsken22.

    Dans le cadre de cette levée de fonds, Norrsken22 a été soutenu par un consortium d’investisseurs, parmi lesquels figurent la British International Investment (BII), la Société financière internationale (SFI), la U.S. International Development Finance Corporation (DFC), la Standard Bank et Norfund, qui sont entrés en qualité de nouveaux actionnaires du Norrsken22 African Tech Growth Fund.

    Jusqu’à présent, Norrsken22 a réalisé cinq investissements, respectivement auprès de la néobanque TymeBank, la plateforme de commerce de détail Sabi, la solution de vérification d’identité Smile Identity, la plateforme de financement automobile Autochek et au sein de la plateforme Shara.

    Bien avant cette clôture finale, Norrsken22 avait réalisé le premier closing de son premier fonds d’investissement en janvier 2022.

    Chamberline Moko



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  • Le 5e Next Fintech Forum aura lieu à Abidjan ces 16 et 17 novembre

    Le 5e Next Fintech Forum aura lieu à Abidjan ces 16 et 17 novembre

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    (NEXT FINTECH FORUM) – Le Next Fintech Forum (NFF), le plus grand évènement en Afrique francophone dédié à la Fintech, organise sa 5e édition les 16 et 17 novembre 2023 au Radisson Blu, Abidjan. Cette édition 2023 promet d’être encore plus grandiose, réunissant les acteurs de l’écosystème Fintech d’Afrique Francophone autour du thème central “Fintech et Commerce : Comment la Fintech façonnera le commerce en Afrique Francophone”.

    Next Fintech Forum s’est imposé comme un pilier de la finance digitale en Afrique Francophone. L’événement est une vitrine où convergent banques commerciales, régulateurs, investisseurs, étudiants, courtiers en assurance, organismes de réglementation, chambres de commerce, associations de commerçants, fournisseurs de services de paiement, start-ups, Fintechs etc. Tous se réunissent pour discuter des enjeux et opportunités du secteur, établir des contacts et développer leurs activités.

    La finance inclusive pour tous, y compris les commerçantes du marché.

    Au cœur de la mission du NFF se trouve la promotion de la finance inclusive pour tous, y compris les acteurs du secteur informel, notamment les commerçants de marché. Le forum sert de plateforme pour toutes les branches de la Fintech, mais il est également le lieu de rencontre privilégié pour tous ceux qui façonnent l’écosystème Fintech. Cette année, les associations de petits commerçants sont particulièrement attendues pour découvrir les opportunités offertes par la finance digitale en vue de stimuler leur croissance.

    Fintech Academia Summit, Pôle d’attractivité majeur 

    Une nouveauté marquante de l’édition 2023 est le Fintech Academia Summit, une initiative conçue pour réunir des étudiants africains de divers horizons et des universitaires africains de différentes disciplines, tous passionnés par les services financiers et la technologie. 

    Cet espace d’innovation, de collaboration et d’apprentissage mutuel vise  à : 

    – façonner collectivement et de manière responsable l’avenir financier de l’Afrique, 

    – catalyser la transformation numérique du secteur financier grâce à la recherche, l’éducation et la coopération 

    – développer des programmes d’études adaptés au marché du travail.

    BLOCKCHAIN HACKATHON

    L’autre innovation majeure de cette édition est le Blockchain Hackaton, rassemblant les enthousiastes de la technologie blockchain pour relever le défi de proposer des solutions innovantes avec un potentiel d’implémentation et de financement.

    Des thématiques dédiées aux acteurs du secteur fintech

    Le forum propose également une vingtaine de discussions, ateliers, panels et master classes animés par une cinquantaine de conférenciers de renom, abordant des thématiques dédiées aux professionnels du secteur.

    Le Next Fintech Forum se déroulera du jeudi 16 à 8h au vendredi 17 novembre 2023, avec des billets disponibles à l’achat. ICI

    L’accès est entièrement gratuit pour les étudiants des filières finance, tech etc. (sur présentation de la carte d’étudiant).

    A propos de Africa Fintech Forum

    Africa Fintech Forum est une organisation créée par Alex Sea, expert Fintech et qui vise à promouvoir l’accès à la finance digitale pour tous les acteurs de la chaîne de valeur. Pour plus d’informations, visitez: https://nextfintechforum.com.

    1 forum



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  • L’Egypte émet 500 millions $ d’obligations « Samouraï » à un taux moyen de 1,5%

    L’Egypte émet 500 millions $ d’obligations « Samouraï » à un taux moyen de 1,5%

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    (Agence Ecofin) – La nouvelle incursion du pays le plus peuplé du monde arabe sur le marché japonais de la dette vise à diversifier les sources de financement du pays, dont les besoins en financement extérieur sont estimés à 24 milliards de dollars durant l’exercice fiscal 2023/2024. 

    L’Egypte a émis des obligations Samouraï d’un montant de 500 millions de dollars à un taux moyen très avantageux de 1,5%, a annoncé le ministère égyptien des Finances dans un communiqué publié ce jeudi 2 novembre.

    L’échéance de ces obligations libellées en yen japonais et émises à Tokyo est de cinq ans, a-t-on précisé de même source.

    Cette nouvelle émission de « Samouraï bond » est la troisième du genre après les deux incursions de l’Egypte sur le marché japonais de la dette réalisées en mars 2022 et en août 2023.

    Le pays le plus peuplé du monde arabe avait également émis, le 16 octobre dernier, des obligations durables d’un montant total de 3,5 milliards de yuans (environ 479 millions de dollars) sur le marché chinois à un taux de 3,5%.

    Ces sorties de l’Egypte sur les deux principaux marchés obligataires asiatiques visent à diversifier les sources de financement du pays, dont les besoins en financement extérieur sont estimés à 24 milliards de dollars durant l’exercice fiscal 2023/2024 (juillet-juin), selon les estimations de la banque américaine Morgan Stanley.

    Le Caire a conclu un programme d’aide de 3 milliards de dollars sur 46 mois avec le Fonds monétaire international (FMI) en décembre 2022. Mais la première revue de ce programme, qui était initialement prévue pour mars 2023, n’a pas été achevée, en raison du retard pris par les autorités égyptiennes dans la mise en œuvre de certaines réformes très délicates comme la flexibilité totale du taux de change.

    Lire aussi:

    31/08/2023 – L’Egypte s’apprête à émettre 500 millions $ d’obligations « Samouraï »

    17/10/2023 – L’Egypte émet 479 millions $ d’obligations sur le marché chinois, à un taux très avantageux

    23/05/2023 – Appuyée par la BAD, l’Egypte sur le point d’émettre les premiers Panda Bonds africains sur le marché chinois

    16/02/2023 – L’Egypte va émettre un sukuk souverain de 1,5 milliard $ avant fin février



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  • Maroc : Bank of Africa engage 6,8 millions $ pour soutenir le plan de développement de Dislog Group Health Care

    Maroc : Bank of Africa engage 6,8 millions $ pour soutenir le plan de développement de Dislog Group Health Care

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    (Agence Ecofin) – A travers sa branche Dislog Group Health Care, le marocain Dislog veut accentuer ses opérations dans le secteur de la santé au sein du Royaume. Pour financer ses activités dans ce domaine, il a sollicité et obtenu l’appui financier du groupe bancaire marocain Bank of Africa.

    Le distributeur marocain de produits de grande consommation Dislog Group a procédé, le 27 septembre dernier, à la signature d’un accord de financement de 70 millions de dirhams (6,8 millions $) avec le groupe bancaire marocain Bank of Africa.

    Ce financement servira à soutenir le plan de développement de Dislog Group Health Care, la branche de santé du groupe Dislog. Le distributeur marocain se renforcera ainsi dans le capital des cinq entreprises de santé intégrées dans le portefeuille du Dislog Group Health Care, pour en devenir l’unique actionnaire, détenant 100 % de parts dans ces sociétés.

    « Le secteur de la santé franchira le seuil des 500 millions de dirhams à fin 2023 et nous sommes déterminés à devenir un acteur majeur dans ce secteur. Nous poursuivrons nos investissements dans la santé, avec comme objectif de doubler la taille de nos opérations dans ce secteur dans les mois à venir », a fait savoir Moncef Belkhayat, directeur général de Dislog Group.

    Depuis mars 2022, Dislog Group multiplie les acquisitions dans le secteur pharmaceutique marocain. La dernière opération en date a été l’acquisition d’une part majoritaire au capital du fabricant pharmaceutique de médicaments génériques Steripharma. L’opération a été financée par un prêt obtenu en septembre dernier auprès de la banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    26/09/2023 – Maroc : Dislog Group obtient 37 millions $ de la BERD pour élargir son empreinte dans le secteur pharmaceutique 



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  • L’Afrique du Sud : 90,2 milliards $ d’opportunités pour les investisseurs ciblant la dette des pays émergents

    L’Afrique du Sud : 90,2 milliards $ d’opportunités pour les investisseurs ciblant la dette des pays émergents

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    (Agence Ecofin) – Le gouvernement prévoit d’emprunter 30,07 milliards $ chaque année jusqu’en 2026 pour gérer la dette et les dépenses sociales, face à un déficit de recettes et une hausse du ratio dette/PIB. Cette stratégie financière sera sous la surveillance des investisseurs. 

    En Afrique du Sud, le ministre des Finances, Enoch Godongwana (photo), a souligné lors de son discours sur les perspectives budgétaires à moyen terme que le gouvernement devra emprunter 553 milliards de rands (environ 30,07 milliards de dollars). Cette initiative est destinée à financer non seulement le service de la dette existante, mais également à couvrir les dépenses sociales essentielles au maintien de la cohésion sociale du pays.

    « Notre économie n’a pas affiché une croissance suffisamment vigoureuse pour absorber l’accroissement des dépenses ou pour faire face à nos obligations actuelles de remboursement de la dette […] Les décisions adoptées le sont avec une considération rigoureuse des implications pour la pérennité à court et à long termes de nos finances publiques, et visent à favoriser une croissance à la fois stable et inclusive », a déclaré le ministre devant l’Assemblée nationale, selon des propos relayés par la télévision nationale.

    Confrontée à des obstacles économiques qui persistent, l’Afrique du Sud se trouve dans une situation où les moyens financiers nécessaires à son administration sont restreints. Cette année 2023, le déficit de recettes fiscales est anticipé à 54 milliards de rands et pourrait s’élever à 179 milliards de rands sur les trois prochaines années. Simultanément, le pays doit assumer le remboursement de ses créances qui totalisent 1 300 milliards de rands, représentant 22% des revenus que le gouvernement prévoit de mobiliser sur la même période.

    La tentative du gouvernement de réduire les dépenses publiques n’a pas non plus porté ses fruits. Les économies de 21 milliards de rands annoncées par le ministre des Finances ne constituent qu’une maigre portion du budget global, représentant seulement 1%. De surcroît, une faible productivité, intensifiée par les défis dans le secteur de l’énergie, contribue à une hausse du ratio de la dette sur le produit intérieur brut (PIB).

    Il sera crucial de surveiller la réaction des investisseurs envers l’Afrique du Sud, pays membre du G21 et des BRICS. Avec le statut de l’économie la plus intégrée d’Afrique au réseau financier mondial, le marché financier local est robuste : rien que la capitalisation boursière des entreprises cotées à la Bourse de Johannesbourg atteignait 1 230 milliards de dollars à fin juillet 2023, soit plus de trois fois le PIB du pays (408 milliards de dollars prévus par le FMI pour 2023).

    Ce degré de développement financier autorise l’Afrique du Sud à contracter des emprunts significatifs en monnaie locale. En conséquence, la dette extérieure totale du gouvernement, qui s’élevait à 71,2 milliards de dollars fin juin 2023 avec des échéances plutôt longues, ne constitue que 27,7% de l’ensemble des dettes. Cela confère au pays un profil attractif pour les investisseurs en quête de rendements substantiels, tout en leur imposant un certain niveau de risque.



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  • Cinquante ans de la BOAD : retour sur les évènements clés de 2023

    Cinquante ans de la BOAD : retour sur les évènements clés de 2023

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    (Agence Ecofin) – La Banque Ouest-Africaine de Développement (BOAD) fête cette année son cinquantième anniversaire en novembre, une occasion de revenir sur les temps forts qui ont marqué 2023. Entre les initiatives prises pour stimuler l’économie régionale, les partenariats stratégiques noués et les enjeux adressés dans le domaine du développement durable, retour sur quelques moments clés de l’année 2023.

    17 octobre 2023

    Élection de Serge Ekue comme co-président de l’IFDC

    À Marrakech, en marge des Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI, Serge Ekue, président de la BOAD, est élu co-président de l’International Development Finance Club (IDFC). Ce groupement réunit 26 banques de développement, principalement actives sur les marchés émergents. Le mandat est de deux ans.

     

    11 octobre 2023

    Souscription d’une police d’assurance-crédit

    À Paris, la BOAD, représentée par son président Serge Ekue, signe le contrat d’une police d’assurance-crédit de 278 milliards de FCFA (424 millions d’EUR), qui couvre 11% de son portefeuille global de prêts. Cette démarche s’inscrit dans le Plan stratégique Djoliba visant à améliorer le rating investment grade de l’institution.

     

    4 Octobre 2023

    Atelier sur l’Hydrogène vert dans l’UEMOA

    En collaboration avec le Centre et Réseau des Technologies Climatiques (CTCN), la BOAD organise à Cotonou un atelier pour explorer les potentialités de l’hydrogène vert. L’objectif était de favoriser une croissance économique bas carbone en Afrique.

     

    21 septembre 2023

    Prêt à la SPG Akwaba pour la construction d’un Golden Tulip à Abidjan 

    Un contrat de prêt de 9,2 milliards FCFA est signé entre la BOAD et la Société de Patrimoine et de Gestion AKWABA SA (SPG AKWABA). Ce financement servira à la construction et à l’exploitation d’un hôtel 4 étoiles en Côte d’Ivoire, en alignement avec le Plan DJOLIBA 2021-2025.

     

    21 septembre 2023

    137e session ordinaire du conseil d’administration de la BOAD

    À Abidjan, le conseil d’administration approuve le financement de cinq nouvelles opérations pour 90 milliards FCFA. Ceci porte le total des engagements de la BOAD depuis 1976 à 7 916,3 milliards FCFA.

     

    14 septembre 2023

    Protocole d’accord entre la BOAD et l’APSGI

    La BOAD conclut un accord avec l’Association Professionnelle des Sociétés de Gestion et d’Intermédiation (APSGI). Le partenariat vise à identifier, préparer et évaluer des projets;  structurer conjointement des financements;  développer des offres conjointes de conseil financier; partager des compétences et de bonnes pratiques et  promouvoir des projets visant à lutter contre le changement climatique. 

    29 Août 2023

    La BOAD démarre ses ateliers en marge de son cinquantenaire

    La célébration du cinquantième anniversaire de la BOAD est centrée sur le thème « 2023-2073 : financer le développement autrement ». Une série de dix ateliers en ligne ont démarré. Les conclusions mèneront à l’élaboration d’un document prospectif. Des cérémonies officielles suivront en novembre.

     

    08 Août 2023

    Focus sur l’opérationnalisation des marchés carbone

    Dans un contexte de prise de conscience environnementale, la BOAD s’intéresse à l’opérationnalisation des marchés carbone. Elle envisage même de devenir, à terme, une entité de certification des crédits carbone pour les acteurs de la région de l’UEMOA.

     

    03 Août 2023

    Partenariat avec INTELSAT 

    Un accord-cadre est signé entre la BOAD et Intelsat avec pour objectif de fournir une connectivité Internet haut débit aux communautés rurales mal desservies dans la zone de l’UEMOA. Ce partenariat vise à accélérer la transformation numérique des États membres.

     

    17 Juillet 2023

    Police d’assurance-crédit 

    La BOAD annonce avoir souscrit une police d’assurance-crédit d’un montant de 278 milliards de FCFA auprès d’un pool de neuf assureurs privés européens. Cette démarche vise à améliorer la notation moyenne de son portefeuille global de prêts et à exercer une influence positive sur son propre rating investment grade.

     

    10-13 Juillet 2023

    Ré-accréditation auprès du Fonds vert pour le climat

    Au cours de la 36ème réunion de son Conseil d’Administration, le Fonds vert pour le climat procède à la ré-accréditation de la BOAD. Celle-ci bénéficie en outre d’un rehaussement du niveau de cette ré-accréditation, lui permettant de mobiliser divers moyens de financement pour la lutte contre le changement climatique dans la région de l’UEMOA.

     

    26 Juin 2023

    136e Conseil d’Administration à Niamey

    Le 136e Conseil d’Administration de la BOAD approuve 11 nouvelles opérations financières, portant son engagement total à 7 835,02 milliards FCFA depuis sa création en 1976. Cette réunion à Niamey marque un moment clé, témoignant de la vitalité institutionnelle et de la volonté de contribuer activement au développement régional.

     

    8 Juin 2023

    Coopération avec Côte d’Ivoire Innovation 20 à Abidjan

    La BOAD et Côte d’Ivoire Innovation 20 (Ci20) signent un accord-cadre en matière de transformation numérique à Abidjan. Ce partenariat stratégique vise à mutualiser les ressources et les compétences pour accélérer la digitalisation et favoriser l’innovation technologique en Côte d’Ivoire.

     

    7 Juin 2023

    Accord avec Smart Africa 

    La BOAD et Smart Africa concluent un accord visant à impulser la transformation numérique en Afrique de l’Ouest. Ce partenariat renforce l’écosystème technologique de la région, en cherchant à créer des synergies entre les différentes initiatives en cours.

     

    26 Mai 2023

    Incitations pour les CDN 

    La BOAD lance des initiatives législatives pour encourager les investissements privés dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Cette action vise à aligner les investissements sur les Contributions Déterminées au Niveau National (CDN) en matière de changement climatique.

     

    26 Mai 2023

    Engagement Environnemental

    La BOAD recrute des experts en environnement et souligne son engagement pour la durabilité. Cette démarche vise à intégrer de manière plus systématique les considérations environnementales dans les projets et les opérations financières de l’institution.

     

    25 Mai 2023

    Partenariat avec Africa 50 

    La BOAD et Africa 50 annoncent un partenariat pour cofinancer des projets d’infrastructure en Afrique. Cet accord cible des domaines clés tels que l’énergie, le transport et les services publics, et aspire à mobiliser des capitaux pour accélérer le développement.

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    16 Mai 2023

    Conférence sur la Finance Climatique 

    Lors d’une conférence, la BOAD annonce qu’elle consacrera 25% de ses engagements financiers à des projets liés au climat, soit environ 825 milliards de FCFA. Cette décision vise à aligner les activités de la BOAD avec les objectifs globaux de lutte contre le changement climatique.

     

    11 Mai 2023

    Soutien au Projet PAIPV en Guinée Bissau

    La BOAD octroie un financement de 5 milliards de FCFA au Projet d’Appui à l’Intensification de la Production Vivrière (PAIPV) en Guinée Bissau. Elle remet également neuf véhicules pour faciliter la mise en œuvre du projet, démontrant ainsi son engagement envers l’agriculture durable.

     

    11 Mai 2023

    Participation aux BRVM Awards à Lomé

    Le Vice-Président Finance & Investissement de la BOAD intervient lors des BRVM Awards à Lomé. Son discours met en exergue les mécanismes financiers innovants que la BOAD utilise pour stimuler la croissance économique régionale et attirer des investissements.

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    8 Mai 2023

    135e Conseil d’Administration 

    Le Conseil d’Administration approuve 12 nouvelles opérations financières pour un total de 173,38 milliards de FCFA lors de sa 135e session. Cela marque une étape supplémentaire dans le renforcement des activités de la BOAD depuis sa création.

     

    5 Mai 2023

    Amélioration de la Note par Fitch

    Fitch Ratings confirme la note BBB de la BOAD et augmente sa notation intrinsèque. Cette reconnaissance souligne la robustesse financière de l’institution et les progrès accomplis dans la mise en œuvre de sa stratégie à moyen et long terme.

     

    2 Mai 2023

    Opération de Titrisation Réussie 

    La BOAD Titrisation clôture avec succès une opération de financement de 150 milliards de francs CFA. L’opération démontre l’intérêt croissant des investisseurs pour le financement des secteurs prioritaires en Afrique de l’Ouest et consolide la place de la BOAD comme acteur financier clé dans la région.

     

    12 avril 2023

    Coopération inter-régionale entre la BOAD et DBSA 

    Une délégation de la BOAD rencontre la nouvelle Directrice Générale de la DBSA, Mme Boitumelo Mosako, pour activer un accord de coopération signé en novembre 2022. Les domaines d’engagement incluent l’harmonisation des politiques climatiques, le renforcement des capacités et le cofinancement de projets dans la zone UEMOA.

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    31 mars 2023

    Résultat net bénéficiaire de la BOAD pour l’année 2022

    La BOAD annonce un résultat net bénéficiaire de 33,682 milliards de FCFA pour l’exercice clos le 31 décembre 2022, marquant une augmentation de 9,27% par rapport à l’année précédente. Ce résultat renforcera les fonds propres de l’institution.

     

    31 mars 2023

    Augmentation du capital de la BOAD

    La BOAD confirme la première phase de son programme d’augmentation de capital. Le capital social de la banque passe de 1 155 milliards de FCFA à 1 709 milliards de FCFA, une augmentation de 48%, renforçant ainsi sa capacité à mobiliser des fonds et à octroyer des prêts supplémentaires.

     

    28 mars 2023

    134e session ordinaire du conseil d’administration de la BOAD 

    Le Conseil d’Administration autorise de nouveaux engagements financiers pour un montant total de 242 milliards de FCFA. Cette session, la première de l’année du cinquantenaire de la BOAD, démontre la continuité de l’institution dans son rôle de moteur du développement régional.

     

    20 mars 2023

    Annonce d’une opération de titrisation de 150 milliards FCFA par BOAD TITRISATION

    BOAD TITRISATION lance une émission de 150 milliards de FCFA pour financer en partie le plan «Djoliba». Ce plan identifie cinq domaines prioritaires : Infrastructure, Agriculture et Sécurité alimentaire, Énergie, Santé et Éducation, et Immobilier.

     

    13 mars 2023

    Adhésion à la Coalition Finance in Common sur le genre à Lomé

    La BOAD rejoint la Coalition Finance en Commun, qui est coprésidée par UN Women et la Banque Africaine de Développement. L’institution s’engage à lutter contre les inégalités de genre et à favoriser l’autonomisation des femmes et des filles.

     

    8 mars 2023

    Célébration de la Journée internationale des Droits des femmes

    À l’occasion de la Journée internationale des Droits des femmes, la BOAD met en lumière l’importance de l’égalité des genres et de l’autonomisation des femmes dans son action quotidienne.

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    13 février 2023

    La BOAD et Capital of Africa boucle un financement de 60 milliards FCFA pour la PETROCI 

    À Lomé, la BOAD et CAPITAL OF AFRICA annoncent avoir bouclé avec succès un financement de 60 milliards FCFA en faveur de la Société Nationale d’Opérations Pétrolières de Côte d’Ivoire (PETROCI). Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un Programme d’Investissements Prioritaires en Côte d’Ivoire, avec la participation notable de la BOAD et d’autres partenaires financiers.

     

    1er février 2023

    Atelier sur les Technologies Climatiques avec le CRTC

    Un atelier de concertation est organisé par la BOAD et le Centre et Réseau des Technologies Climatiques (CRTC) du 1er au 3 février 2023 à Lomé. Cet événement prolonge l’initiative FOAFARCC, visant à renforcer la résilience des pays membres de l’UEMOA face aux défis climatiques.

     

    26 janvier 2023

    Participation au Sommet Dakar 2 Feed Africa

    Le président de la BOAD, M. Serge EKUE, intervient lors du panel du Sommet Dakar 2 Feed Africa. Il y aborde la question du développement de partenariats multilatéraux et du financement dans le secteur du développement agricole.

     

    19 janvier 2023

    Partenariat avec l’OIF pour la Transformation Numérique

    La BOAD et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) annoncent un partenariat pour le projet « D-CLIC – Formez-vous au numérique ». Ce projet cible le renforcement des compétences numériques des populations les plus vulnérables et l’appui aux politiques numériques des États membres.

     

    16 janvier 2023

    Stratégie Numérique dans la zone UEMOA

    La BOAD présente son plan stratégique DJOLIBA, qui vise à renforcer son rôle dans le développement du secteur des TIC dans l’espace UEMOA, un domaine identifié comme prioritaire pour l’institution.

     

    10 janvier 2023

    Collaboration Réussie avec Ecobank Development Corporation en Côte d’Ivoire

    La BOAD et Ecobank Development Corporation (EDC) finalisent un arrangement financier d’une valeur de 70,1 milliards FCFA. Ce montant est destiné à soutenir la quatrième phase de la plateforme de Vidéo-Protection Urbaine (VPU) en Côte d’Ivoire.

     



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  • La BCEAO organise un webinaire pour présenter son futur système de paiement instantané destiné aux Etats de l’UEMOA

    La BCEAO organise un webinaire pour présenter son futur système de paiement instantané destiné aux Etats de l’UEMOA

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    (Agence Ecofin) – L’organe d’émission des Etats d’Afrique occidentale souhaite par-là révolutionner et alléger le domaine des paiements sous-régionaux pour les diverses populations, de quoi dynamiser les flux financiers.

    La Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest planche sur un projet de système de paiement instantané pour les populations des pays membres de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine.

    Le but est de disposer d’une plateforme interopérable et opérationnelle 24/7 pour traiter tous les types de transactions financières dans la sous-région, quel que soit le type de compte utilisé.

    L’institution sous-régionale a déjà commencé à mobiliser des développeurs d’applications « qui souhaitent intégrer une solution de paiement à leurs produits », pour prendre connaissance du projet lors d’un webinaire de présentation prévu pour le 16 novembre 2023. Le fonctionnement détaillé du futur système de paiement sera notamment présenté, annonce TogoFirst.

    Cette nouvelle vient marquer l’intérêt croissant pour les technologies dans le développement de solutions financières inclusives dans l’UEMOA. La BCEAO a notamment affirmé vouloir renforcer le suivi des fintechs dans cet espace communautaire.



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