Category: Economie

  • Le cabinet Gauvin & Raji – Avocats s’implante en République Démocratique du Congo

    Le cabinet Gauvin & Raji – Avocats s’implante en République Démocratique du Congo

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    (GAUVIN & RAJI – AVOCATS) – Le cabinet d’avocats franco-marocain Gauvin & Raji |Avocats ouvre un bureau en République Démocratique du Congo. Le spécialiste du secteur bancaire et financier, déjà implanté à Paris et à Casablanca, se renforce ainsi pour mieux servir ses clients sur l’axe Europe Maghreb Afrique Subsaharienne.

    Créé en 2022 par les avocats Alain Gauvin et Kawtar Raji-Briand, le cabinet Gauvin & Raji | Avocats est l’une des références du conseil en droit bancaire, financier et assurances. Après Paris et Casablanca, le binôme a décidé de créer un bureau à Kinshasa avec pour objectif de rayonner sur l’ensemble de la région. Dans cette zone et plus spécifiquement en RDC, Gauvin & Raji | Avocats s’appuiera sur son expertise dont profitent, depuis plus de 20 ans, ses clients publics et privés.

    Ainsi, par la création de ce bureau, les deux associés ont l’ambition de satisfaire trois types de besoins des opérateurs publics et privés de la région :

    • Assister les banques et organismes financiers pour assurer la conformité de leurs activités à la réglementation bancaire et financière ; les conseiller dans la création de fonds d’investissement, la structuration d’opérations de titrisation et d’instruments financiers innovants (optimisation des fonds propres, couverture contre les risques de crédit, etc.) ; les accompagner dans la négociation et la rédaction de leurs contrats de financement et de refinancement ;
    • Apporter à l’Etat, aux autorités administratives et agences de développement étatiques ou multilatérales l’appui juridique dont ils ont besoin et les conseiller dans le cadre de la rédaction et la mise en œuvre de réformes pour contribuer au renforcement du secteur bancaire et financier et à l’amélioration du climat des affaires ;
    • Accompagner les entreprises minières, qu’elles soient congolaises ou étrangères, dans la mise en œuvre de leurs projets en conformité avec la réglementation, notamment, en termes de sous-traitance et d’ESG (environnemental, social et gouvernance) ; participer à la rédaction et à la négociation de partenariats d’exploitation de sites miniers et de contrats d’acquisition d’actifs miniers.

    Avec l’ouverture de ce bureau à Kinshasa, Gauvin & Raji | Avocats entend participer au rayonnement de la RDC comme acteur clé du commerce intra-africain. De façon plus générale, les deux associés souhaitent que ce troisième bureau contribue au renforcement des relations entre l’Afrique et l’Europe.

    Kawtar Raji-Briand rappelle en effet que « l’avenir euro-africain est à l’origine de la création de notre cabinet et nous pensons pouvoir contribuer à la qualité des relations entre les deux continents par notre installation en RDC, en plus de notre présence au Maroc et en France. Pour nous, l’axe Europe-Afrique ne doit pas se limiter aux projets d’acteurs européens en RDC, mais permettre aussi aux entrepreneurs congolais et plus généralement africains de réaliser des projets en Europe. »



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  • Afrique du Sud : FirstRand Bank obtient un prêt de 150 millions $ de la SFI pour financer des PME

    Afrique du Sud : FirstRand Bank obtient un prêt de 150 millions $ de la SFI pour financer des PME

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    (Agence Ecofin) – En attente depuis septembre 2022, le financement finalement a été approuvé par le conseil d’administration de la Société financière internationale.

    La banque sud-africaine FirstRand Bank Limited (FRB) a conclu avec la Société financière internationale (SFI) un accord de prêt d’un montant de 150 millions $. La transaction a été annoncée ce jeudi 26 octobre par la SFI.

    Le financement qui sera octroyé en monnaie locale vise à soutenir les prêts de la FirstRand Bank aux petites et moyennes entreprises (PME) du secteur agricole, des services, du commerce, de la construction et d’autres secteurs. La filiale du groupe financier FirstRand Group octroiera des crédits en rands sud-africains, compris entre 10 000 et 2 millions $, pour soutenir la croissance et le développement des entreprises sur de nouveaux marchés. 25 % de ce prêt sera consacré au soutien d’entreprises appartenant à des femmes.

    « Cette transaction octroiera à FirstRand Bank une capacité supplémentaire pour fournir, à des petites entreprises qui ne disposent pas de réserves de capital importantes ni d’autres tampons pour résister au stress, des solutions de financement innovantes pour soutenir leur croissance », a déclaré Andries du Toit, trésorier du groupe FirstRand.

    Il faut souligner que ce financement octroyé à la FirstRand Bank Limited était en attente d’approbation par le conseil d’administration de la SFI depuis septembre 2022.

    Chamberline Moko



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  • Cameroun : la BAD accorde un prêt de 203 millions € pour l’aménagement territorial et la promotion du secteur privé dans l’Extrême-Nord

    Cameroun : la BAD accorde un prêt de 203 millions € pour l’aménagement territorial et la promotion du secteur privé dans l’Extrême-Nord

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    (BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT) – Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement a approuvé, le 25 octobre 2023 à Abidjan, un prêt de 203,11 millions d’euros au Cameroun. L’appui financier est destiné à mettre en œuvre le Projet d’aménagement territorial et de promotion du secteur privé de la région de l’Extrême-Nord du pays.

    L’Union européenne, partenaire stratégique de la Banque, soutient à travers un don du EU-Africa Infrastructure Trust Fund, à hauteur de 30 millions euros, le projet, dont l’objectif est de contribuer à l’aménagement du territoire, à l’amélioration du système de transport et à la promotion du secteur privé en vue de l’émergence d’un pôle de développement intégré et durable dans la région.

    « Cette opération, par son caractère intégrateur, servira d’élément catalyseur à la mise en œuvre de plusieurs autres projets, notamment, dans les secteurs de l’agriculture et de l’agro-industrie, de l’eau et l’assainissement ainsi que la promotion du capital humain, a déclaré Serge N’Guessan, directeur général Afrique centrale et représentant pays de la Banque africaine de développement au Cameroun. Elle constitue véritablement une des réponses efficaces à la marginalisation socio-économique dont cette région, la plus pauvre du Cameroun, souffre depuis plusieurs années, et qui justifie l’option prise par la Banque, en concertation avec le gouvernement, d’y concentrer ses actions. » 

    Plusieurs travaux d’infrastructures sont prévus dans le cadre du projet et des activités d’appui à la résilience et à la vulnérabilité. Il s’agit notamment (i) de la réhabilitation des tronçons routiers entre Moutourwa et Maroua, long de 36 kilomètres, sur la route nationale n°1, et entre Magada et Yagoua (137 kilomètres), sur la route nationale n°12 ; ainsi que (ii) des aménagements socio-économiques susceptibles de contribuer à apporter une réponse aux divers problématiques sociales auxquelles les populations de la zone Est font face. Les spécifications techniques relatives auxdits travaux prendront en compte les mesures de résilience face aux changements climatiques.

    En outre, le projet permettra de valoriser les infrastructures routières à réhabiliter ou à construire dans sa zone d’intervention, en favorisant l’implication du secteur privé pour contribuer à la réalisation des objectifs de développement. Ces activités de promotion du secteur soutiendront en particulier le développement des chaînes de valeur agricoles à fort potentiel de croissance et de transformation industrielle pour créer de la valeur ajoutée le long des corridors routiers concernés dans les spéculations suivantes : mil, sorgho, anacarde, oignon, riz, maïs, tomate, pomme de terre, arachide, fruits ainsi que les petits et gros ruminants.

    À terme, le projet bénéficiera à toute la population de la région de l’Extrême-Nord du Cameroun et, de façon spécifique, aux groupements de producteurs et autres acteurs du secteur privé. Les bénéficiaires indirects sont les populations de la région du Lac Tchad et celles des zones frontalières avec le Nigeria et le Tchad.

    Le 1er juin 2023, le portefeuille actif du Groupe de la Banque africaine de développement au Cameroun s’élevait à 2,12 milliards de dollars américains.



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  • Burundi : la Banque de Crédit de Bujumbura sollicite un prêt de 20 millions $ auprès de la SFI pour le prêt aux PME

    Burundi : la Banque de Crédit de Bujumbura sollicite un prêt de 20 millions $ auprès de la SFI pour le prêt aux PME

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    (Agence Ecofin) – Le projet, en attente d’approbation, vise à appuyer les opérations de prêt de la Banque aux micro, petites et moyennes entreprises burundaises. L’institution financière ayant pour premier actionnaire la Bank of Africa est exposée aux PME de commerce, de service, d’hôtellerie et des travaux publics.

    Banque de Crédit de Bujumbura (BCB), la troisième plus grande banque du Burundi avec un actif total de 333 millions $ au 30 juin dernier, a sollicité la Société financière internationale (SFI) dans l’optique d’obtenir un prêt de 20 millions $, dont 10 millions $ provenant du compte propre de la SFI et 10 millions $ mobilisés auprès de partenaires.

    Dans une note de projet publiée mardi 24 octobre, l’institution membre du groupe de la Banque mondiale précise que ce financement en attente d’approbation s’étalera sur une période de trois ans (maturité), avec un délai de grâce d’un an. Il sera accompagné d’une facilité de financement du commerce pouvant atteindre 5 millions $ et permettra à la BCB d’accroître ses prêts aux micro, petites et moyennes entreprises (MPME) burundaises, ainsi qu’à des entreprises d’import-export.

    La banque burundaise, qui a pour premier actionnaire le groupe bancaire marocain Bank of Africa avec 24,2% de parts, renforcera ainsi son activité de prêts aux PME locales. Le portefeuille PME de la banque comprend une exposition aux entreprises de commerce, de services, de transformation de bois, ainsi qu’à des sociétés hôtelières, de restauration, et des entreprises de construction et travaux publics.

    Au-delà du financement, la Banque de Crédit de Bujumbura pourrait bénéficier d’un programme de conseil qui lui permettra de mettre en œuvre sa stratégie MPME, notamment en matière de finance de genre et sa stratégie de finance numérique. Opérationnelle depuis 1964, la BCB est membre du réseau Bank of Africa depuis 2008.

    Dans un rapport de novembre 2022, co-produit avec la Banque mondiale et intitulé « Diagnostic du secteur privé du Burundi », la SFI préconise de faciliter l’accès aux financements en faveur des PME, ainsi que le développement de services financiers, pour ainsi renforcer l’infrastructure de crédit dans le pays et accélérer la croissance économique du pays.

    Chamberline Moko



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  • Egypte : Banque Misr cède la totalité de ses parts détenues au capital de la société sidérurgique Al Ezz Dekheila Steel

    Egypte : Banque Misr cède la totalité de ses parts détenues au capital de la société sidérurgique Al Ezz Dekheila Steel

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    (Agence Ecofin) – Actionnaire minoritaire d’Al Ezz Dekheila Steel via des parts détenues par la banque publique Banque Misr, l’Etat égyptien a demandé à être payé en devises fortes et en livres égyptiennes.

    Banque Misr, la deuxième plus grande banque du secteur public égyptien a vendu la totalité des actions qu’elle détenait au capital de la société Al Ezz Dekheila Steel, spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de produits d’aciers.

    Selon des médias qui rapportent cette information, la part minoritaire que détenait la Banque Misr a été cédée pour environ 534,20 millions de livres égyptiennes (17,3 millions $). La grande partie de la vente s’est effectuée en devises fortes (dollars), selon Akef Al-Maghraby, vice-président de la Banque Misr. L’identité de l’acquéreur n’a pas été dévoilée.

    Cette sortie de la Banque Misr au capital d’Al Ezz Dekheila Steel relève de la volonté du gouvernement égyptien de se retirer de certaines entreprises pour les confier à des acteurs du secteur privé, a confié Mohamed El-Etreby, président de la Banque Misr.

    Il faut dire que l’Etat égyptien détenait indirectement près de 32,9 % de parts au capital d’Al Ezz Dekheila Steel. Ses actions étaient réparties entre la Banque Misr, la National Bank of Egypt (NBE) et la National Investment Bank (NIB). Sans doute qu’après la Banque Misr, ces deux autres établissements financiers cèderont à leur tour les actions qu’ils détiennent au sein de cette entreprise contrôlée majoritairement (64%) par le groupe Al-Ezz Steel, fabricant égyptien d’acier.

    En juillet dernier, le gouvernement égyptien annonçait la vente de la totalité de sa participation dans l’entreprise Al Ezz Dekheila Steel Company. Hala El Said, ministre du Plan et du Développement économique avait confié à cette période que les parts de l’Etat seraient vendues au secteur privé local, pour un montant payé en dollars, ceci pour permettre à l’Etat d’obtenir des ressources en devises fortes, mais aussi en livres égyptiennes.

    Chamberline Moko



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  • Market Days de l’Africa Investment Forum 2023 : le compte à rebours a commencé

    Market Days de l’Africa Investment Forum 2023 : le compte à rebours a commencé

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    Les Market Days de l’Africa Investment Forum auront lieu dans moins de trois semaines.

    Du 8 au 10 novembre, des investisseurs pesant leur poids d’or afflueront au Palais des Congrès de Marrakech, au Maroc, pour participer à la place de marché de l’investissement numéro un en Afrique. Cette année, l’accent sera mis sur « Débloquer les chaînes de valeur de l’Afrique ».

    L’Africa Investment Forum joue un rôle essentiel pour attirer les investissements directs nationaux et étrangers en Afrique. Cette plateforme multipartite et multidisciplinaire fait avancer les projets vers des …

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  • Guinée : la qualité du portefeuille du secteur bancaire s’est améliorée au deuxième trimestre 2023 (Banque centrale)

    Guinée : la qualité du portefeuille du secteur bancaire s’est améliorée au deuxième trimestre 2023 (Banque centrale)

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    (Agence Ecofin) – Les banques ont notamment augmenté leurs provisions pour se prémunir contre des créances douteuses.

    En Guinée Conakry, la qualité du portefeuille de l’ensemble des banques s’est améliorée à fin juin 2023. Cette bonne santé du système bancaire guinéen résulte de la baisse à près de 7 % des créances compromises au cours du deuxième trimestre 2023.

    Déjà à fin mars 2023, ces créances étaient en baisse de 10,7%. Selon le rapport sur la politique monétaire du deuxième trimestre 2023 publié lundi 23 octobre par la Banque centrale de la République de Guinée, les banques ont pris des mesures pour couvrir ces créances compromises. Elles ont constitué des provisions qui se sont élevées à 940 milliards de francs guinéens (109 millions $) à fin juin 2023, soit une couverture de 83 %. « Ce niveau de provision est supérieur aux niveaux constitués au deuxième trimestre 2022 (65%) et au premier trimestre 2023 (80,5 %) », commente la Banque centrale dans son rapport.

    Au-delà de la qualité de leurs portefeuilles, les banques guinéennes ont enregistré une hausse des crédits octroyés et des dépôts collectés. A fin juin 2023, l’encours global des crédits octroyés par les banques s’est chiffré à 16 371,7 milliards de francs guinéens, en hausse de 29,8 % en glissement annuel. Cette hausse s’explique par l’accroissement de 40,6 % des crédits à court terme, de 15,8 % des crédits à moyen terme, ainsi qu’une hausse de 26,7 % des crédits à long terme. Les entreprises (grandes entreprises et petites et moyennes entreprises) ont concentré 72,8 du total des crédits accordés, les particuliers et les professionnels ont bénéficié de 24,6 % principalement sous forme de crédit à la consommation, et les crédits à l’économie ont atteint 2,6 % du montant global des prêts.

    S’agissant des dépôts collectés par les banques, ils se sont accrus de 25,3 %, pour atteindre 37 713,2 milliards de francs guinéens, à fin juin 2023. Les dépôts à vue qui représentent 2/3 des dépôts bancaires collectés ont contribué à 17,7 points de pourcentage au total des dépôts. Les dépôts à terme se sont accrus de 40,8 % en glissement annuel, pour atteindre 6 000 milliards de francs guinéens, à fin juin 2023.

    Chamberline Moko



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  • BluePeak annonce le closing final à 156 millions $ de son premier fonds de capital privé ciblant des PME africaines

    BluePeak annonce le closing final à 156 millions $ de son premier fonds de capital privé ciblant des PME africaines

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    (Agence Ecofin) – Deux ans après sa première clôture, le fonds BluePeak Private Capital attire deux nouveaux investisseurs et obtient des ressources supplémentaires nécessaires pour financer des entreprises africaines à fort potentiel de croissance.

    La société d’investissement axée sur l’Afrique, BluePeak, a annoncé ce mardi 24 octobre, la clôture finale à 156 millions $ de son premier fonds de capital privé dénommé BluePeak Private Capital Fund.

    Ce financement levé sera utilisé pour soutenir les petites et moyennes entreprises (PME) à fort potentiel de croissance. Le véhicule domicilié au Luxembourg réalisera au moins huit investissements, via des prises de participations comprises entre 8 et 25 millions $.

    Ce closing final a été réalisé grâce à l’entrée de deux nouveaux investisseurs dans le tour de table de BluePeak Private Capital Fund. Il s’agit de la Banque africaine de développement (BAD) et de Sango Capital. Alors que la BAD a investi 11 millions $ dans le fonds BluePeak, la société de gestion d’investissement Sango Capital n’a pas dévoilé le montant engagé dans ce véhicule. Ces deux actionnaires ont rejoint un groupe d’investisseurs ayant engagé des fonds dans BluePeak Private Capital Fund lors de son premier closing en septembre 2021.

    Au cours de cette première clôture survenue il y a deux ans, BluePeak avait levé 115 millions $. Cette ressource a permis de constituer un portefeuille de six entreprises opérant dans plus de trente pays à travers l’Afrique, et dans une diversité de secteurs d’activités.

    Malgré les difficultés à attirer des capitaux, BluePeak, créée il y a quatre ans, estime avoir reçu le soutien financier nécessaire pour contribuer à combler le déficit de financement des PME africaines, estimé à 421 milliards $. Le gestionnaire d’actifs alternatifs travaillera à stimuler la croissance et le développement d’entreprises ciblées par ses opérations d’investissement.

    « La difficulté à obtenir des capitaux pour des entreprises ambitieuses a longtemps freiné leur développement financier et leurs impacts économiques et sociaux positifs. Nous sommes honorés d’avoir obtenu le soutien d’un groupe d’investisseurs pour répondre aux besoins évolutifs de ces entreprises », a déclaré Walid Cherif, co-fondateur et associé directeur de BluePeak.

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    28/09/2021 – BluePeak annonce la clôture initiale à 115 millions $ de son fonds centré sur les PME en Afrique 



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  • Dr. George Agyekum Donkor distingué en tant que « Champion du développement »

    Dr. George Agyekum Donkor distingué en tant que « Champion du développement »

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    (BIDC – EBID) – Le Président de la BIDC et de son Conseil d’administration, Dr George Agyekum Donkor, a reçu le ” Prix du Champion du Développement “ lors de la 9ème édition du Rebranding Africa Forum qui vient de s’achever à Bruxelles, en Belgique. L’événement, qui s’est tenu du 20 au 21 octobre 2023, a rassemblé des hauts fonctionnaires et des chefs d’entreprise internationaux pour discuter du développement extraordinaire des systèmes financiers africains au cours des vingt dernières années.

    Le prix a été décerné en reconnaissance de la contribution du Dr Donkor au développement socio-économique, en particulier les initiatives entreprises par la BIDC sous sa direction. Avec le Dr Donkor à la barre, la Banque a déployé environ 1,5 milliard de dollars US dans divers projets et programmes dans des secteurs clés, tels que la santé, l’énergie, la technologie et l’éducation, à travers la sous-région depuis 2020. Le marché a réagi positivement aux récentes réalisations de la BIDC, ce qui a permis à la Banque de mobiliser avec succès plus d’un milliard de dollars de ressources et d’augmenter son capital de 1,5 milliard de dollars à 3,5 milliards de dollars.

    Au cours de l’évènement, le Dr Donkor a prononcé une allocution sur le thème de l’évolution des systèmes financiers africains : Les systèmes financiers africains en mutation – concilier authenticité et modernité : Les chemins de l’inclusion financière “. Il a souligné que pour parvenir à une inclusion financière complète en Afrique, il fallait harmoniser les systèmes financiers traditionnels avec des approches contemporaines afin d’atteindre les communautés mal desservies. Il a appelé à l’adoption d’une approche à multiples facettes fondée sur la collaboration, l’innovation et la technologie en tant qu’éléments clés. En conclusion, il a exhorté les gouvernements, les institutions financières et les partenaires de développement à renforcer leur collaboration afin de créer un environnement plus propice à l’inclusion financière sur l’ensemble du continent.

    La cérémonie prestigieuse s’est déroulée en présence de dignitaires de haut niveau, dont Son Excellence Julius Maada Bio, Président de la République de Sierra Leone, l’Honorable André Flahaut, Ministre d’État du Royaume de Belgique, et M. Hani Salem Sonbol, PDG de la Société internationale islamique de financement du commerce (SIFC).



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  • Dakar va accueillir du 16 au 18 novembre 2023 le 1er Forum des hommes d’affaires de l’UEMOA

    Dakar va accueillir du 16 au 18 novembre 2023 le 1er Forum des hommes d’affaires de l’UEMOA

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    (Agence Ecofin) – Dakar s’apprête à accueillir la première édition du Forum des hommes d’affaires de l’UEMOA, visant à booster la compétitivité du secteur privé, principal vecteur de croissance et d’intégration économique durables.

    La capitale sénégalaise, Dakar, sera l’hôte du premier Forum des Hommes d’Affaires de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) du 16 au 18 novembre prochains. Selon la Commission de l’UEMOA, qui l’organise, cette initiative vise à renforcer la compétitivité et la performance du secteur privé, le positionnant comme un moteur de croissance et d’intégration économique durables dans la région.

    Le forum se veut être une plateforme propice pour offrir des opportunités de coopération et de partenariat, discuter du cadre juridique et institutionnel, formuler des propositions concrètes pour améliorer l’accès aux marchés et promouvoir la culture de la qualité. Les activités s’articuleront autour d’une conférence inaugurale, ateliers thématiques, rencontres B2B, expositions et la réunion du jury de l’édition 2023 du Prix UEMOA de la qualité.

    En prélude à cet événement d’envergure, la Commission de l’UEMOA a organisé une réunion virtuelle le 19 octobre dernier pour informer et mobiliser les acteurs clés du secteur privé. La réunion a été présidée par Paul Koffi, commissaire en charge du département du développement de l’Entreprise, des Mines, de l’Energie et de l’Economie numérique, avec la participation à distance de Daouda Coulibaly, président de la Chambre consulaire régionale de l’UEMOA.

    Le commissaire a mis en exergue la mutation actuelle du marché régional avec la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), la qualifiant de grande opportunité pour le secteur privé. Il a réitéré l’importance de « fédérer le secteur privé autour d’un idéal commun », enjeu principal de ce forum.

    Un des moments forts sera la remise des distinctions du Prix UEMOA de la qualité, valorisant ainsi les champions régionaux. 

    Fiacre E. Kakpo



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