Category: Economie

  • Après la Côte d’Ivoire, la banque digitale d’Orange poursuit son expansion au Sénégal

    Après la Côte d’Ivoire, la banque digitale d’Orange poursuit son expansion au Sénégal

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    (Agence Ecofin) – Orange Bank Africa a obtenu l’avis favorable de la Commission bancaire de l’Union monétaire ouest-africaine en vue de l’ouverture d’une filiale au Sénégal. L’initiative intervient 3 ans après le lancement des activités de cette banque digitale en Côte d’Ivoire.

    Orange Bank Africa (OBA), la banque digitale du groupe Orange, présente depuis 2020 sur le marché bancaire ivoirien, étendra ses activités au Sénégal. Jean Louis Menann-Kouamé, directeur général d’OBA, a annoncé ce jeudi 5 octobre sur sa page LinkedIn, avoir été informé par la Commission bancaire de l’UMOA (Union monétaire Ouest-Africaine), de sa décision favorable en vue de l’ouverture d’une succursale d’Orange Bank Africa au Sénégal.

    Selon le M. Menann-Kouamé, cette expansion ouest-africaine vise à « faire bénéficier aux Sénégalais […] d’une offre bancaire digitale simple de crédit instantané de 5 000 à 1 000 000 FCFA au profit des clients Ornage Money ».

    Cette expansion au Sénégal avait été annoncée en mai dernier par le CEO d’Orange Bank Africa, qui indiquait à cette période qu’il travaillait sur ce projet de développement ainsi que sur l’évolution de l’offre de prêt digital de la banque. Début juillet 2023, l’établissement détenu à 85 % par le groupe Orange, Orange Côte d’Ivoire et la Sonatel a conclu avec la Société financière internationale (SFI), un mécanisme de partage de risque, devant permettre l’extension de ses opérations de prêts numériques aux micro et PME de Côte d’Ivoire et ensuite du Sénégal, une fois qu’il aura reçu l’accord d’y exercer.

    A travers cette garantie, OBA expliquait vouloir accorder 300 000 prêts supplémentaires d’ici 2025, à des micro-entreprises, à de jeunes entrepreneurs des zones rurales ainsi qu’à des agents Mobile Money et commerçants acceptant des paiements numériques. 

    Au Sénégal où Orange Bank Africa prévoit de lancer ses activités dans les prochains mois, 63 % des micro, petites et moyennes entreprises rencontrent des difficultés pour obtenir un prêt ou une ligne de crédit, selon le rapport du groupe de la Banque mondiale sur les lacunes en matière de financement des MPME (MSME Finance Gap Report).

    Soulignons qu’en 3 ans d’activité en Côte d’Ivoire, Orange Bank Africa affirme avoir accordé, sous forme de micro-crédits, près de 230 milliards de francs CFA à ses clients. La banque créée en 2020 en partenariat avec le groupe de bancassurance NSIA prévoit de poursuivre son développement au Mali et au Burkina Faso, « dans un avenir proche ». 

    Chamberline Moko



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  • Choose Africa 2 : l’AFD prévoit de mobiliser 200 millions d’euros dès 2024 pour appuyer les PME de 4 pays africains

    Choose Africa 2 : l’AFD prévoit de mobiliser 200 millions d’euros dès 2024 pour appuyer les PME de 4 pays africains

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    (Agence Ecofin) – Après Choose Africa I, le groupe AFD et la banque française Bpifrance annoncent le lancement de Choose Africa II. Cette deuxième initiative ne s’adressera plus uniquement aux PME et start-ups africaines, mais aussi aux Etats africains et au secteur informel.

    La deuxième phase de l’initiative Choose Africa a été annoncée mercredi 4 octobre par l’Agence française de développement (AFD) et la Bpifrance. Dénommée Choose Africa 2, cette initiative s’étendra sur la période 2023-2027. Elle sera mise en œuvre par la banque publique d’investissement française Bpifrance et le groupe AFD.

    Au-delà du soutien d’entrepreneurs, Choose Africa 2 a élargi son offre, en incluant des Etats africains. Quatre pays sont concernés, dans un premier temps. Il s’agit du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Sénégal et du Togo. Ces Etats recevront dès 2024, une enveloppe financière d’environ 200 millions d’euros, pour développer des dispositifs publics d’appui à l’entrepreneuriat. Cet appui financier sera débloqué sous forme de subventions et de prêts souverains. Il servira à accompagner ces quatre pays africains dans la mise en œuvre de stratégies de soutien à l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes.

    En plus d’avoir élargi son offre à des Etats africains, l’initiative Choose Africa II s’étendra également aux entreprises africaines du secteur informel. Ces entrepreneurs de l’informel ainsi que des PME formelles et structurées bénéficieront de facilités de crédit, qui serviront à renforcer leurs fonds propres ainsi que des programmes de formation en ligne, visant à renforcer leurs activités. Près de 22 500 start-up, très petites entreprises (TPE) et petites et moyennes entreprises (PME) africaines, sont visées par cet accompagnement financier et technique de Choose Africa 2.

    Le soutien annoncé au secteur privé africain sera mis en œuvre par Proparco, la branche de l’AFD dédiée au financement des entreprises privées. Bpifrance se chargera d’accompagner des entreprises françaises et africaines souhaitant développer leurs activités en Afrique.

    « Avec Choose Africa 2, nous continuerons d’investir pour renforcer et améliorer le système de soutien aux entreprises existantes. Il s’agit en outre de mobiliser les leviers techniques et financiers pour toucher plus largement les très petites entrepreneuses et petits entrepreneurs, y compris du secteur informel, en proposant des montants sur mesure », a fait savoir Papa Amadou Sarr, directeur exécutif Mobilisation, partenariats et communication de l’AfD.

    Précisons que le programme Choose Africa II vient à la suite de Choose Africa I, annoncé en 2018 à Ouagadougou par le président français Emmanuel Macron. Ce programme a permis au groupe AFD d’engager 3 milliards d’euros, sous forme de prêts, d’investissements en capital et d’accompagnement technique au profit de 26 000 start-up, TPE et PME africaines, d’une diversité de secteurs d’activités. Précisons qu’en Afrique, les start-up, TPE et PME représentent en moyenne 60 % de l’emploi formel et 40 % des PIB nationaux. 

    Chamberline Moko



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  • Le courtier d’assurance Oléa étend ses activités au Mali

    Le courtier d’assurance Oléa étend ses activités au Mali

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    (Agence Ecofin) – Après l’Afrique du Sud en 2022, le courtier d’assurance panafricain Oléa annonce son expansion au Mali. Ce pays d’Afrique de l’Ouest devient ainsi la 24e filiale africaine d’Oléa.

    Oléa Insurance Solutions Africa, courtier d’assurance généraliste proposant des solutions vie et non-vie, dans 24 pays africains, a annoncé ce mardi 3 octobre sur sa page LinkedIn, l’ouverture d’une nouvelle filiale au Mali. Oléa Mali qui sera dirigée par Ibrahim Diakité devient la 24e filiale africaine d’Oléa. L’entité proposera des solutions d’assurance sur mesure, de courtage d’assurance et de réassurance.

    « C’est un nouveau chapitre passionnant dans notre engagement continu envers l’assurance de qualité en Afrique », a commenté Oléa, après l’annonce de son expansion au Mali. Le courtier cofondé en 2017 par Olivier Canuel et Olivier Dubois renforce ainsi son activité et sa présence sur le continent africain.

    Cette expansion au Mali intervient plus d’un an après l’acquisition par Oléa, d’une part majoritaire au capital de l’entreprise sud-africaine de services financiers, groupe Apio. L’opération annoncée en janvier 2022 s’inscrivait dans la stratégie d’expansion d’Oléa sur des marchés africains à forte croissance.

    Précisons qu’Oléa a débuté son expansion africaine en avril 2018, plus précisément en Afrique de l’Est et du Sud, via l’acquisition de participations dans des courtiers d’assurance au Kenya, au Rwanda, en Tanzanie, en Zambie, en Angola et au Mozambique.

    Chamberline Moko



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  • Un nouveau fonds d’investissement soutenu par Carlyle et Aliko Dangote prévoit d’investir 500 millions $ en Afrique

    Un nouveau fonds d’investissement soutenu par Carlyle et Aliko Dangote prévoit d’investir 500 millions $ en Afrique

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    (Agence Ecofin) – Le véhicule d’investissement, qui a déjà mobilisé 140 millions de dollars, prévoit d’investir dans plusieurs secteurs, dont les télécommunications, la technologie, la logistique et le commerce de détail.

    La firme de capital-investissement Alterra Capital Partners a lancé un nouveau fonds dédié à l’Afrique, qui cible une taille finale de 500 millions de dollars, avec le soutien du géant américain du private equity Carlyle Group et le milliardaire nigérian Aliko Dangote, rapporte Bloomberg, ce mercredi 4 octobre.

    « Les cofondateurs de Carlyle, David Rubenstein et Bill Conway, figurent parmi les investisseurs dans le fonds qui prévoit de lever jusqu’à 500 millions de dollars au cours des prochains mois », a déclaré Genevieve Sangudi, associée à Alterra Capital Partners, indiquant que 140 millions de dollars ont été déjà mobilisés lors du premier closing.

    « Alterra prévoit d’investir dans les secteurs des télécommunications, de la technologie, de la logistique, de la santé, de la consommation et du commerce de détail », a-t-elle ajouté.

    Mme Sangudi a également précisé que l’homme le plus riche d’Afrique Aliko Dangote figure parmi les investisseurs dans le nouveau fonds, aux côtés de Standard Bank Group (Afrique du Sud), de la Société financière internationale (IFC), de Norfund AS (Norvège), de Deutsche Investitions- und Entwicklungsgesellschaft GmbH (DEG/Allemagne) et du fonds AfricaGrow d’Allianz.

    Elle a d’autre part estimé que la conjoncture actuelle représente le bon timing pour investir sur le continent.

    « C’est un excellent moment pour investir en Afrique, car de nombreux paramètres macroéconomiques actuels offrent des opportunités d’investissement potentiellement intéressantes. Par exemple, les défis en matière d’énergie à travers le continent offrent des opportunités d’investissement dans des solutions privées d’énergie distribuée, tandis que la technologie continue de stimuler la transformation numérique de l’Afrique à un rythme rapide », a-t-elle expliqué.

    Alterra Capital Partners a été fondée en 2020 par d’anciens membres de l’équipe de Carlyle Group en Afrique. À la mi-2020, au plus fort de la pandémie du coronavirus, cette nouvelle société a repris la gestion des actifs du colosse américain du capital-investissement sur le continent. Depuis, Alterra Capital Partners a réalisé des sorties du tour de table de six entreprises figurant dans son portefeuille, et a réussi à restituer environ 600 millions de dollars aux investisseurs.  

    Lire aussi:

    22/08/2023 – Private Equity : Carlyle a inscrit le Gabon dans le top 5 des plus importantes transactions en Afrique en 2023

     29/05/2020 – L’américain Carlyle jette l’éponge en Afrique subsaharienne et transmet son fonds dédié à cette région à des ex-employés

    16/10/2019 – La société américaine d’investissements Carlyle fait son entrée au capital du pétrolier Cepsa

    02/10/2019 – L’américain Carlyle Group annonce des acquisitions de 1 milliard $ dans le secteur pétrolier en Afrique subsaharienne



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  • La SFI et Proparco engagent chacun 17,5 millions $ dans un projet immobilier au Rwanda

    La SFI et Proparco engagent chacun 17,5 millions $ dans un projet immobilier au Rwanda

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    (Agence Ecofin) – Porté par le conglomérat français Duval, le projet Inzovu Mall, constitué de centres commerciaux et de loisirs, sera en partie financé par les institutions financières, Proparco et SFI. D’autres investisseurs apporteront le montant restant. 

    La SFI et Proparco, deux institutions de financement dédiées aux entreprises privées dans les pays en développement, ont annoncé dans un communiqué conjoint, publié ce mardi 3 octobre, l’octroi d’un prêt de 17,5 millions $, pour chacune d’entre elles, en faveur du groupe familial français Duval.

    La ressource servira à financer la construction et l’exploitation d’une zone commerciale au Rwanda. Dénommée Inzovu Mall, ce projet abritera une résidence hôtelière, des bureaux et espaces de coworking, ainsi que des centres de loisirs.

    « Ce projet aidera le Rwanda à répondre à la demande croissante d’infrastructures commerciales, tout en stimulant les secteurs de la distribution et de la construction dans le pays », a fait savoir Amena Arif, responsable de la SFI au Rwanda.

    Le coût total du projet Inzovu Mall est estimé à 70 millions d’euros. En dehors des fonds apportés par Proparco et la SFI, le groupe Duval mobilisera le financement restant auprès d’investisseurs étrangers. Précisons que ce projet était en examen depuis mai dernier dans le portefeuille de la SFI.

    A travers cette initiative, le conglomérat engagé dans l’immobilier et l’hôtellerie Duval poursuit son développement en Afrique. La holding dirigée par Pauline Boucon Duval est implantée dans 9 pays d’Afrique centrale et de l’Ouest.

    Chamberline Moko



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  • Le Kenya engage Citigroup et Standard Bank pour le conseiller sur la gestion de son eurobond de 2 milliards $

    Le Kenya engage Citigroup et Standard Bank pour le conseiller sur la gestion de son eurobond de 2 milliards $

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    (Agence Ecofin) – La première économie d’Afrique de l’Est est appelée à rembourser ou à refinancer ses euro-obligations arrivant à échéance en juin 2024, à un moment où la hausse des taux d’intérêt a exclu l’écrasante majorité des pays africains des marchés financiers internationaux.

    Le gouvernement kényan a engagé le groupe bancaire américain Citigroup et son homologue sud-africain Standard Bank pour le conseiller sur la gestion d’un eurobond de 2 milliards de dollars, qui arrivera à échéance en juin 2024, a rapporté Reuters, ce lundi 2 octobre, citant un haut fonctionnaire kényan.

    « Citigroup et Standard Bank aideront le gouvernement à gérer l’échéance », a déclaré le directeur de la gestion de la dette au ministère des Finances, Haron Sirima, sans plus de précision.

    Le Kenya doit rembourser ou refinancer ces euro-obligations, à un moment où la hausse des taux d’intérêt a exclu l’écrasante majorité des pays africains des marchés financiers internationaux.

    La dette publique élevée de la première économie d’Afrique de l’Est, qui avait atteint 67,4 % du produit intérieur brut (PIB) à fin 2022, la dépréciation du shilling kényan par rapport au dollar américain et l’envolée de la facture des importations alimentent depuis plusieurs mois les craintes sur un éventuel défaut de paiement sur cet eurobond émis par Nairobi en 2014.

    Le directeur du département Afrique du Fonds monétaire international (FMI), Abebe Aemro Sélassié, avait déclaré, à la mi-avril 2023, qu’il ne « s’attendait pas à ce que le Kenya demande la restructuration de sa dette au titre du cadre commun du G20, malgré les tensions actuelles et le remboursement imminent d’un eurobond ».   

    Lire aussi:

    19/06/2023 – Le Kenya envisage le rachat d’une partie de son eurobond de 2 milliards $ arrivant à échéance en juin 2024

    20/04/2023 – Le Kenya prévoit l’émission d’un eurobond durant l’exercice 2023/2024

    18/06/2021 – Le Kenya lève 1 milliard $ sur son dernier eurobond, mais à un coût qui reste élevé

    23/05/2019 – Démarrage de la cotation du 3ème eurobond kényan sur la Bourse irlandaise



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  • Zambie : First Capital Bank obtient un prêt de 10 millions $ pour financer des PME du secteur agricole

    Zambie : First Capital Bank obtient un prêt de 10 millions $ pour financer des PME du secteur agricole

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    (Agence Ecofin) – Après First Capital Bank Malawi et Zimbabwe, First Capital Bank Zambia devient la troisième filiale de la holding mauricienne FMBcapital Holdings Plc, à bénéficier d’un prêt de la Banque européenne d’investissement. La ressource servira à financer le secteur privé agricole zambien.

    La banque commerciale First Capital Bank Zambia a conclu, jeudi 28 septembre, un accord de prêt d’un montant de 10 millions $, avec la Banque européenne d’investissement (BEI). La ligne de crédit sera rétrocédée à des petites et moyennes entreprises (PME) du secteur agricole, ceci dans le but de combler le déficit de financement existant dans ce secteur en Zambie.

    First Capital Bank Zambia, détenue à 49 % par la holding financière mauricienne FMBcapital Holdings Plc, est la troisième filiale du groupe FMBcapital Holdings qui bénéficie d’un financement de la BEI, après First Capital Bank Malawi et First Capital Bank Zimbabwe.

    La signature de cet accord de prêt intervient quelques jours après la visite survenue du 25 au 27 septembre derniers, du vice-président de la BEI, Thomas Östros, en Zambie. Au cours de cette visite, M. Östros a indiqué que la Zambie sera le premier pays africain à bénéficier de la nouvelle initiative panafricaine de financement du secteur agricole et agro-industriel lancée par la BEI et dotée d’une enveloppe globale de 400 millions d’euros.

    Il faut souligner que la Zambie est le plus grand pays d’intervention de la BEI en Afrique australe. Au cours des cinq dernières décennies, l’institution financière affirme avoir alloué plus de 1,2 milliard d’euros à des investissements dans les secteurs des entreprises, de l’eau, de l’énergie et des transports dans ce pays d’Afrique australe.

    Chamberline Moko



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  • Afrique du Sud : l’assureur Root lève 1,5 million $ pour financer son expansion au Royaume-Uni

    Afrique du Sud : l’assureur Root lève 1,5 million $ pour financer son expansion au Royaume-Uni

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    (Agence Ecofin) – Après un premier investissement réalisé en 2021, le capital-risqueur Invenfin Investment se renforce dans le tour de table de la compagnie Root, dans l’optique de soutenir sa croissance à l’international.

    Root Platform, compagnie d’assurance numérique et intégrée sud-africaine, a annoncé le 27 septembre dernier, l’obtention d’un investissement supplémentaire de 1,5 million $. La ressource a été fournie par Invenfin investment, la branche de capital-risque et de capital-croissance de la holding d’investissement, Remgro Limited. Elle servira à financer l’expansion de l’assureur sud-africain au Royaume-Uni et dans le reste de l’Europe.

    « Nous avons construit un partenariat de confiance avec Invenfin depuis qu’ils ont investi dans notre entreprise, il y a deux ans, et je suis ravi qu’ils voient un potentiel supplémentaire dans notre stratégie de croissance et souhaitent continuer à investir dans notre avenir à mesure que nous nous développons à l’échelle internationale », a indiqué Louw Hopley (photo, à gauche), cofondateur de Root.

    Cet investissement fait suite à un précédent, réalisé en novembre 2021 par Invenfin investment, et un consortium d’investisseurs. Ces derniers avaient apporté 3 millions $, sous forme de financement de démarrage à Root. L’insurtech en activité depuis 2016 avait utilisé ce financement pour déployer sa plateforme dans de nouvelles zones géographiques.

    Chamberline Moko



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