Category: Economie

  • Le Benin et la Côte d’Ivoire proches d’être membres de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement

    Le Benin et la Côte d’Ivoire proches d’être membres de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement

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    (Agence Ecofin) – Les deux pays de la zone UEMOA saisissent l’opportunité créée par un amendement des statuts de l’institution basée à Londres. Cependant, ils devront encore satisfaire à certaines exigences qui ne sont pas clairement présentées.

    Les actionnaires de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) ont approuvé les candidatures du Bénin et de la Côte d’Ivoire, marquant ainsi un tournant dans l’expansion de cette institution financière multilatérale en Afrique subsaharienne. Ces approbations font suite à des demandes d’adhésion formulées par les autorités des deux pays en juillet et août 2023 respectivement.

    La Présidente de la BERD, Odile Renaud-Basso, a exprimé son enthousiasme quant à l’accueil des deux nouveaux membres. Elle a souligné que cette expansion reflète les objectifs stratégiques de la Banque en Afrique subsaharienne et met en lumière la valeur ajoutée que la BERD peut apporter dans cette région.

    Ce développement a été entériné lors de la première étape du processus d’adhésion par le Conseil des Gouverneurs de la BERD. Toutefois, il reste aux deux nations à satisfaire certaines exigences préalables avant la conclusion définitive du processus. L’initiative s’inscrit dans le prolongement des décisions prises lors de la Réunion Annuelle 2023 de la BERD à Samarkand, où des amendements aux statuts de la Banque ont été adoptés.

    Ces amendements visent à faciliter une expansion limitée et progressive des opérations de la BERD vers l’Afrique subsaharienne et l’Irak. En plus de leur candidature, le Bénin et la Côte d’Ivoire ont également exprimé le désir de bénéficier des services financiers et consultatifs de la BERD, une requête qui sera examinée une fois les amendements statutaires en vigueur. D’autres pays de la sous-région sont aussi éligibles à cette possibilité, notamment le Kenya, le Sénégal, le Nigéria et le Ghana.

    Depuis sa création en 1991, la BERD a investi près de €190 milliards dans 6844 projets, soutenant ainsi les réformes politiques et le développement du secteur privé dans plus de 30 économies à travers le monde. Jusque là elle travaillait déjà dans des pays d’Afrique du nord, notamment la Tunisie, l’Egypte et le Maroc.



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  • Afrique du Sud : Apex Group rachète deux filiales du groupe financier diversifié Efficient Group

    Afrique du Sud : Apex Group rachète deux filiales du groupe financier diversifié Efficient Group

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    (Agence Ecofin) – Dans l’optique d’accroitre ses activités sur le marché sud-africain, le groupe Apex a racheté Boutique Collective Investments et Boutique Investment Partners, deux sociétés de gestion d’investissement et de placement. Cette opération renforcera l’ancrage d’Apex dans ce pays d’Afrique australe.

    Apex Group, qui fournit des services financiers aux gestionnaires d’actifs, institutions financières, clients privés et family offices à travers le monde, a annoncé jeudi 19 octobre avoir bouclé l’acquisition des sociétés Boutique Collective Investments (BCI) et Boutique Investment Partners (BIP) appartenant au groupe de services financiers sud-africain Efficient Group. Le montant de ces acquisitions n’a pas été dévoilé.

    La société de gestion d’investissements et de conseil BIP et l’entreprise de gestion de placements collectifs BCI seront intégrées au portefeuille d’entreprises d’Apex Group. Elles élargiront l’empreinte africaine du groupe et renforceront ses opérations en Afrique du Sud.

    « Cette acquisition stratégique des entreprises BCI et BIP marque notre engagement à construire des pôles stratégiques en Afrique du Sud pour accéder aux réserves de talents dont nous avons besoin pour soutenir nos bases de clients sud-africaines et mondiales. Nous améliorerons encore nos solutions technologiques pour servir le secteur de la gestion d’actifs en Afrique du Sud », a déclaré Peter Hughes, fondateur et directeur général du groupe Apex.

    L’intégration de BCI et BIP dans le groupe Apex permettra à ces structures de diversifier leurs activités en intégrant des services tels que la banque numérique, la collecte de fonds, ainsi que les services de reporting et de conseil.

    En Afrique du Sud, Apex dispose de deux représentations à travers lesquels il dessert près de 140 clients.

    Chamberline Moko



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  • Norfund engage 10 millions $ dans ANB Group, une entreprise fruitière sud-africaine

    Norfund engage 10 millions $ dans ANB Group, une entreprise fruitière sud-africaine

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    (Agence Ecofin) – Après le producteur d’ingrédients alimentaires Synercore en février dernier, le fonds d’investissement norvégien Norfund poursuit ses investissements en Afrique du Sud.

     Norfund, l’institution norvégienne de financement du développement, a annoncé jeudi 19 octobre, la réalisation d’un investissement de 10 millions $ dans ANB Group. Il s’agit d’une entreprise sud-africaine engagée dans la production et la distribution d’agrumes et fruits tropicaux sur les marchés d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Nord.

    L’investissement de Norfund permettra de stimuler la croissance d’ANB Group et d’adapter sa production aux conditions météorologiques extrêmes, qui affectent le secteur agricole sud-africain.  

    « Le partenariat avec Norfund aura un impact significatif sur notre trajectoire de croissance et profitera non seulement à nos entreprises individuelles, mais également aux producteurs et prestataires de services qui font partie de notre écosystème », a déclaré Marcel O’Connell, directeur financier du groupe ANB.

    Présent dans la chaine de valeur des fruits, ANB Group permet au norvégien Norfund de renforcer ses engagements dans le secteur agricole sud-africain. Bien avant ce groupe agricole, le fonds d’investissement norvégien avait investi, en février dernier, dans Synercore, le producteur d’ingrédients alimentaires sud-africain.  

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    07/02/2023 – Soutenu par le fonds d’investissement norvégien Norfund, le sud-africain Synercore rachète deux firmes agroalimentaires 



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  • Entre incertitudes et opportunités, comment la BIDC fait-elle son chemin pour répondre aux exigences de l’après-Covid-19

    Entre incertitudes et opportunités, comment la BIDC fait-elle son chemin pour répondre aux exigences de l’après-Covid-19

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    (Agence Ecofin) – Après la crise de la Covid-19, la BIDC, forte de sa Stratégie 2025, envisageait une solide relance pour la sous-région. Deux ans après, face à des défis croissants, quel état des lieux pour la BIDC ?

    « La Banque s’est efforcée de se démarquer dans la sous-région, conformément à sa stratégie 2025… Il lui appartient désormais de consolider les gains qu’elle a réalisés dans tous les domaines en 2021, tout en gérant prudemment les pressions sociales, politiques et économiques au niveau mondial et dans la sous-région, afin de produire un impact significatif dans la zone ». 

    Ces propos de Romuald Wadagni, ministre de l’Economie et des Finances du Bénin et président du Conseil des gouverneurs de la BIDC pour l’exercice 2021, soulignent bien le défi qui attendait la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) au sortir de la pandémie. 

    Alors que le monde traverse une phase de récupération et de réajustement, la BIDC se trouve à un carrefour, tenant entre ses mains non seulement les aspirations de son ambitieuse Stratégie 2025, mais aussi les espoirs de la sous-région ouest-africaine pour un rebond post-Covid. Et bien qu’elle soit confrontée à un contexte socio-politique et sécuritaire tendu, elle est restée solide, voire se porte mieux. C’est ce que démontrent les deux premiers exercices de son plan stratégique, qui coïncident d’ailleurs avec l’après-Covid.

    Dynamique en marche

    Au lendemain de la crise sanitaire, la Banque a entamé l’année 2021 avec vigueur. Cette année-là, elle a approuvé 24 nouveaux projets pour un montant de 709,1 millions $, dépassant l’objectif de 240 millions $ prévu dans le cadre de sa Stratégie 2025 pour cette année. Elle a maintenu cette dynamique en 2022. L’an dernier, les nouveaux engagements de la Banque ont totalisé 730,3 millions $, avec huit projets du secteur public et onze du secteur privé. Le nombre de projets ayant bénéficié de décaissements est passé de 53 en 2021 à 71 en 2022, marquant une hausse significative.

    L’objectif de la Banque est clair : d’ici 2025, la BIDC veut mobiliser un total de 1,48 milliard USD pour le financement de 131 projets dans l’espace CEDEAO. Parmi ces projets, 85 devraient être issus du secteur privé et 46 du secteur public, pour des montants respectifs de 1 063 millions $ et 695 millions $. Si l’on fait les comptes, en seulement deux ans, alors que les institutions sont encore confrontées à des défis d’accès au financement de marché, la BIDC s’est déjà engagée sur plus d’une quarantaine de projets et semble suivre une bonne dynamique en cette année 2023.

    Projets liés aux infrastructures d’interconnexion, au commerce intra-CEDEAO, à la santé, à l’éducation et à l’agriculture : l’institution de financement du développement au service des quinze Etats membres de la CEDEAO veut également dynamiser la production intérieure en finançant le commerce des biens et des services, un secteur jusqu’alors peu soutenu. Elle consacre près de 50 % de ses engagements nets aux infrastructures.

    Faire face aux incertitudes 

    Cependant, la BIDC doit aussi affronter des incertitudes majeures, notamment les crises socio-politiques actuelles dans la CEDEAO. Des pays tels que la Guinée, le Niger, le Mali et le Burkina-Faso représentent des zones sensibles pour la BIDC, puisque ces pays, en tant qu’actionnaires, représentent 27 % de son portefeuille d’engagements. « C’est une exposition non négligeable qui peut présenter des risques significatifs pour la BIDC », souligne un expert régional en finance. Une bonne nouvelle est que le Mali, qui représentait 4,4 % des prêts de la banque à fin 2022, a repris ses remboursements depuis que les sanctions financières de la CEDEAO ont été levées en juillet 2022. 

    Les agences de notation anticipent un ralentissement de la croissance du portefeuille de prêts, ce qui, selon elles, « devrait soutenir une stabilisation du ratio de capitalisation de la BIDC à un niveau “Fort” ». Une incapacité à stabiliser ces ratios pourrait mettre la notation sous pression. Or, pour l’institution financière, dont l’objectif est de faire passer son bilan à 1,85 milliard $ d’ici 2025, « l’un des moyens d’y parvenir est de s’assurer qu’elle augmente son portefeuille de prêt, à un taux moyen de 15 % pendant les cinq ans ».  Et même si dans la dernière revue de Moody’s la BIDC a su garder sa notation financière intacte, elle doit continuer à montrer une gestion prudente et stratégique de ses ressources pour rassurer non seulement les agences de notation, mais aussi ses investisseurs et partenaires.

    Ainsi, bien qu’elle ait intensifié la mobilisation des ressources sur les marchés et auprès d’autres bailleurs, les besoins croissants des Etats, amplifiés par les grands projets de développement, les menaces sécuritaires et la conjoncture économique mondiale, ainsi que la fermeture des marchés financiers mondiaux depuis 2022, restent un défi.

    La Banque a mobilisé un total de 498,9 millions $, dont 194,2 millions $ sur le marché financier régional, et a réalisé des recouvrements conséquents en capital auprès des Etats membres. Le total des ressources mobilisées pour l’exercice 2022 a dépassé de 111,7 % l’objectif de la Stratégie 2025, indique Dr George Agyekum Donkor, président de la BIDC et de son conseil d’administration. Toutefois, cela sera-t-il suffisant pour faire face aux besoins ?

    Doper les fonds propres

    Face à ces enjeux, le capital demeure crucial. A ce jour, seuls des investisseurs régionaux ont souscrit au capital de la BIDC. En conséquence, la Banque entend ainsi travailler à « attirer des capitaux non régionaux au cours des prochaines années », convaincue que la présence des investisseurs non régionaux au capital de la Banque renforcera son image et sa notoriété sur la scène internationale, notamment auprès des agences de notation.

    L’an dernier, la Banque a d’ailleurs élargi sa marge de manœuvre en décidant d’augmenter son capital autorisé de 1 milliard d’UC (1,5 milliard $) à 2,5 milliards d’UC (3,75 milliards $), une décision effective depuis le 1er janvier 2023.

    Fiacre E. Kakpo



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  • Afrique du Sud : Knife Capital dirige un investissement de série A au profit d’Outsized

    Afrique du Sud : Knife Capital dirige un investissement de série A au profit d’Outsized

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    (Agence Ecofin) – Alors que le secteur du travail indépendant pourrait connaitre une croissance importante au cours des prochaines années, la société de capital-risque sud-africaine Knife fait le choix d’investir dans ce domaine, en soutenant Outsized

    Knife Capital a annoncé, vendredi 20 octobre, avoir dirigé un investissement de série A au profit de la plateforme Outsized, qui met en relation des professionnels avec des entreprises.

    L’opération a connu la participation d’investisseurs privés.

    Outsized, qui a été lancée en 2015 par le Suédois Niclas Thelander (photo, à droite) et le Britannique Anurag Bhalla (photo, à gauche), prévoit d’utiliser les fonds levés pour élargir son équipe de vente et d’ingénierie, améliorer le développement de produits destinés aux entreprises et aux talents indépendants, et d’accélérer sa croissance en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient. Les pays ciblés dans chacune de ces régions n’ont pas été dévoilés.

    Selon Keet van Zyl, associé et co-fondateur de la société de capital-risque Knife Capital, la croissance future du marché mondial des plateformes indépendantes de recrutement proviendra des zones géographiques et des segments du marché dans lesquels Outsized est déjà présente.

    Pour Outsized, le secteur du travail indépendant connait une croissance rapide, avec une taille d’environ 1,2 milliard de travailleurs indépendants dans le monde. Citant une récente enquête, Outsized fait savoir qu’environ 80 % de la main-d’œuvre pourrait adopter le modèle du travail indépendant d’ici 2030. Ce modèle a l’avantage d’offrir flexibilité et commodité.

    Chamberline Moko



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  • Le Groupe BGFIBank renforce son investissement au Congo.

    Le Groupe BGFIBank renforce son investissement au Congo.

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    (BGFIBank) – L’ambition africaine du Groupe BGFIBank s’affirme avec la signature par sa filiale BGFBank Congo d’un accord pour l’acquisition de la participation de la République du Congo au capital social de la Société Générale Congo. 

    Par cette opération d’acquisition, le Groupe BGFIBank, acteur financier majeur en Afrique et leader du paysage bancaire en Afrique Centrale, consolide sa position en République du Congo dans le cadre de sa stratégie de croissance.

    Fort de plus 50 ans d’expérience et reconnu pour sa connaissance des marchés africains, sa vision avant-gardiste et son engagement à stimuler la croissance économique africaine, BGFIBank entend ainsi marquer une étape significative dans la réalisation de son ambition de renforcer la performance du Groupe. 

    Cette opération qui devrait être finalisée début 2024, est soumise à l’approbation préalable des autorités financières et règlementaires compétentes. 

    « Le Groupe BGFIBank se réjouit de l’aboutissement de cette importante opération d’acquisition qui permet de renforcer d’une part sa position de leader du marché en République du Congo mais aussi de confirmer son engagement au développement des pays dans lesquels nous intervenons. » a déclaré Monsieur Henri-Claude Oyima, Président Directeur Général du Groupe BGFIBank .

    À propos du Groupe BGFIBank

    Le Groupe BGFIBank est un Groupe Financier International multi-métiers qui allie solidité financière, stratégie de croissance durable et maîtrise des risques, avec l’ambition d’être la banque de référence sur ses marchés en termes de qualité de service. Fidèle à ses valeurs de Travail, d’Intégrité, de Transparence, de Responsabilité et d’Esprit d’Équipe, le Groupe place la qualité de service au cœur de ses métiers. Il accompagne ses clients dans une relation durable, à travers une offre de gamme de produits et services élargie et adaptée, à travers : Ses 12 filiales bancaires développées sous la marque BGFIBank ; Ses 3 filiales spécialisées sous les marques BGFICapital, BGFIBourse et Finatra ; Sa compagnie d’Assurance développée sous la marque ASSINCO ; Ses 4 centres de services partagés développés sous les marques BBS, BGFIServices, Fondation BGFIBank et Hédenia.

    Le Groupe BGFIBank enrichit sans cesse son offre en s’appuyant notamment sur l’expertise de ses partenaires, s’ouvrant ainsi à de nouveaux domaines. Avec plus de 2600 collaborateurs présents dans douze pays qui accompagnent au quotidien une clientèle diversifiée au Bénin, au Cameroun, en République Centrafricaine, au Congo, en Côte d’Ivoire, en France, au Gabon, en Guinée Équatoriale, à Madagascar, en République Démocratique du Congo, à Sao Tomé-et-Principe et au Sénégal.

    BGFI Holding Corporation est la maison mère de l’ensemble des filiales du Groupe BGFIBank.

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  • Moody’s confirme une fois de plus la note « Triple A » de la Banque Africaine de Développement

    Moody’s confirme une fois de plus la note « Triple A » de la Banque Africaine de Développement

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    (Agence Ecofin) – La Banque Africaine de Développement (BAD) a été confirmée par Moody’s avec une notation Triple A. Cette reconnaissance s’appuie sur le renforcement du capital de la BAD, son accès exceptionnel au financement et la confiance de ses actionnaires. Malgré les défis, sa capacité à lever des fonds montre sa flexibilité et sa résilience.

    La Banque Africaine de Développement s’est vue confirmée la notation Triple Ade son statut d’emprunteur à long terme par l’agence de notation Moody’s. Cette nouvelle vient renforcer la crédibilité de l’institution sur la scène internationale et reflète la robustesse de sa santé financière, alors qu’elle poursuit ses démarches pour mobiliser davantage de ressources au profit du développement en Afrique.

    Trois facteurs majeurs ont été mis en avant pour justifier cette décision. Tout d’abord, la BAD a renforcé sa position en capital, notamment grâce à une augmentation générale de son capital et une stratégie d’optimisation de son bilan. Deuxièmement, la banque jouit d’un accès exceptionnel au financement, ce qui lui confère une position de liquidité solide. Enfin, la confiance accordée par sesactionnaires, régionaux et internationaux, a joué un rôle crucial dans cette affirmation.

    La septième augmentation générale de capital (GCI VII) de la BAD a permis de réduire l’effet de levier financier (poids de la dette sur fonds propres) qui pesait sur elle, bien que l’institution demeure exposée à des emprunteurs souverains et non souverains a qui les agences de notation continuent de donner des notes de moindre qualité. Cela dit, ses capacités à lever des fonds dans diverses devises et régions montrent une flexibilité et une résilience qui rassurent les investisseurs.

    Par ailleurs, la BAD a su gagner la confiance de ses actionnaires grâce à sa bonne gestion. Leur soutien se manifeste non seulement par des augmentations régulières de capital, mais aussi par des injections ponctuelles de capital (qui peut être repris à tout moment certes), renforçant ainsi la stabilité financière de la banque.

    Pour l’avenir, Moody’s estime que l’institution saura conserver ses réserves de capital et de liquidité, tout en gérant efficacement ses actifs à risque. Le soutien continu des actionnaires est également attendu, assurant une stabilité à long terme.Cette confirmation de notation par Moody’s confirme sa place prépondérante dans le développement de l’Afrique.

    La Banque Africaine de Développement ne se contente pas de prêter directement aux pays membres. Elle sert aussi de garant pour certains emprunts sur le marché financier, un domaine complexe pour de nombreux gouvernements africains.Une récente illustration de ce rôle c’est l’accompagnement qui a permis à l’Egypte de mobiliser l’équivalent de 478,7 millions $ en monnaie chinoise (yuan renminbi), pour financer des initiatives d’investissement durable à long terme.



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  • République du Congo : Le groupe BGFI positionné pour reprendre Société Générale Congo

    République du Congo : Le groupe BGFI positionné pour reprendre Société Générale Congo

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    (Agence Ecofin) – Société Générale avait initialement envisagé de vendre sa filiale à Vista Group, l’institution financière dirigée par le Burkinabè Simon Tiemtore. Mais, usant de leur droit de préemption, les autorités de la République du Congo avaient bloqué la transaction.

    Ce jeudi 19 octobre, le ministre congolais des Finances a révélé la conclusion d’un accord entre le Congo et le groupe bancaire gabonais BGFI. Cet accord porte sur le rachat de la filiale congolaise du groupe bancaire français Société Générale.

    La profonde connaissance du marché local, les relations historiques solides et une volonté manifeste de contribuer au développement économique du Congo ont été les principaux éléments ayant orienté la décision vers BGFI.

    Les détails financiers de l’accord demeurent confidentiels et la finalisation de la transaction est prévue pour le début de l’année 2024. Initialement, Société Générale avait envisagé de céder sa filiale à Vista Group, une institution financière sous la houlette du Burkinabè Simon Tiemtore. Cependant, les autorités congolaises ont exercé un droit de préemption, bloquant ainsi cette transaction.

    Après cette opposition, un accord a été annoncé le 31 juillet, entérinant le rachat des parts de Société Générale dans sa filiale congolaise par le gouvernement du Congo. Le régulateur bancaire de la zone CEMAC a par la suite validé cet accord le 2 octobre, selon les informations fournies par le gouvernement congolais.

    Il est à noter que pour Vista Group, un autre accord conclu avec Société Générale, cette fois-ci en Guinée équatoriale, avait également été contesté. Les développements futurs sur ce front seront aussi à surveiller.



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  • L’américain DFC s’engage dans le secteur agricole ghanéen via des garanties accordées à deux établissements financiers

    L’américain DFC s’engage dans le secteur agricole ghanéen via des garanties accordées à deux établissements financiers

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    (Agence Ecofin) – La banque commerciale Absa Bank Ghana et la microfinance Opportunity International Savings and Loans obtiendront des garanties respectives de 10 et 2,5 millions $ auprès de l’agence américaine DFC pour renforcer leurs opérations de financement de MPME agricoles.

    L’agence américaine de financement du développement (US Development Finance Corporation) s’est associée à deux institutions financières ghanéennes, à savoir Absa Bank Ghana et Opportunity International Savings and Loans, pour soutenir les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) du secteur agricole.

    Dans une annonce publiée lundi 16 octobre, l’américain DFC a indiqué qu’il garantira à hauteur de 10 millions $ des prêts de la banque commerciale ghanéenne Absa Bank Ghana aux petites et moyennes entreprises (PME). L’accord de garantie a été conclu entre Scott Nathan, directeur général de la DFC, et Grace Anim Yeboah, directrice des services bancaires aux entreprises d’Absa Bank Ghana.

    La garantie de portefeuille de la DFC à Absa Bank Ghana renforcera les besoins en fonds de roulement ainsi que les activités de production de PME agricoles, au nord du Ghana.

    En plus d’Absa Bank Ghana, la DFC a également conclu un accord de garantie avec la microfinance ghanéenne Opportunity International Savings and Loans. Dans le cadre de ce partenariat, l’agence américaine a consenti à garantir à hauteur de 2,5 millions $ des prêts de cette microfinance aux MPME et aux agriculteurs du nord du pays.

    A travers ce financement, l’investisseur américain DFC entend soutenir l’expansion de petites entreprises dans le secteur agricole et renforcer la sécurité alimentaire dans le pays.

    Chamberline Moko



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  • Egypte : l’UMC obtient un prêt de 50 millions $ de la BERD pour renforcer ses besoins en fonds de roulement

    Egypte : l’UMC obtient un prêt de 50 millions $ de la BERD pour renforcer ses besoins en fonds de roulement

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    (Agence Ecofin) – United Metals Company a signé avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement un accord de prêt qui servira à financer l’acquisition d’intrants, ainsi que le cycle d’exploitation de cette filiale du groupe industriel El Sewedy Electric.

    Le fabricant égyptien de barres de cuivre, United Metals Company (UMC), est sur le point d’obtenir un prêt de 50 millions $ Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) pour renforcer ses besoins en fonds de roulement et importer des intrants de production, a indiqué l’institution financière mercredi 18 octobre.

    Ce financement vise à soutenir l’industrie manufacturière égyptienne.

    L’UMC, qui est une filiale détenue à 99,8 % par le groupe industriel El Sewedy Electric coté à la Bourse égyptienne, prévoit d’acquérir des cathodes de cuivre essentielles à la production de câbles en cuivre.

    Il faut souligner que l’UMC est un ancien client de la BERD. L’entreprise, opérationnelle depuis 1998, a notamment obtenu, en 2017 puis en 2019, des lignes de crédit de la banque européenne pour renforcer ses besoins en fonds de roulement et financer la mise en place d’un plan d’action environnemental et social portant notamment sur l’achat d’équipements modernes.

    En finançant l’UMC, la BERD soutient la fabrication de barres de cuivre, qui représente, de son point de vue, « une industrie importante pour le marché égyptien et régional, avec des marchés d’exportation tels que l’Algérie, l’Ethiopie et le Liban », a fait savoir la BERD.

    L’institution, qui est présente en Egypte depuis 2012, affirme y avoir investi plus de 11 milliards d’euros dans 169 projets, avec près de 80 % de son portefeuille dans des projets du secteur privé.

    Chamberline Moko



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