Category: Economie

  • La SFI s’allie à Sony pour cibler des opportunités d’investissement dans les industries créatives en Afrique

    La SFI s’allie à Sony pour cibler des opportunités d’investissement dans les industries créatives en Afrique

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    (Agence Ecofin) – Après son tout premier engagement dans l’industrie créative en Afrique, fin septembre 2023, avec l’ivoirien Anka, la Société financière internationale examine d’autres investissements dans ce secteur, conjointement avec Sony Group Corporation.

    La Société financière internationale (SFI) et Sony Group Corporation, acteur mondial dans les domaines du divertissement, des médias, de la technologie, ont annoncé ce jeudi 12 octobre, la conclusion d’un accord visant à rechercher des opportunités dans des entreprises des industries créatives en Afrique. Les deux acteurs examineront des possibilités d’investissement dans des start-up africaines en phase d’amorçage et de démarrage, évoluant dans les secteurs du cinéma, de la photographie, de la mode, de la musique, l’animation, etc.

    A travers cet accord, la SFI et Sony entendent accélérer la croissance des industries créatives africaines qui génèrent 4,2 milliards $ par an, mais ne représentent que 2,9 % des exportations de biens créatifs et moins de 1 % du PIB du continent. En 2019, seul 1,1 % (22 millions $) du total des investissements des start-up africaines, a été consacré aux industries créatives et culturelles.

    Malgré cette difficulté à accéder à des financements, les start-up des industries créatives africaines continuent d’intéresser des investisseurs et institutions internationales en raison de leur potentiel de croissance. Le 19 septembre dernier, la SFI annonçait son premier investissement dans les industries créatives et culturelles en Afrique. L’institution financière a réalisé une prise de participation de 3,4 millions $ dans la plateforme ivoirienne de ventes de produits artisanaux et de modes, Anka. L’investissement visait à renforcer les activités d’Anka et à ouvrir sa plateforme à 100 000 artisans supplémentaires, d’ici 2030.

    L’annonce de cet accord SFI-Sony intervient quelques jours après la tenue du 6 au 8 octobre à Paris, du forum des industries culturelles et créatives africaines, Création Africa. L’initiative visait à rassembler dans le cadre de plateformes de rencontre, d’échanges et de mise en valeur, des créateurs africains évoluant dans une diversité de secteurs.

    Chamberline Moko



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  • Proparco s’engage pour la première fois avec la compagnie d’électricité privée tchadienne Ziz Energie

    Proparco s’engage pour la première fois avec la compagnie d’électricité privée tchadienne Ziz Energie

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    (Agence Ecofin) – Soutenu par les investisseurs britannique et néerlandais British International Investment et FMO, le tchadien Ziz Energie signe son premier accord de prêt avec le français Proparco. Le financement vise à renforcer l’offre énergétique dans des villes secondaires du Tchad.

    Proparco, filiale du groupe Agence française de Développement (AFD), dédiée au secteur privé dans des pays en développement, a annoncé mardi 10 octobre, la réalisation de son premier investissement dans Ziz Energie, fournisseur d’énergie hors réseau dans des villes secondaires au Tchad. L’entreprise d’énergie opérationnelle depuis 2006 et dirigée par Ibrahim Zakaria obtiendra un prêt de 1,5 million d’euros.

    La ressource servira à financer un projet d’infrastructure d’énergie décentralisée au Tchad. Elle permettra notamment le développement et l’exploitation de mini-réseaux énergétiques dans des villes secondaires du pays.

    A travers ce financement, Proparco affirme soutenir un acteur clé de l’énergie, qui contribue à réduire le faible taux (6 %) d’électrification du Tchad. Bien avant Proparco, les institutions de financement du développement néerlandais FMO et britannique British International Investment (BII), avaient engagé des fonds dans Ziz Energie, en 2020 puis en 2021.

    En juin 2020, le britannique BII a investi dans Ziz Energy, via le fonds Energy Access Ventures, géré par Aster Capital Partners. Au cours de cette même année, le FMO a rejoint le capital de Ziz Energy via un investissement de 500 000 euros. Une année plus tard en 2021, la BII et le FMO ont réalisé une seconde levée de fonds au profit de Ziz Energy, avec des mises de 4 millions d’euros pour chacune de ces institutions.

    Chamberline Moko



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  • Harith General Partners rachète 46 % de Mergence Investment Managers pour augmenter ses investissements en Afrique

    Harith General Partners rachète 46 % de Mergence Investment Managers pour augmenter ses investissements en Afrique

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    (Agence Ecofin) – L’opération devrait aider les deux firmes de private equity à déployer leurs 3,1 milliards de dollars d’actifs combinés pour soutenir des projets d’infrastructures et d’autres investissements en Afrique. 

    La firme sud-africaine de private equity Harith General Partners a racheté une participation de 46% dans sa rivale Mergence Investment Managers en vue de mobiliser plus d’investissements dans les projets d’infrastructures en Afrique, a rapporté Bloomberg, mercredi 11 octobre, citant un dirigeant de l’entreprise.  

    « L’acquisition aidera les deux sociétés à déployer leurs 59 milliards de rands (3,1 milliards de dollars) d’actifs combinés pour soutenir des projets d’infrastructures et d’autres investissements en Afrique », a déclaré le directeur général de Harith General Partners, Sipho Makhubela, sans dévoiler le montant de la transaction.

    « Les chiffres actuels ne sont pas bons pour l’Afrique, en ce qui concerne les investissements nécessaires pour répondre à ses besoins croissants en matière d’infrastructures. C’est la raison pour laquelle nous comptons développer Mergence en tant qu’entreprise de services financiers, en privilégiant les actifs liés aux infrastructures », a-t-il ajouté.

    M.Makhubela a également précisé que l’opération doit permettre à Mergence d’investir dans des secteurs tels que l’énergie propre, l’eau et les infrastructures numériques et sociales, tout en étendant les activités à d’autres pays africains.

    Mergence est un gestionnaire d’actifs qui se concentre essentiellement sur les investissements cotés et les fonds spécialisés dans les actions et la dette et le capital-investissement.

    Fondée en 2006, Harith General Partners a essentiellement investi dans des projets d’infrastructures dans huit pays africains, dont le plus grand parc éolien d’Afrique qui a été installé au Kenya.

    « L’urbanisation du continent, sa population croissante et jeune, sa mobilité, ses ressources naturelles, ses progrès en matière de télécommunications et de digitalisation ainsi que ses échanges commerciaux intrarégionaux vont stimuler une croissance économique significative. Investir dans les infrastructures nécessaires à cette croissance est une bonne décision commerciale », a déclaré M. Makhubela.

    Lire aussi:

    16/09/2021 – ARM-Harith lance un fonds d’infrastructures climatiques urbaines de 250 millions $ pour l’Afrique de l’Ouest

    06/09/2018 – Malawi: Open Connect fait de Harith General Partners Ltd son actionnaire majoritaire

    23/06/2016 – L’AFC et Harith partent ensemble à la conquête du marché énergétique africain

    20/11/2013 – Harith General Partners acquiert FMFML, gestionnaire du fonds Emerging Africa Infrastructure Fund



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  • La Gambie prévoit de lancer un marché boursier pour élargir les options de financement de ses entreprises

    La Gambie prévoit de lancer un marché boursier pour élargir les options de financement de ses entreprises

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    (Agence Ecofin) – Pour lever des fonds, les entreprises gambiennes comptent essentiellement sur des emprunts bancaires à des taux qui peuvent atteindre 20%, malgré la création par la Banque centrale et les banques locales d’un Bureau de crédit permettant un échange d’informations sur les antécédents de crédit des clients.

    La Gambie prévoit de lancer sa première bourse de valeurs mobilières afin d’élargir les options de financement pour ses entreprises, a rapporté Bloomberg, lundi 9 octobre, citant le second gouverneur adjoint de la Banque centrale, Paul Mendy. 

    « La Bourse qui sera baptisée Capital Market of The Gambia commencera ses opérations à la Banque centrale […] et n’aura pas de directeur général pour aider à maintenir les coûts bas », a déclaré M. Mendy, indiquant que le nouveau marché boursier améliorera les options dont disposent les entreprises pour lever des fonds.

    Pour se financer, les entreprises comptent essentiellement sur des emprunts à des taux d’intérêt très élevés, qui peuvent aller jusqu’à 20 %, malgré la création par la Banque centrale et les banques locales d’un Bureau de crédit permettant un échange d’informations sur les engagements financiers et les antécédents de crédit des clients des établissements bancaires.

    « L’architecture financière de la Gambie est limitée depuis l’indépendance. Elle n’est pas en mesure de répondre aux besoins financiers et économiques du pays et de ses citoyens, pour une croissance économique durable et la réduction de la pauvreté », avait reconnu le ministre gambien des Finances, Seedy Keita, dans un discours prononcé le 29 septembre dernier.

    Lire aussi:

    09/10/2017 – Le nigérian Skye Bank Plc veut se désengager de la Guinée Conakry, de la Gambie et de la Sierra Léone

    15/05/2014 – Access Bank reprend le contrôle de sa filiale gambienne en y injectant 15,2 millions $

    07/05/2014 – La Banque centrale de Gambie prend le contrôle de deux filiales de banques nigérianes



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  • Kenya : une commission d’enquête parlementaire presse le gouvernement de mettre fin au projet de cryptomonnaie Worldcoin

    Kenya : une commission d’enquête parlementaire presse le gouvernement de mettre fin au projet de cryptomonnaie Worldcoin

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    (Agence Ecofin) – Le projet, qui repose sur une cryptomonnaie et un système d’identification par l’intermédiaire d’un scan de l’iris, suscite les craintes liées à la protection des données personnelles dans plusieurs pays occidentaux, où des enquêtes ont été ouvertes sur la légalité de la collecte des données biométriques.

    Une commission d’enquête parlementaire kényane a recommandé au gouvernement de mettre fin au projet de cryptomonnaie très controversé Worldcoin, qui avait été lancé fin juillet dernier dans le pays par Sam Altman, le patron de la start-up d’intelligence artificielle OpenAI.

    Le ministère kényan de l’Intérieur avait annoncé, début août, la suspension de ce projet qui repose sur une plateforme d’identité numérique et une cryptomonnaie dotée d’un système d’identification à partir de l’iris humain. Concrètement, la plateforme demande aux utilisateurs de se soumettre à un scan de leur iris par « un orbe » sphérique et brillant, un appareil biométrique développé par Worldcoin, en échange d’une carte d’identité numérique et, dans certains pays, de cryptomonnaies gratuites, dans le cadre de la création d’un nouveau « réseau d’identité et financier ».

    Le projet Worldcoin avait été lancé le 24 juillet dernier par Tools for Humanity, une société cofondée par Sam Altman, dans une vingtaine de pays, dont le Kenya.

    Malgré sa suspension pour « des raisons de sécurité », ce projet a toujours une présence virtuelle au Kenya et il est possible d’y accéder par le biais d’internet.

    « L’Autorité de régulation des communications du Kenya devrait désactiver les plateformes virtuelles de Tools for Humanity Corp et de Tools for Humanity GmbH Germany (Worldcoin), y compris en mettant sur une liste noire les adresses IP des sites web concernés », a souligné la commission d’enquête composée de 18 députés, dans un rapport rendu public le 2 octobre.

    La commission a également pressé le gouvernement de « suspendre la présence physique de ces deux entreprises au Kenya jusqu’à ce qu’il y ait un cadre juridique pour la réglementation des crypto-actifs et des fournisseurs de services virtuels », indiquant que « Worldcoin pourrait avoir déjà scanné des iris de mineurs, car il n’y avait pas de mécanisme de vérification de l’âge sur la plateforme ».

    Selon Sam Altman, le but du projet Worldcoin est de permettre à « tous les humains de payer par données biométriques en scannant leurs iris » et de « distinguer les êtres humains de l’intelligence artificielle en ligne ».

    Outre le Kenya, ce projet suscite les craintes des autorités de protection des données personnelles en France, en Allemagne, au Royaume-Uni, où des enquêtes ont été déjà ouvertes sur la légalité de la collecte des données biométriques et les conditions de leur stockage.

    Lire aussi:

    02/08/2023 – Kenya : le gouvernement suspend le projet de cryptomonnaie Worldcoin pour des raisons de sécurité

    21/02/2021 – En test au Kenya, la carte de la cryptomonnaie d’Akon sera déployée en Afrique dès la fin de l’année

    14/11/2018 – Un géant nippon de l’assurance s’allie au Kényan BitPesa dans les transferts financiers transfrontaliers via les cryptomonnaies

    02/02/2018 – Kenya : le groupe BlazeBay lance « Nurucoin », la toute première cryptomonnaie africaine



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  • À Lomé, 17 pays posent les jalons de l’accès équitable aux engrais (et d’une révolution agricole en Afrique)

    À Lomé, 17 pays posent les jalons de l’accès équitable aux engrais (et d’une révolution agricole en Afrique)

    Dans les années à venir, l’Afrique subsaharienne veut rendre l’engrais accessible et disponible à tous les producteurs,  petits ou grands. Qu’il soit de source minérale ou organique, il reste pour les États, un produit stratégique, sans frontières, et libre de circuler sans entrave.

    Réunis  à Lomé à l’occasion  d’une table ronde de haut niveau, trois chefs d’État – Faure Essozimna Gnassingbé (Togo), Mohamed Bazoum (Niger, et aussi président en exercice de l’Uemoa), Umaro Sissoco Embaló (Guinée-Bissau, président en exercice de la Cedeao) – ainsi que des ministres des Finances, de l’Agriculture et des Mines de dix-sept pays d’Afrique ont décidé de se joindre aux partenaires, dont la Banque Mondiale, pour définir une feuille route sur l’accès aux engrais par les agriculteurs locaux en vue d’augmenter les capacités de production.

    Encourager les investissements privés

    « Je tiens à exprimer l’engagement fort de la Banque mondiale à soutenir les efforts visant à améliorer la santé et la fertilité des sols en Afrique de l’ouest et au Sahel », a déclaré  le vice-président pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale, Ousmane Diagana, devant les chefs d’État. Ce dernier n’exclut pas, en vue de faciliter l’acquisition des engrais, l’instauration de mécanismes de subventions efficaces avec le secteur privé.

    D’ici à 2025, l’institution financière de Bretton Woods prévoit d’augmenter les investissements dans le secteur de 4 milliards des fonds IDA actuellement approuvés et en cours d’exécution à  5,5 milliards de dollars.

    « Nous allons soutenir les réformes spécifiques à travers la filière des engrais dans le but de promouvoir un environnement favorable aux investissements privés, et d’améliorer la production locale des engrais surtout dans les pays disposant de matières premières », a-t-il ajouté.

    Doubler la production locale

    Face aux prévisions alarmistes du « Cadre harmonisé » d’avril dernier qui indiquent une période de soudure, entre les mois de juin et d’août prochains, pour près de 43 millions de personnes dans la région, les États ont davantage intérêt à aller au-delà des engagements politiques pour parvenir à une production locale des engrais en complément aux importations.

    En 2023, la capacité de production d’engrais de la région s’élève à 6,2 millions tonnes d’urée, 250 000 t d’engrais phosphatés, 15 millions de t de mélange et 226 000 t d’’organique. Si certains pays sortent du lot de la transformation locale à l’instar du Nigeria, d’autres en revanche concrétisent le lancement de leur usine ou la mobilisation des ressources financières. C’est le cas du Niger, où une usine d’exploitation du gaz et du phosphate en urée et engrais phosphaté verra bientôt le jour,  ainsi qu’au  Togo avec NutriSource.

    Au Burkina Faso, la construction d’un complexe industriel de production d’engrais à base de phosphate d’un coût de 60 milliards de francs CFA a reçu l’adhésion lors des échanges de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD), qui a ouvertement affiché son intérêt pour ce projet. La Banque de développement basée à Lomé apporte, selon le vice président Moustafa Ben Barka, depuis plus de 20 ans, un appui  financier à l’Industrie chimique du Sénégal (ICS), qui s’apprête à entamer d’ici 2024, l’exploitation des premières potentialités de gaz  en urée.

    … et l’importation en groupe

    Malgré les capacités de production nationales, la demande apparaît forte et les pays sont confrontés à une importation à des coûts souvent élevés, qui pèsent sur les tarifs de vente aux producteurs. Dans ce lot, les petits producteurs sont quasiment lésés, et ceux qui sont trop peu organisés et disposent de faibles moyens financiers restent tout bonnement sur le carreau. De ce fait, la réunion de Lomé a déclaré pour les États membres de la Cedeao, de l’Uemoa et du Cils l’urgence d’améliorer l’ accès aux engrais minéraux et organiques en facilitant les petits crédits pour l’acquisition des intrants.

    Dans une déclaration, les États se sont résolus à éliminer progressivement les droits et taxes sur les engrais et les autres matières premières fertilisantes. Ils s’engagent à simplifier les formalités douanières et administratives des importations afin de réduire les délais d’admission des produits et, par conséquent, de minimiser les coûts.

    Enfin, au niveau régional, ils se sont accordés à mettre en place un comité ouest-africain de contrôle de la qualité des engrais qui pourrait, sur le long terme, commander directement en gros les engrais pour les États afin de voir baisser les coûts ; et ainsi apporter des appuis au groupement régional des importateurs  pour effectuer en un seul lot les achats auprès des industriels au profit des producteurs.

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  • Le Nobel de la paix récompense la militante iranienne Narges Mohammadi

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    Fin du suspense: le prix Nobel de la paix 2023 a été décerné à Narges Mohammadi, journaliste et militante iranienne des droits humains emprisonnée à Téhéran, a annoncé ce vendredi le comité Nobel norvégien.

    La militante et journaliste de 51 ans est récompensée “pour son combat contre l’oppression des femmes en Iran et sa lutte pour la promotion des droits humains et la liberté pour tous”, a déclaré la présidente du comité Nobel norvégien, Berit Reiss-Andersen, à Oslo.

    Elle est détenue dans une geôle de la République islamique après avoir pris part au soulèvement “Femme, Vie, Liberté”, un mouvement qui a dénoncé la situation des femmes en Iran après la mort de Mahsa Amini, une jeune femme arrêtée à Téhéran pour n’avoir pas porté son voile correctement.

    Sur fond de guerre en Ukraine, le Nobel avait couronné l’an dernier un trio hautement symbolique de champions des droits: l’ONG russe Memorial -officiellement dissoute en Russie -, le Centre ukrainien pour les libertés civiles (CCL) et le militant bélarusse emprisonné Ales Beliatski.

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  • Joe Biden va bâtir des segments du mur voulu par Donald Trump à la frontière mexicaine

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    Virage politique pour le président américain Joe Biden? L’arrêt de la construction de segments supplémentaires du mur frontalier avec le Mexique était, en tout cas, une de ses premières mesures.

    L’administration du président américain Joe Biden a déclaré ce jeudi qu’elle allait bâtir des segments supplémentaires du mur frontalier avec le Mexique afin d’endiguer des flux records de migrants, un virage politique présenté comme forcé qui épouse une mesure phare de l’ancien président républicain Donald Trump.

    Donald Trump, favori pour l’investiture du Parti républicain en vue de l’élection présidentielle de l’an prochain, a remporté le scrutin de 2016 en promettant notamment de bâtir un mur le long de la frontière sud des États-Unis pour empêcher les arrivées de migrants.

    L’une des premières mesures de Joe Biden à son arrivée à la Maison-Blanche, en janvier 2021, après avoir battu Donald Trump trois mois plus tôt, fut de proclamer que plus un seul dollar des contribuables américains ne serait “détourné” pour construire un mur frontalier. Il avait aussi demandé un examen de toutes les ressources déjà engagées pour le projet.


    “Joe Biden va-t-il s’excuser auprès de moi et de l’Amérique pour avoir mis autant de temps à agir…”

    Donald Trump demande des excuses

    Via les réseaux sociaux, Donald Trump a rapidement réagi à l’annonce de l’administration Biden, revendiquant une victoire et demandant des excuses. “Comme je l’ai régulièrement dit, il y a seulement deux choses qui ont fonctionné de manière consistante depuis des milliers d’années: les roues, et les murs!”, a-t-il écrit.

    “Joe Biden va-t-il s’excuser auprès de moi et de l’Amérique pour avoir mis autant de temps à agir…”, a-t-il ajouté.

    Justification du clan Biden

    Des représentants de l’administration Biden ont déclaré que la démarche ne s’écartait pas de la promesse du président démocrate, des fonds alloués par l’administration Trump en 2019 devant être utilisés maintenant.

    À la question de savoir si un mur frontalier était efficace, Joe Biden a répondu “non” devant des journalistes, ajoutant qu’il ne pouvait toutefois “pas stopper” le projet.

    L’immigration, un thème majeur de campagne

    L’immigration devrait être l’un des thèmes majeurs de la campagne électorale l’an prochain. Un sondage réalisé par Reuters/Ipsos en septembre montre que 54% des personnes interrogées estiment que l’immigration rend la vie plus difficile pour ceux nés aux États-Unis.

    La décision de l’administration Biden devrait susciter des critiques de sa base progressiste, dont les défenseurs de l’environnement opposés à davantage de travaux.

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  • Le coût des financements en devises étrangères est une préoccupation majeure pour les banques africaines en 2023

    Le coût des financements en devises étrangères est une préoccupation majeure pour les banques africaines en 2023

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    (Agence Ecofin) – Seuls 4 % des banques africaines ont émis en devises fortes au cours de l’année 2022 selon une récente enquête de la BEI sur le secteur bancaire en Afrique.  Le document fait ressortir une série de difficultés, anciennes et nouvelles, rencontrées par les banques africaines depuis l’avènement de la Covid-19.

    Le coût ou la disponibilité des financements en devises étrangères est l’une des plus grandes préoccupations des banques africaines en 2023, selon l’enquête sur le secteur bancaire africain, publiée en fin septembre par la Banque européenne d’investissement (BEI). Le document révèle que les banques africaines trouvent plus difficile et plus coûteuse, l’émission d’obligations en devises fortes.

    Ce problème s’est ressenti en 2022, à la suite du déclenchement de la guerre en Ukraine et s’est accentué en 2023, du fait du durcissement des conditions financières à l’échelle mondiale. Ce durcissement qui résulte d’une forte inflation a contraint les banques centrales du monde, y compris en Afrique, à relever leurs taux d’intérêt, rendant ainsi le crédit plus cher.

    « Seuls 4 % des banques africaines ont émis en devises fortes au cours de l’année 2022 et il n’y a pratiquement pas eu d’émissions obligataires en devises fortes de la part d’emprunteurs souverains moins bien notés », souligne la BEI. L’institution financière indiquant toutefois que ce problème de disponibilité de devises étrangères ne pèse pas encore sur la rentabilité des banques.

    Et pourtant, le coût des financements en devises étrangères n’était pas une préoccupation pour les banques africaines, il y a deux ans. Après l’apparition de la pandémie de Covid-19, « la principale préoccupation du secteur bancaire en 2021 était la qualité des actifs », fait savoir la BEI. « 47 % des banques la citant comme l’un de leurs principaux obstacles », poursuit la BEI.

    L’institution financière européenne note qu’avant la venue de ces difficultés, les banques à l’échelle mondiale, y compris africaines ont connu une période d’abondance de liquidités. La BEI situe cette période entre décembre 2011 et mi 2013. Elle était marquée par un excédent de liquidités, avec des taux directeurs réduits et l’inflation en recul.

    Chamberline Moko



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  • Après la SFI, Finnfund engage 15 millions $ dans le 3e fonds de Metier, centré sur des entreprises africaines

    Après la SFI, Finnfund engage 15 millions $ dans le 3e fonds de Metier, centré sur des entreprises africaines

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    (Agence Ecofin) – Les 15 millions $, qui seront alloués à Metier Capital Growth Fund III, serviront à financer des entreprises évoluant dans des secteurs tels que les TIC, l’industrie manufacturière.

    Annonçant en fin septembre, l’obtention imminente de nouveaux engagements, pour son troisième fonds d’investissement, la firme sud-africaine de private equity Metier s’apprête à recevoir 15 millions $ de Finnfund. Cette institution financière finlandaise a annoncé, mercredi 4 octobre, qu’elle s’engagera dans le fonds Metier Capital Growth Fund III, dans l’optique d’aider ce véhicule à atteindre sa taille cible de 200 millions $.

    « Grâce à cet investissement, Finnfund vise à fournir un financement ainsi que de la formation et le développement des compétences entrepreneuriales aux entreprises axées sur la croissance […] en Afrique subsaharienne », assure Riikka Molander, directrice associée et responsable des fonds chez Finnfund.

    Ces 15 millions $, qui seront alloués à Metier Capital Growth Fund III, serviront à financer des entreprises évoluant dans des secteurs tels que les TIC, l’industrie manufacturière. L’investisseur d’impact finlandais vient à la suite de la Société financière internationale (SFI) qui, en juillet dernier, avait réalisé une prise de participation de 25 millions $ et un co-investissement de 15 millions $ dans Metier Capital Growth Fund III.

    Ce troisième fonds d’investissement de Metier a déjà réalisé un premier closing à 182 millions $, fin septembre. Le véhicule qui succède à Metier Growth Fund I et II espère lever 200 millions $ lors de sa clôture finale.

    Chamberline Moko



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