Category: Economie

  • Oasis Capital Ghana sort du capital de Legacy Girls College

    Oasis Capital Ghana sort du capital de Legacy Girls College

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    (Agence Ecofin) – Après sept années passées dans l’actionnariat de l’établissement d’enseignement secondaire Legacy, le gestionnaire de fonds Oasis s’en va, cédant l’ensemble de ses actions.

    Oasis Capital Ghana est sorti de l’actionnariat de Legacy Girls College (LGC), a appris l’Agence Ecofin de source médiatique.

    Le gestionnaire de fonds centré sur des PME ouest-africaines a cédé l’ensemble des actions qu’il détenait au sein de cet établissement secondaire ghanéen. Le prix de la vente n’a pas été dévoilé, de même que l’acquéreur. Oasis a exécuté cette sortie via son fonds Oasis Africa I. Ce véhicule de 50 millions $ a ainsi réalisé sa première opération de désinvestissement.

    Cette sortie intervient six ans après l’investissement initial d’Oasis. La société de gestion affirme avoir « renforcé la gouvernance de l’établissement ainsi que ses infrastructures numériques et physiques », durant son passage au sein de Legacy Girls College.

    Rappelons que c’est en décembre 2017 qu’Oasis est entré au capital de Legacy Girls College, alors l’établissement spécialisé dans l’enseignement secondaire de jeunes filles ghanéennes n’avait que deux ans d’existence. L’investissement d’Oasis visait à accélérer la croissance de cette structure d’enseignement centrée sur la gent féminine.

    Chamberline Moko



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  • Maroc : CFG Bank s’apprête à rejoindre la Bouse de Casablanca

    Maroc : CFG Bank s’apprête à rejoindre la Bouse de Casablanca

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    (Agence Ecofin) – L’introduction en bourse de la banque fondée en 1992 se fera par la voie d’une augmentation du capital social réservé au public, à hauteur d’un montant maximal de 58,4 millions de dollars.

    La banque marocaine CFG Bank a annoncé, lundi 16 octobre, le lancement du processus de son introduction sur le marché principal de la Bourse de Casablanca.

    Dans un avis adressé à ses actionnaires, l’établissement a précisé qu’une Assemblée générale extraordinaire se tiendra le 16 novembre prochain pour discuter et adopter une résolution portant sur l’introduction de CFG Bank en bourse « par la voie d’une augmentation du capital social réservée au public, à hauteur d’un montant maximal de 600 millions de dirhams (58,4 millions de dollars) ».

    Cette augmentation de capital se fera par émission d’actions nouvelles d’une valeur nominale de 100 dirhams chacune, à un prix de souscription (prime d’émission incluse) compris dans une fourchette allant de 500 à 600 dirhams par action, a-t-on précisé de même source.

    L’avis publié sur le site de l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) indique d’autre part que les nouvelles actions porteront jouissance courante de manière à être totalement assimilables aux actions existantes de la société à compter du 1er janvier de l’année au cours de laquelle lesdites actions seront émises.

    Fondée en 1992 par les hommes d’affaires Adil Douiri et Amyn Alami, CFG Bank opérait dans les segments de la banque d’investissement et de la banque privée jusqu’en 2012, quand elle s’est transformée en banque universelle.

    Lire aussi:

    07/06/2021 – Maroc : CFG Bank monte à 60 % dans le capital de Reim Partners

    15/05/2018 – Renfloué par Amethis et AfricInvest, le Marocain CFG Bank envisage une expansion en Afrique de l’Ouest

    07/05/2018 – AfricInvest et Amethis entrent au capital de la banque marocaine CFG Bank



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  • La BAD nomme Désiré Jean-Marie Vencatachellum au poste de directeur principal du Département des économies pays

    La BAD nomme Désiré Jean-Marie Vencatachellum au poste de directeur principal du Département des économies pays

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    (BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT) – La Banque africaine de développement a nommé Désiré Jean-Marie Vencatachellum, directeur principal du Département des économies pays, à compter du 1er novembre 2023.

    De nationalité mauricienne et banquier de développement chevronné, M. Vencatachellum totalise plus de trente ans d’expérience en matière de leadership stratégique sur les questions économiques et financières du développement, en particulier en Afrique. Il a excellé dans la direction d’équipes diversifiées et de grande taille, qui interagissent avec des parties prenantes de haut niveau pour exécuter des mandats à enjeux élevés dans des délais courts. Il est également reconnu comme leader en matière de mobilisation et de gestion de capitaux au service du développement.

    M. Vencatachellum a rejoint le Groupe de la Banque africaine de développement en 2005 en tant qu’économiste de recherche principal et a occupé depuis 2011 des postes de direction, notamment en qualité de directeur de la recherche (2011-2012), de directeur des politiques opérationnelles (2012-2013) et de directeur du Département de mobilisation des ressources et des partenariats de 2013 jusqu’à la date de la présente nomination. En 2020, il a reçu le prix du meilleur mentor décerné par le Conseil du personnel du Groupe de la Banque africaine de développement, en reconnaissance des conseils en carrière et en orientation professionnelle qu’il a toujours su prodiguer à ses collègues et à ses équipes.

    Au cours des dix dernières années, Vencatachellum a joué un rôle clé dans la mobilisation des ressources et le partenariat. Sous sa direction, la 16e reconstitution des ressources du Fonds africain de développement (FAD), le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement pour les 37 pays africains à faible revenu, a atteint en décembre 2022 le niveau le plus élevé jamais enregistré, totalisant 8,9 milliards de dollars. La reconstitution a reçu des contributions de 31 donateurs. Il a également dirigé la reconstitution des ressources du FAD-15, dont les ressources ont augmenté de 32 %.

    M. Vencatachellum a dirigé, administré et supervisé des fonds fiduciaires et des fonds spéciaux, et a lancé de nombreuses innovations. Il a été le chef de file de l’élaboration de la Politique en matière de fonds fiduciaires 2021 du Groupe de la Banque africaine de développement, laquelle a donné la priorité aux fonds fiduciaires multidonateurs et veillé à ce que tous les fonds fiduciaires soient pleinement alignés sur les priorités stratégiques de la Banque. Il a été à l’origine d’un certain nombre de premières, telles que la création du premier fonds fiduciaire de la Banque avec une fondation, le Fonds fiduciaire Bill et Melinda Gates, et des accords-cadres avec la Commission européenne qui, depuis 2015, ont conduit à l’approbation par la Commission européenne de projets cofinancés et d’accords de garantie d’une valeur de plus d’un milliard d’euros.

    En tant que directeur du Département de la recherche, M. Vencatachellum a élargi le champ de couverture des Perspectives économiques en Afrique à l’ensemble des pays africains. Il a constitué et dirigé l’équipe qui a mis en œuvre l’évaluation ex ante de l’additionnalité et des résultats en matière de développement (ADOA) de toutes les opérations non souveraines de la Banque africaine de développement. Il a mis en œuvre des politiques opérationnelles à fort impact, dont la politique de crédit de la Banque telle que modifiée et la politique énergétique du Groupe de la Banque.

    Avant de rejoindre le Groupe de la Banque africaine de développement, M. Vencatachellum a travaillé à HEC Montréal, à l’université de Montréal. Il a publié de nombreux articles dans des revues scientifiques à comité de lecture sur le développement économique, l’histoire économique, l’économétrie ainsi que la recherche et le développement. Il est titulaire d’un doctorat en économie (de l’université Queen’s, au Canada) et d’un magistère ingénieur économiste (université d’Aix-Marseille II, en France).

    Commentant sa nomination, M. Vencatachellum a déclaré : « Je tiens à remercier M. [Akinwumi] Adesina de m’avoir nommé à ce poste. Je vois là une occasion extraordinaire de renforcer la position de la première institution de financement du développement en Afrique en tant que fournisseur de solutions fondées sur la connaissance pour une Afrique durable, inclusive et prospère. Je me réjouis de travailler avec la haute direction, des collègues talentueux et dévoués, et toutes les parties prenantes pour aider à mettre en œuvre la vision inspirante du président pour la Banque et pour l’Afrique. »

    Le président de la Banque africaine de développement, M. Akinwumi Adesina, a déclaré : « Je suis heureux de nommer M. Vencatachellum au poste de directeur principal du Département des économies pays. M. Vencatachellum a fait un excellent travail de mobilisation de capitaux pour le développement pour le compte de la Banque africaine de développement. Son expertise couvre l’économie du développement, la politique économique et le dialogue sur les politiques, les études au niveau des pays, la mobilisation des ressources, le financement de projets et l’efficacité du développement. Je suis convaincu qu’il mettra à profit cette expérience mixte et étendue pour renforcer l’analyse économique par pays qui sous-tend l’appui de la Banque aux réformes économiques entreprises dans les pays africains, en vue d’améliorer l’impact de cet appui sur le développement. »

     



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  • L’Assemblée annuelle de l’IDFC s’est tenue en marge des assemblées 2023 de la Banque mondiale et du FMI à Marrakech

    L’Assemblée annuelle de l’IDFC s’est tenue en marge des assemblées 2023 de la Banque mondiale et du FMI à Marrakech

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    (BOAD) – Le Club international des 26 principales Banques de Développement, nationales et régionales, s’est réuni pour son Assemblée Annuelle, en marge des Assemblées annuelles 2023 de la Banque mondiale et du FMI. Cette assemblée de l’IFDC a été marquée par les élections pour le comité de pilotage et la présidence ; elle a également été l’occasion de revoir le programme de travail de l’IDFC, reflétant ainsi nos engagements collectifs, dans l’atteinte des Objectifs de Développement Durable.

    Co-présidence de l’IDFC  

    Le Club a élu Javier Diaz FAJARDO, Président de Bancoldex, et Serge EKUE, Président de la BOAD (Banque Ouest Africaine de Développement) en tant que co-présidents de l’IDFC, pour un mandat de 2 ans. Le Club bénéficiera de la complémentarité des mandats, des positionnements géographiques, des structures d’actionnariat des deux institutions et de leur forte volonté d’aligner les BPD sur l’agenda 2030, afin de renforcer les capacités des BPD et de développer des projets financièrement durables. 

    « Nous pensons que le fait de partager des défis, des ambitions et des objectifs communs nous permet d’aborder des problèmes mondiaux avec des solutions locales dans une perspective de banque de développement. En apportant de nouvelles perspectives à la co-présidence de l’IDFC, nous la rendrons plus pertinente pour les générations futures et pour le respect des engagements internationaux en matière de développement », a déclaré Javier Díaz FAJARDO, président de Bancóldex. 

    « Le développement durable et la lutte contre le changement climatique ne peuvent se faire que par les acteurs financiers que nous sommes. Notre mission est de nous appuyer sur les réalisations de l’IDFC et les engagements de ses membres pour soutenir davantage les cadres économiques des pays avec lesquels nous sommes engagés, tout en réduisant les inégalités et en promouvant la durabilité environnementale », a déclaré Serge EKUE, président de la BOAD.

    Après trois mandats consécutifs, l’Agence Française de Développement est heureuse de poursuivre son engagement, en accueillant le Secrétariat Permanent de l’IDFC à Paris, France.

    Le Club a également réélu son comité de pilotage qui compte désormais 13 membres, et a ajouté la BOAD à l’exercice de son mandat, en tant que nouveau co-président. 

    Cartographie de la finance verte de l’IDFC 

    Depuis 2011, l’IDFC a réalisé une cartographie périodique des contributions des institutions membres à la finance verte. En 2022, ses membres ont déclaré un montant record de 288 milliards de dollars US d’engagements totaux en matière de finance verte, soit une augmentation de 29 % par rapport à 2021. Au total, leurs engagements en matière de financement vert ont dépassé 1 500 milliards de dollars US, depuis la signature de l’Accord de Paris en 2015. C’est le résultat de la capacité unique des membres de l’IDFC à octroyer des financements verts à grande échelle. Le financement de l’atténuation a atteint le niveau le plus élevé à ce jour (245 milliards de dollars US), en augmentation de 31 % par rapport à 2021. Le financement de l’adaptation a également atteint un niveau record, avec une augmentation de 52 % pour atteindre 31,6 milliards de dollars US. L’augmentation du financement de l’adaptation fait suite à l’engagement, pris par ses membres, d’augmenter leur financement en faveur de l’adaptation dans le cadre de l’état d’ambition de l’IDFC (en 2021). Dans l’ensemble, plus de la moitié des membres (14) ont augmenté leurs engagements verts en 2022, retrouvant ou dépassant les niveaux d’avant la pandémie. Le financement des projets de biodiversité est resté stable en 2022, avec un total de 18,2 milliards de dollars US. 

    Principales conclusions :

    Un record de 288 milliards de dollars US de financement vert en 2022

    •     1,5 billion de dollars US de financement vert total depuis 2015
    •     245 milliards de dollars US pour le financement de l’atténuation en 2022
    •      Le financement de l’adaptation a augmenté de 52 % pour atteindre un niveau record de 31,6 milliards de dollars US.
    •     18 milliards de dollars US pour le financement de la biodiversité en 2022. 

    Lire aussi : IDFC Green Finance Mapping 4 pager 

    COP 28

    Pour la quatrième année consécutive, l’IDFC anime un pavillon dans la zone bleue de la COP28, qui se tient, à Dubaï, du 30 novembre au 12 décembre. 

    Le Club prévoit plus d’une quarantaine d’événements diligentés par neuf (9) membres (AFD, BICE, BNDES, CABEI, CAF, DBSA, JICA, KfW et PTSMI) et 7 partenaires (MCI, I4CE, IDDRI, UNOPS, UNEHS, ETP et CPI). 

    Des thèmes clés émergent dans le cadre du financement de la lutte contre le changement climatique, tels que l’énergie, la biodiversité, la déforestation, les villes, les océans et l’alignement sur les objectifs de Paris.

    Premier outil de suivi de la cartographie Genre de l’IDFC 

    L’IDFC a publié son premier outil de suivi et de reporting de la cartographie Genre pour que ses membres puissent examiner et suivre leurs engagements en matière d’égalité hommes-femmes.

    Cette première cartographie du financement du genre de l’IDFC, pour 2021, a été réalisée avec l’appui de 9 membres : AFD, BICE, CABEI, CAF, DBSA, HBOR, KFW, NAFIN et TSKB. Ils ont déclaré avoir engagé près de 10 milliards d’euros dans des projets axés sur le Genre et sensibles à la dimension Genre. Cela représente près de 20 % des nouveaux engagements déclarés par les 9 BPD en 2021 (soit 54,5 milliards d’euros).

    Il montre comment les BPD intègrent progressivement le Genre, comme objectif principal ou secondaire, dans leurs investissements. Il s’agit d’un élément clé pour identifier les besoins et les secteurs auxquels nous devrions donner la priorité, afin d’atteindre l’ODD 5 sur l’égalité des sexes. Cette enquête sera désormais menée sur une base annuelle et permettra à l’IDFC de disposer d’une base de référence pour l’avenir.

    Cartographie Genre de l’IDFC 

    Document de prise de position sur les ODD

    Le sommet des Nations-Unies sur les ODD, tenu en septembre, a marqué la mise en œuvre à mi-parcours de l’Agenda 2030 et des Objectifs de Développement Durable ; pour contribuer à cette étape, l’IDFC a renforcé son ambition par le biais d’un document de prise de position sur l’alignement aux ODD.

    Dans ce document, l’IDFC présente un cadre pour l’alignement sur les ODD des Banques Publiques de Développement, ainsi que les informations et engagements individuels des différents membres de l’IDFC, reflétant la mise en œuvre des ODD.

    Basé sur le principe de la compatibilité des flux financiers avec la réalisation des ODD, le cadre comprend des éléments concrets pour leur mise en œuvre, à trois niveaux : (1) l’entité (politiques et stratégies, ressources humaines et avantages), (2) les opérations (processus et outils, produits et services, responsabilité) et (3) les partenaires extérieurs (mobilisation des parties prenantes).

    L’IDFC est également disposé à poursuivre le dialogue stratégique avec d’autres parties prenantes de la communauté financière au sens large afin de parvenir à une compréhension commune de ce que signifie l’alignement des flux financiers sur les ODD.

    Éléments IDFC en matière de mise en œuvre de l’alignement sur les ODD 

    À propos de l’IDFC 

    L’International Development Finance Club (IDFC), créé en 2011, est le principal groupe international, constitué de 26 Banques de Développement nationales et régionales, dont la majeure partie opère sur les marchés émergents. C’est le plus grand fournisseur de financements publics pour le développement et le climat au niveau mondial, avec 4 000 milliards de dollars US d’actifs combinés et des engagements annuels supérieurs à 800 milliards de dollars, dont 170 milliards de dollars par an pour le financement du climat. Les membres de l’IDFC ont pour fonction principale de soutenir les politiques nationales, tout en transférant les priorités internationales dans leurs propres circonscriptions. Ils sont alignés sur les Objectifs de Développement Durable (ODD) et les programmes de l’Accord de Paris sur le climat, travaillant ensemble à leur mise en œuvre. Par l’intermédiaire de l’IDFC et, en partenariat étroit avec d’autres réseaux de Banques de Développement, les membres unissent leurs forces, en tant que plateforme, pour promouvoir et tirer parti des investissements en faveur du développement durable dans le monde.

    Pour en savoir plus sur l’IDFC, visitez notre site web ou suivez-nous sur X et LinkedIn.

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  • BGFI Business School a tenu la conférence inaugurale de la rentrée académique 2023-2024

    BGFI Business School a tenu la conférence inaugurale de la rentrée académique 2023-2024

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    (BGFIBank) – La tradition est respectée au sein de BGFI Business School – BBS –  l’École Supérieure de la Banque avec la conférence inaugurale de rentrée académique tenue ce mardi 17 octobre 2023 dans ses locaux.

    Cette conférence animée par Monsieur Henri-Claude OYIMA, Président Directeur Général du Groupe BGFIBank et Président du Conseil d’Administration de l’établissement, qui n’a pas hésité en tant que conférencier à partager son expérience auprès des étudiants présents à cet évènement annuel. 

    Les thèmes de cette deuxième édition étaient axés sur :

    • L’histoire du Groupe BGFIBank ;
    • L’ambition de BBS pour les prochaines années. 

    Le Professeur Pamphile MEZUI-MBENG, Directeur Général de BBS, dans son discours de bienvenue a rappelé les ambitions fixées par le Président du Conseil d’Administration, les exigences requises pour une recherche d’Excellence permanente et le rayonnement de BBS.

    Pour le Directeur Général « la renommée de BBS va au-delà des frontières sous régionales et continentales, comme en témoigne le nombre de candidatures enregistrées à la session du concours d’entrée de juillet 2023. »

    Par la suite, après un premier temps fort marqué par la remise des prix aux « Cracks » de l’année 2022-2023, la cérémonie solennelle de rentrée académique 2023-2024 s’est poursuivie sous un format innovant constitué d’échanges libres entre les étudiants et l’illustre invité.

    Pendant près de deux heures, dans un style toujours très pédagogique, le conférencier a tenu en haleine les futurs managers en formation à BBS, lesquels ont eu le privilège de bénéficier d’enseignements tirés de l’histoire du Groupe BGFIBank et des perspectives ambitieuses de BBS comme  laboratoire – incubateur de talents.

    Monsieur Henri Claude OYIMA est revenu très longuement sur le narratif de la transformation du continent et de l’importance de la valeur du capital humain, de l’acquisition permanente d’un savoir -faire solide et innovant.

    Cette cérémonie de rentrée solennelle 2023-2024 s’est achevée par une photo de famille et un moment convivial avec la communauté estudiantine. 

    A propos de BBS

    BBS, L’école supérieure de la banque, créée par le Groupe BGFIBank en 2008, forme depuis des années, les Managers et les banquiers africains capables de répondre aux attentes du marché bancaire et du secteur privé dans son ensemble. En plus de contribuer à la formation de la jeunesse du continent en quête d’excellence pédagogique, la création de BBS répond à la volonté du Groupe BGFIBank de renforcer les compétences de son capital humain. A cet effet, la Business School a mis en place des programmes de formation ciblés et adaptés à l’ensemble de ses collaborateurs managers ou non.

    Prévenir le risque de rupture de compétences dans les fonctions stratégiques, fidéliser et favoriser l’internationalisation des carrières, tels sont les objectifs visés par cette politique de formation. 

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  • Finactu confirme l’efficacité des contrats programmes pour le développement des marchés d’assurance en Afrique

    Finactu confirme l’efficacité des contrats programmes pour le développement des marchés d’assurance en Afrique

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    (FINACTU) – Finactu confirme dans une étude chiffrée que les « contrats programmes » sont un outil efficace pour le développement des marchés d’assurance en Afrique, en associant tous les acteurs dans la réflexion stratégique puis la mise en œuvre.

    Alors que les 55 pays du continent africain souffrent d’un faible niveau de développement de l’assurance, un récent article de fond des équipes de FINACTU confirme que, sans surprise, les pays qui ont mis en place un « contrat programme » ont un secteur des assurances plus développé que les autres, et croissant plus vite que le niveau de développement de leur pays.

    Les « contrats programmes » sont un processus par lequel toutes les parties prenantes d’un secteur joignent leurs forces de façon coordonnée pour diagnostiquer les problèmes du secteur, y apporter des solutions équilibrées et reposant sur un effort partagé, puis assurent conjointement la mise en œuvre de ces solutions sur la durée.

    Le Maroc a été l’un des premiers pays à lancer son contrat programme en 2009-2011, en s’appuyant sur les équipes de FINACTU pour toutes les analyses puis l’identification et la finalisation des actions. Les maîtres d’ouvrage de ce contrat programme (la Fédération Marocaine des Sociétés d’Assurance et de Réassurance, devenue Fédération Marocaine de l’Assurance en 2023, et la Direction des Assurances et de la Prévoyance Sociale au sein du Ministère des Finances à l’époque) ont ainsi validé un plan de plusieurs dizaines de mesures couvrant 20 initiatives. Ce plan mettait à contribution les compagnies, les intermédiaires, les assurés, l’État régulateur, la fiscalité, et de nombreuses administrations impliquées (Justice, Intérieur, …).

    Le résultat de cet effort partagé est sans conteste : entre 2011 et 2021, alors que la richesse par habitant au Maroc a augmenté de 16 % (en USD), le taux de pénétration du secteur des assurances (mesuré en primes par rapport au PIB) a progressé de 38 %, tandis que la densité du secteur (mesurée en primes par habitant) a augmenté de 61 %. L’immense succès de cette première tentative a conduit à réitérer l’exercice en 2018.

    En Tunisie, FINACTU a été sollicité par les autorités pour conduire un exercice équivalent en 2013 et le contrat programme des assurances tunisiennes a été présenté et validé en 2015. Par la suite, malgré une diminution de la richesse par habitant (-8 % entre 2011 et 2021), le marché des assurances a maintenu sa densité (+8 % sur la même période) voire a connu une croissance significative en termes de pénétration (+17 %).

    Au Mali, FINACTU a également accompagné le pays dans l’élaboration de son contrat-programme des assurances en 2017, et des premiers résultats positifs sont déjà observés. La densité du secteur des assurances au Mali est passée de FCFA 2.448 de primes par habitant en 2016 à FCFA 3.175 en 2021, soit une augmentation de 30% sur 5 ans. Le taux de pénétration a également connu une forte croissance, augmentant de 22 % en 5 ans, passant de 0,49 % à 0,60 % en termes de primes par rapport au PIB. La croissance du secteur des assurances est nettement plus rapide que la croissance économique globale du pays, car sur la même période, le PIB par habitant a augmenté beaucoup plus lentement, de seulement 6 % en 5 ans.

    Plus récemment, les équipes de FINACTU ont eu le privilège d’accompagner les acteurs de l’assurance au Burkina Faso, qui ont lancé leur propre contrat programme des assurances. Le projet a été porté par l’autorité de tutelle qu’est la Direction des Assurances, l’Association Professionnelle des Sociétés d’Assurance du Burkina Faso (APSAB) et l’Association Professionnelle des Courtiers d’Assurance du Burkina (APCAB).

    FINACTU est fier d’avoir accompagné ces pays (Maroc en 2011, Tunisie en 2013, Mali en 2017, Burkina Faso en 2023) dans l’établissement de ces plans stratégiques, déclinés en plan d’actions. 

    Comme l’indique Lossani ZINA (photo), Senior Manager du Groupe FINACTU, « La clef du succès de ces contrats programmes réside dans l’implication des diverses parties prenantes représentant à la fois l’État régulateur ou contrôleur (Direction Nationale des Assurances) et les assureurs eux-mêmes (à travers leur association professionnelle). Cet investissement collectif est ensuite formellement partagé pour devenir une cause commune lors des « états généraux » où sont adoptés officiellement ces plans d’actions par les représentants au plus haut niveau de l’État et des acteurs privés ».

    Madame Géraldine MERMOUX, Directrice Générale Associée du Groupe FINACTU, ajoute : « Par ces missions originales, qui esquissent désormais une tradition vertueuse de l’assurance africaine, le Groupe FINACTU confirme son implication au service des acteurs de l’assurance, à la fois du côté des assureurs et de celui des autorités de tutelle ou de contrôle ». Pour plus d’information, vous pouvez consulter le site www.finactu.com ;



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  • AfricInvest et Verod Capital acquièrent une part majoritaire de Ison Xperiences

    AfricInvest et Verod Capital acquièrent une part majoritaire de Ison Xperiences

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    (Agence Ecofin) – Les capitaux engagés serviront, entre autres, à financer l’expansion d’Ison Xperiences sur de nouveaux marchés

    La plateforme d’investissement panafricaine, AfricInvest, s’est associée à Verod Capital pour acquérir une part majoritaire dans Ison Xperiences. La transaction a été annoncée lundi 16 octobre.

    Le nombre d’actions acquises et le montant investi par AfricInvest et Verod n’ont pas été dévoilés.

    Cette injection de capitaux permettra à Ison de diversifier son offre de services en intégrant des outils numériques pour optimiser ses opérations clients, améliorer l’expérience client et la productivité des agents. La société, qui dessert des utilisateurs dans divers secteurs tels que les télécommunications, les services financiers, l’énergie, les services publics, les médias, le divertissement, prévoit de pénétrer de nouveaux marchés, y compris en Afrique.

    Alors que Verod Capital s’engage pour la première fois avec Ison Xperiences, AfricInvest réalise un investissement de suivi dans la société. La plateforme, active dans plusieurs classes d’actifs alternatifs, a investi pour la première fois dans Ison Xperiences en 2018. Cinq ans après, elle renouvèle son engagement dans cette firme à travers ses fonds d’investissement AfricInvest III et IV.

    « Notre réinvestissement dans Ison souligne notre confiance dans le potentiel de l’entreprise et son impact dans les pays en développement. Le prochain chapitre sera encore plus passionnant avec l’objectif de pénétrer de nouveaux pays et de fournir des services à plus forte valeur ajoutée à nos clients », a commenté Hakim Khelifa, associé principal chez AfricInvest.

    Selon Danladi Verheijen, co-fondateur et associé directeur de Verod Capital, l’Afrique recèle un immense potentiel pour les services d’externalisation de processus métier, grâce à sa population diversifiée et à son environnement opérationnel. De plus, les progrès rapides de l’intelligence artificielle créent de nouvelles voies innovantes pour relever des défis dans ce secteur.

    Chamberline Moko



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  • La BERD envisage de financer quatre banques égyptiennes à hauteur de 325 millions $

    La BERD envisage de financer quatre banques égyptiennes à hauteur de 325 millions $

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    (Agence Ecofin) – La National Bank of Egypt (NBE), la Commercial International Bank (CIB), la Banque du Caire et l’Export Development Bank of Egypt pourraient recevoir des prêts de la BERD, pour accentuer leurs offres de financement à l’endroit de PME et entreprises vertes.

    La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) prévoit de fournir 325 millions $ à quatre banques égyptiennes d’ici fin 2023. L’annonce a été faite par Hashem Abd El Hakim, chef des institutions financières pour l’Egypte à la BERD.

    Les banques concernées par ce projet de financement sont la National Bank of Egypt (NBE), la Commercial International Bank (CIB), la Banque du Caire et l’Export Development Bank of Egypt (Ebank). Cette enveloppe globale de 325 millions $ servira à financer des projets liés à la protection de l’environnement ainsi que des petites et moyennes entreprises (PME).

    La banque commerciale centenaire National Bank of Egypt (NBE) pourrait obtenir 100 millions $ à engager dans des projets portés par des entreprises de petite et moyenne tailles. La banque privée Commercial International Bank pourrait recevoir 150 millions $ pour financer des projets verts et des PME. La Banque du Caire obtiendra 50 millions $ et l’Ebank 25 millions $.

    Présente en Egypte depuis 2012, la BERD affirme avoir investi à cette date près de 10,3 milliards d’euros dans 167 projets. 28 % de ce montant a été alloué à des institutions financières égyptiennes.

    Rappelons que le plus récent financement débloqué par la BERD à l’endroit d’une banque égyptienne date de juillet 2023. Il s’agissait d’un prêt de 100 millions $ accordé à la Banque Misr pour financer l’expansion de ses activités et accroitre la disponibilité de ses financements pour les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) locales.

    Chamberline Moko



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  • Moody’s juge risquée la dette de l’une des sociétés du milliardaire Dangote, pour les investisseurs internationaux

    Moody’s juge risquée la dette de l’une des sociétés du milliardaire Dangote, pour les investisseurs internationaux

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    (Agence Ecofin) – Malgré ses bons fondamentaux financiers, Moody’s a estimé que la dette internationale de Dangote Sugar Refinery présentait un profil de risque élevé, en raison de son exposition à un marché nigérian volatil et une conjoncture internationale qui signale des possibilités de déséquilibre

    L’agence de notation financière Moody’s a annoncé sa note Caa1 pour la dette de Dangote Sugar Refinery Plc (DSR). Elle a ainsi émis une opinion qui risque de peser sur les primes de risque exigées par les investisseurs, si l’entreprise souhaite mobiliser des capitaux sur le marché international, surtout en ces moments où le Nigeria, son principal marché et pays de siège, fait face à des défis de liquidités en devises.

    Avec le Naira (monnaie nigériane) qui s’est déprécié en juin 2023, consécutivement à l’unification des taux de change par l’administration du nouveau président Bola Tinubu, Moody’s s’attend à ce que les coûts d’importation de sucre augmentent davantage et fassent pression sur des marges brutes qui sont de 3,4 fois inférieures à la dette de l’entreprise.

     DSR n’est pourtant pas une entreprise ordinaire. Leader incontesté en Afrique subsaharienne, avec une importante capacité de raffinage, elle est soutenue par le puissant conglomérat Dangote Industries fondé par l’homme le plus riche d’Afrique. Sur le papier, DSR semble avoir tout pour elle : un marché en croissance, le soutien du gouvernement, à travers le Nigerian Sugar Master Plan (NSMP), et une ambition claire de dominer le secteur sucrier africain.

    Cependant, Moody’s rappelle une réalité plus nuancée. L’exposition totale de DSR au Nigeria, bien que source de ses succès, est également à l’origine de ses plus grands défis. Le pays qui est peu diversifié sur ses produits d’exportations fait très souvent face à des situations de volatilités macroéconomiques, de turbulences politiques et de défis réglementaires.

    Et bien qu’offrant un marché intérieur en croissance, grâce à une démographie dynamique et à une demande croissante de produits de consommation comme le sucre, le Nigeria est également synonyme d’instabilité : dépréciation monétaire, inflation devenue historiquement élevée, et incertitudes politiques.

    Au-delà des défis macroéconomiques, DSR est également confrontée à la volatilité intrinsèque du marché du sucre. Les fluctuations des prix mondiaux du sucre peuvent transformer une année rentable en année déficitaire en un clin d’œil. Les signaux en provenance de l’Inde font craindre de nouveaux déséquilibres sur le marché international.

    L’agence de notation reconnaît cependant la force intrinsèque de l’entreprise et sa capacité historique à s’adapter et à évoluer. Les prochaines années pourraient bien être déterminantes, non seulement pour l’entreprise elle-même, mais aussi pour l’industrie sucrière nigériane dans son ensemble.



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  • Kuramo Capital va investir 150 millions $, d’ici dix ans, pour soutenir des PME dirigées par des femmes en Afrique

    Kuramo Capital va investir 150 millions $, d’ici dix ans, pour soutenir des PME dirigées par des femmes en Afrique

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    (Agence Ecofin) – L’investissement ciblera en particulier des femmes entrepreneures et gestionnaires de fonds, actuellement sous-représentées à tous les niveaux du paysage de l’investissement en Afrique. En 2022, seulement 129 femmes entrepreneures ont mobilisé des financements sous forme de capital-risque en Afrique.

    Kuramo Capital Management prévoit d’investir 150 millions $ pour soutenir des entreprises dirigées par des femmes au cours des dix prochaines années, a-t-on appris de sources médiatiques.

    L’investissement sera accordé par le biais de la plateforme Moremi récemment lancée par Kuramo. Il s’agit d’un programme d’accélération, d’assistance technique, de mentorat et renforcement de capacités de femmes africaines entrepreneures et gestionnaires de fonds. Cette initiative ciblera chaque année une quarantaine de femmes.

    Pour la société de gestion d’investissement axée sur l’Afrique subsaharienne Kuramo, cet investissement vise à combler le déficit de financement des entrepreneures africaines.

    « Malgré un flux accru de capitaux vers l’Afrique, les femmes restent sous-représentées à tous les niveaux du paysage de l’investissement. Notre objectif est de surmonter cet obstacle et d’améliorer l’écosystème en soutenant les fonds de capital-investissement et de capital-risque africains dirigés par des femmes », a indiqué Sarah Ngamau, directrice générale de la plateforme Moremi. 

    Selon le rapport 2016/2017 du Global Entrepreneurship Monitor (GEM), l’Afrique subsaharienne abrite le plus grand nombre de femmes entrepreneures au monde. Elles atteignent 25,9% de la population féminine adulte. Cependant, ces femmes entrepreneures connaissent un déficit de financement estimé à 42 milliards $ sur l’ensemble des chaines de valeur.

    Rappelons qu’en 2022, seulement 129 femmes entrepreneures africaines ont mobilisé des financements sous forme de capital-risque, selon un rapport de la plateforme Africa : the big deal, publié en janvier 2023.

    Chamberline Moko

    Lire aussi:

    04/01/2023 – Capital-risque : 2022 n’a pas été une année de croissance pour les start-up africaines dirigées par des femmes 



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