Category: Economie

  • CEMAC : la Banque Populaire Maroco Centrafricaine sacrée meilleur spécialiste en valeurs du trésor en 2023

    CEMAC : la Banque Populaire Maroco Centrafricaine sacrée meilleur spécialiste en valeurs du trésor en 2023

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    (BANQUE POPULAIRE MAROCO CENTRAFRICAINE) – La Banque Populaire Maroco Centrafricaine (BPMC), filiale du Groupe panafricain Banque Centrale Populaire (BCP), a été sacrée Meilleur Spécialiste en Valeurs du Trésor (SVT) pour l’année 2023. Cette prestigieuse reconnaissance a été décernée à la BPMC lors d’une cérémonie organisée le 9 avril dernier à Douala (Cameroun) par le ministère des Finances de la République Centrafricaine, réunissant les acteurs clés du secteur financier et des marchés de capitaux de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC).

    Cette distinction récompense l’expertise avérée de la BPMC sur le marché des Valeurs du Trésor, en lui accordant le titre de Meilleur Mobilisateur parmi les dix SVT que compte la République Centrafricaine dans toute la zone CEMAC.

    L’État Centrafricain distingue ainsi l’engagement sans faille de la BPMC dans le suivi et l’animation du Marché des Valeurs du Trésor (Obligations et Bons de Trésor Assimilables), notamment en participant activement aux adjudications et syndications des titres publics émis par la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC).

    La BPMC a apporté une contribution exceptionnelle aux opérations d’émission de titres publics, après avoir levé 69,9 % des fonds recherchés par la Centrafrique sur le marché de la CEMAC en 2023, soit environ 75 milliards de francs CFA. Dans ce sens, le titre de Meilleur SVT conforte sa position de premier conseiller du Trésor Centrafricain pour la structuration de financement de projets de développement.

    Recevant ce prix, M. Mathieu KONAN, Directeur Général de la BPMC, a exprimé ses remerciements au ministère des Finances de la République Centrafricaine. Il a ajouté que cette reconnaissance renforce l’engagement de la BPMC envers le développement économique et financier du pays. Le Directeur Général a également salué le travail accompli par les équipes de la banque et leur dévouement pour le développement de solutions de financement et d’investissement adaptées aux besoins spécifiques des clients, tout en maintenant les normes les plus élevées de professionnalisme dans tous les domaines d’activité. 

    Cette distinction souligne le rôle de BPMC comme partenaire financier de référence et renforce son leadership dans le secteur bancaire en République Centrafricaine. Elle témoigne également de l’engagement continu de la banque à soutenir l’État dans ses projets structurants et de développement dans le pays. 

    À PROPOS DE LA BPMC

    La Banque Populaire Maroco Centrafricaine est la résultante d’une fructueuse coopération économique entre la République Centrafricaine et le Royaume du Maroc. Ladite coopération a été matérialisée au moyen d’un protocole d’accord en date du 13/02/1989 et a donné lieu à la création en date du 22 Avril 1992 de la Banque Populaire Maroco Centrafricaine (BPMC) société d’économie mixte, pour favoriser le financement et l’émergence des petites et moyennes entreprises locales. Dotée au départ d’un capital social de XAF 800 000 000 à la création à raison de 37,5 % de participation pour l’Etat Centrafricain contre 62,5 % pour la BCP, le capital a été progressivement porté à XAF 2 milliards en 1999, ensuite à XAF 8 milliards, puis à XAF 10 milliards en 2012 et enfin à XAF 15 milliards en 2017. La BPMC est une filiale du Groupe Banque Centrale Populaire (BCP) détenue à hauteur de 75% par le Groupe panafricain. 

    À PROPOS DU GROUPE BCP

    Porteur de valeurs de solidarité et d’innovation, le Groupe panafricain BCP est l’une des premières institutions bancaires du Maroc où il est le premier collecteur de l’épargne et pilier du financement de l’économie. Le Groupe BCP est présent dans 32 pays dans le monde, dont 18 en Afrique. Modèle de stabilité financière et de croissance internationale, le Groupe BCP déploie ses activités notamment dans les régions de la CEDEAO, de la CEMAC et de l’Océan Indien, via ses banques universelles, banque d’affaires, compagnies d’assurance et fintechs, renforçant ainsi son empreinte sur le continent.

    BANQUE POPULAIRE MAROCO CENTRAFRICAINE



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  • La BIDC injecte 200 millions $ dans l’économie ghanéenne

    La BIDC injecte 200 millions $ dans l’économie ghanéenne

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    (BIDC) – La Banque d’Investissement et de Développement de la CEDEAO (BIDC) a renforcé son partenariat transformateur avec la République du Ghana en s’engageant à injecter 200 millions de dollars dans l’économie ghanéenne à travers des alliances stratégiques avec Ghana Export-Import Bank (GEXIM) et GCB Bank PLC.

    C’est ce qui ressort d’un protocole d’accord signé par Dr George Agyekum Donkor, Président de la BIDC et de son Conseil d’administration et M. Mohammed Amin Adam, ministre des Finances de la République du Ghana, lors d’une cérémonie qui s’est tenue au siège de la BIDC à Lomé, au Togo. 

    La cérémonie de signature s’est déroulée en présence des principales parties prenantes, notamment M. Lawrence Agyinsam, Directeur Général de GEXIM, et M. Samuel Aidoo, Directeur Exécutif, Commerce en gros et Banque d’investissement chez GCB Bank PLC, entre autres. L’accord incarne l’engagement inébranlable de la BIDC à favoriser la croissance économique et à renforcer la résilience dans les États membres de la CEDEAO.

    Dans son allocution d’ouverture, Dr Donkor a félicité le Ghana pour son soutien indéfectible à travers le paiement de sa part souscrite du capital et d’autres engagements envers la Banque. Il a souligné que l’alliance tripartite entre la BIDC, GEXIM et GCB Bank PLC illustre l’orientation stratégique de la BIDC visant à renforcer le programme de relance et de transformation des États membres en canalisant les ressources vitales vers des secteurs clés de leurs économies. Selon lui, cette collaboration souligne l’engagement de la BIDC à forger des synergies de partenariat dans le domaine de la finance et de l’investissement, servant de modèle pionnier pour les futures collaborations et investissements régionaux. 

    En retour, Dr Amin Adam a souligné l’importance d’organisations telles que la BIDC dans la conduite d’une transformation durable, en particulier dans le contexte des défis mondiaux actuels. Il a salué l’impact profond de la BIDC sous la direction de Dr Donkor et a exprimé un optimisme inébranlable quant au rôle continu de la Banque dans l’élaboration du programme de développement de la région.

    L’injection de 200 millions de dollars est destinée à stimuler la croissance des Petites et Moyennes Entreprises (PME) dans des secteurs critiques de l’économie, à favoriserla création d’emplois, l’innovation et le développement durable. Cette injection portera le total des engagements de la BIDC au Ghana à 600 millions USD. 

    À propos de la BIDC

    La Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) est l’institution de Financement du développement des quinze (15) États membres de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) que sont : le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo. Basée à Lomé, en République togolaise, la Banque s’engage à financer des projets et programmes de développement portant sur diverses initiatives dans les secteurs des infrastructures et des services sociaux de base, du développement rural et de l’environnement, de l’industrie ainsi que des services sociaux, à travers ses guichets dédiés aux secteurs privé et public. Les interventions de la BIDC se font sous forme de prêts à long, moyen et court terme, de prises de participation, d’octroi de lignes de crédit et mise en place d’accords-cadres de refinancement, des opérations d’ingénierie financière et services connexes. www.bidc-ebid.org



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  • Le marocain Wafa Assurance obtient son agrément pour exercer au Gabon

    Le marocain Wafa Assurance obtient son agrément pour exercer au Gabon

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    (Agence Ecofin) – Le régulateur du secteur des assurances de la zone CIMA a autorisé Wafa Assurance SA à opérer sur le marché gabonais de l’assurance vie. Cette expansion renforce la présence de l’assureur sur le continent africain.

    Wafa Assurance SA, filiale de la holding Al Mada et du groupe financier Attijariwafa Bank, a annoncé ce mardi 14 mai 2024, son expansion au Gabon, dans le secteur de l’assurance-vie. La compagnie d’assurance marocaine a obtenu le 16 avril dernier, son agrément auprès du régulateur du marché des assurances de la conférence interafricaine des marchés d’assurances (CIMA), en vue de lancer sa nouvelle filiale.

    Dotée d’un capital de 5 milliards fcfa (8,24 millions de dollars), Wafa Assurance Vie Gabon proposera sur le marché gabonais, des produits d’assurance épargne et décès.

    En dehors du Gabon, Wafa Assurance est présente dans 6 pays africains : le Maroc, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Cameroun, la Tunisie et l’Egypte.

    Dans son rapport annuel 2023, publié le 30 avril dernier, elle affirme avoir réalisé un chiffre d’affaires consolidé en hausse de 9,3 % porté par la croissance de l’activité au Maroc et la bonne performance des filiales vie et non vie à l’international. Celles-ci ont réalisé un chiffre d’affaires en hausse de 17,5 % en 2023, tiré par les filiales vie essentiellement en Tunisie et en Côte d’Ivoire.

    Chamberline Moko



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  • SPE Capital recevra 50 millions $ de la SFI pour financer des entreprises de taille moyenne en Afrique

    SPE Capital recevra 50 millions $ de la SFI pour financer des entreprises de taille moyenne en Afrique

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    (Agence Ecofin) – En projet depuis décembre 2023, cet investissement a été récemment confirmé par la SFI.

     Le gestionnaire de fonds de private equity, SPE Capital, obtiendra auprès de la Société financière internationale (SFI), un investissement en fonds propres pouvant atteindre 30 millions $, ainsi qu’un co-investissement pouvant s’élever à 20 millions $.

    L’annonce a été faite ce mardi 14 mai 2024 par cette filiale du groupe de la Banque mondiale, chargé du secteur privé. La ressource ira directement au fonds SPE PEF III géré par SPE Capital. Ce véhicule l’utilisera pour réaliser des prises de participation dans des entreprises de taille moyenne en Afrique du Nord, principalement en Egypte, au Maroc et en Tunisie. Le fonds réalisera également des investissements en Afrique subsaharienne, mais plafonnés à 25 % du total de ses engagements.

    Via ce financement, la SFI dit vouloir « accroître la productivité du marché et soutenir les entrepreneurs de la région ». Notons que le nouveau véhicule géré par SPE Capital vise à mobiliser un total de 350 millions $, avec un plafond de 400 millions $ pour mener ses acquisitions en Afrique.

    Au-delà de l’apport de la SFI, ce fonds sollicitera des institutionnels et investisseurs providentiels d’autres régions pour lever du capital et réaliser ses opérations.

    Précisons que c’est depuis décembre 2023 que la SFI a signifié qu’elle envisageait d’investir au sein de SPE PEF III. Les montants qu’elle prévoyait engager pour son propre compte et avec un autre associé ont été maintenus.

    Chamberline Moko



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  • Ghana : une ligne de crédit de 200 millions $ de la BIDC pour l’expansion des PME

    Ghana : une ligne de crédit de 200 millions $ de la BIDC pour l’expansion des PME

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    (Agence Ecofin) – Les fonds seront servis aux PME ghanéennes qui génèrent environ 80 % des emplois et près de 60 % du PIB, par l’intermédiaire de la Ghana Commercial Bank et de la Ghana Export-Import Bank.

    La Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) a accordé une ligne de crédit de 200 millions de dollars au Ghana pour soutenir l’expansion des petites et moyennes entreprises (PME), a annoncé le président ghanéen Nana Akufo-Addo (photo), le lundi 13 mai 2024.

    « Dans le cadre de notre objectif d’assurer l’accès des PME aux financements, le ministre ghanéen des Finances et le président de la BIDC ont signé vendredi dernier au Togo, un protocole d’accord portant sur une facilité de crédit de 200 millions de dollars qui sera décaissée par l’intermédiaire de la Ghana Commercial Bank et de la Ghana Export-Import Bank (GEXIM Bank) en faveur des PME », a-t-il déclaré lors du Sommet africain sur la fintech « 3i Africa » qui se tient à Accra.

    Ce financement porte le total des engagements de la BIDC en faveur du Ghana à 600 millions de dollars. 

    Les PME jouent un rôle de premier plan dans l’économie ghanéenne. Elles représentent plus de 90% du tissu entrepreneurial du pays et génèrent environ 80 % des emplois et près de 60 % du produit intérieur brut (PIB).

    Lire aussi:

    10/01/2024 – La BIDC approuve une facilité de 70 millions $ au profit de PME desservies par Coris Bank dans 5 pays ouest-africains

    02/04/2013 – La BIDC approuve un financement de 40 millions $ pour 3 projets en Côte d’Ivoire, Ghana et Togo

    9/03/2023 – Ghana : le fonds des fonds Ci-Gaba cherche à mobiliser 75 millions $ pour des fournisseurs de capitaux ciblant des PME locales

    20/05/2020 – Le Ghana lance un fonds de relance de 173 millions $ pour soutenir les PME affectées par la Covid-19



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  • Axian renforce son engagement au Pacte Mondial des Nations Unies et son action en matière d’impact positif en Afrique

    Axian renforce son engagement au Pacte Mondial des Nations Unies et son action en matière d’impact positif en Afrique

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    (AXIAN ) – AXIAN, groupe panafricain responsable opérant dans 5 secteurs d’activités dont l’énergie et les télécoms, renforce son engagement en matière d’impact positif en Afrique et intègre la Vice-Présidence du réseau régional océan Indien du Pacte Mondial des Nations Unies (UNGC).  Hassanein Hiridjee, CEO du groupe AXIAN, intègre également l’Advisory Council de l’Africa Business Leaders Coalition (ABLC).

    AXIAN à la Vice-Présidence du Comité d’Administration du réseau océan Indien du Pacte Mondial des Nations Unies (UNGC)

    AXIAN, représenté par sa Directrice Groupe Impact & Sustainability, Amélie Yan-Gouiffes, a été élu à la Vice-Présidence du Comité d’Administration du réseau régional océan Indien de UNGC. Le groupe renforce ainsi son engagement continu dans la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) et se mobilise pour jouer un rôle d’accélérateur notamment sur les 3 piliers de l’agenda 2030 : Population, Planète et Prospérité (3P). AXIAN fait partie de l’initiative UNGC depuis 2020.

    Durant son mandat d’un an, AXIAN aura pour mission de renforcer le réseau régional et diversifier ses membres, notamment à Madagascar, aux Comores et aux Seychelles, encore sous représentés. L’Afrique fait face à des défis environnementaux, humains et économiques pressants. Le continent se réchauffe plus vite que la moyenne mondiale avec une montée de 1,4 °C contre 1,1 °C à l’échelle du globe, alors que sa responsabilité est très faible, contribuant à moins de 4% des émissions mondiales. Il est en effet crucial de mobiliser toutes les forces pour réussir une transition partagée et durable du continent africain, en veillant à ce que personne ne soit laissé pour compte et que toutes les voix soient entendues. Les besoins pressants d’inclusion énergétique, financière et digitale représentent une opportunité d’allier les secteurs public, privé et non gouvernemental pour développer un modèle de croissante verte, juste et partagée.

    Avec des opérations dans 15 pays africains et un siège basé à Madagascar, AXIAN occupe une position plus que stratégique pour porter la région océan Indien en Afrique tout en apportant son expérience et sa perspective panafricaines au niveau international. Multiplier les connexions entre les différents réseaux de UNGC en Afrique permettrait d’apprendre les uns des autres et de faire grandir l’impact positif du secteur privé africain sur les 3P.

    Le réseau de l’océan Indien fait partie des 10 réseaux UNGC actuellement établis sur le continent et compte à ce jour 49 entreprises membres (38 à Maurice, 9 à Madagascar et 2 aux Seychelles). AXIAN est un des membres fondateurs du réseau régional de l’océan Indien, créé en 2020, et fier de renforcer son engagement et son leadership en matière d’impact positif en Afrique. 

    Hassanein Hiridjee rejoint l’Advisory Council de l’Africa Business Leaders Coalition (ABLC)

    Hassanein Hiridjee, CEO du groupe AXIAN, a intégré le Conseil consultatif (Advisory Council) de l’ABLC, une initiative émanant de la stratégie du Pacte Mondial des Nations Unies en Afrique. Les 15 membres et business leaders composant le Conseil consultatif vont ainsi pouvoir directement influer sur les objectifs stratégiques et les plans opérationnels de l’ABLC, avec le soutien de membres de la direction de UNGC et du Boston Consulting Group.

    ABLC a été lancée pour agir comme la voix unifiée du secteur privé en Afrique. Il s’agit de la première coalition panafricaine de leaders d’entreprise, concentrée sur les défis clés auxquels le continent est confronté, et visant à stimuler le progrès de l’Afrique à l’échelle mondiale. Depuis son lancement en 2022, Hassanein Hiridjee a été un membre actif et son mandat de trois ans au sein du Conseil Consultatif aura pour objectif de renforcer la Coalition et de continuer à promouvoir un impact tangible à travers l’Afrique. Désormais dans sa troisième année, ABLC va intensifier plus particulièrement son engagement en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique et de la promotion de l’égalité des genres sur le continent africain.

    Chez AXIAN, nous sommes fermement convaincus que Sustainability et Business sont intrinsèquement liés, et nous avons inclus l’impact positif au cœur même de notre business model. Notre engagement au Pacte Mondial des Nations Unies, l’agence des Nations Unies dédiée au secteur privé, est par conséquent une évidence. Je suis ravi d’intégrer l’Advisory Council d’ABLC et qu’Amélie Yan-Gouiffes représente le groupe AXIAN à la Vice-Présidence du Conseil d’Administration de UNGC océan Indien. Notre mission est de répondre en actions et en résultats à l’appel du Secrétaire-Général des Nations unies pour un « plan de sauvetage des ODD ». Œuvrons ensemble pour promouvoir les Dix Principes de UNGC dans la région et en Afrique, afin d’accélérer et ainsi atteindre les objectifs de développement durable.”  a déclaré Hassanein Hiridjee, CEO du groupe AXIAN.

    A PROPOS DU GROUPE AXIAN

    AXIAN est un groupe panafricain présent dans 15 pays et spécialisé dans 5 secteurs d’activité à fort potentiel de croissance : télécoms, services financiers, énergie, immobilier et open innovation. AXIAN agit en partenaire de la transformation socio-économique des pays dans lesquels il opère. Avec l’ensemble de ses 7500 collaborateurs audacieux et passionnés, il s’assure systématiquement de l’impact durable et positif de ses activités sur le quotidien de millions d’Africains. Le groupe AXIAN fait partie de l’initiative Global Compact des Nations Unies et s’engage à intégrer ses 10 principes au cœur de ses stratégies et activités présentes et futures.



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  • BRVM : croissance record de bénéfice pour le Groupe Castel en 2023

    BRVM : croissance record de bénéfice pour le Groupe Castel en 2023

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    (Agence Ecofin) – Cette performance a été portée par une croissance inhabituelle du revenu des activités non ordinaires. Les performances de 2024 sont à suivre.

    La Société de Limonaderies et de Boissons Rafraîchissantes d’Afrique (SOLIBRA), dont le principal actionnaire avec 76,8% de participation est BGI, une filiale du groupe français Castel, a annoncé un bénéfice net de 15 milliards fcfa (24,69 millions de dollars) pour l’exercice 2023. Bien que ce ne soit pas le niveau de marge nette le plus élevé des dix dernières années, il s’agit de la croissance la plus robuste (+1139%) sur cette période, comparativement à 2022 1,2 milliard fcfa .

    Cette performance a été soutenue par une augmentation des ventes. Après une baisse en 2022, le chiffre d’affaires est reparti à la hausse, atteignant son niveau le plus élevé de 311,4 milliards fcfa. Ce dynamisme a permis de contenir une augmentation des coûts de vente qui ont progressé de 23,3 milliards fcfa par rapport à l’année précédente.

    De plus, une baisse des dotations aux amortissements et des charges financières presque stables ont permis à l’entreprise de réaliser des gains supplémentaires de marge. Elle a ainsi pu achever l’année 2023 sur un bénéfice avant impôts de 11,3 milliards fcfa contre environ 3 milliards fcfa en 2022. Mais ce qui a réellement impulsé la croissance du bénéfice net, c’est le niveau des résultats hors activités ordinaires.

    Solibra n’explique pas ce qui compose ces activités non ordinaires, mais en 2023, leur contribution aux revenus du brasseur a été de 7,5 milliards fcfa. C’est bien plus que la totalité des performances pour cet indicateur depuis 2014, selon des données compilées par l’Agence Ecofin.

    Cette année, Solibra annonce des dividendes pour ses actionnaires, dont 18,6% de flottant boursier. Cependant, selon la plateforme d’informations boursières Richbourse, « le rendement très faible du dividende (3,24%) pourrait refroidir les investisseurs ». De plus, Solibra devra présenter des indicateurs plus fiables à ses investisseurs.

    Elle devra notamment garantir que le bénéfice net continuera de progresser sur un marché devenu concurrentiel avec l’arrivée de Brassivoire, une alliance entre le spécialiste de la distribution CFAO et le groupe néerlandais Heineken. De plus, malgré une augmentation des prix en 2024, le pouvoir d’achat des Ivoiriens continue de se réduire, plombé par des factures d’énergie, alimentaires ou encore de transport plus importantes. On peut cependant s’attendre à une augmentation des ventes au premier trimestre, en raison de l’effet Coupe d’Afrique des Nations de Football.

     



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  • Glint Ventures clôture à 3 millions $, son 2e fonds ciblant des start-up égyptiennes

    Glint Ventures clôture à 3 millions $, son 2e fonds ciblant des start-up égyptiennes

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    (Agence Ecofin) – Dans la cadre de sa première clôture, Glint Fund II a levé des capitaux pour soutenir exclusivement des start-up égyptiennes disruptives et axées sur la technologie.

    La société égyptienne de conseil et d’investissement, Glint Ventures, a annoncé le lundi 13 mai 2024, la première clôture à 3 millions $ de son deuxième fonds dénommé Glint Fund II. Ce véhicule soutiendra des start-up axées sur la technologie et qui construisent des solutions durables pour demain.

    Dans chacune des entreprises ciblées, il cherchera à investir sous forme d’amorçage, des tickets compris entre 250 000 et 500 000 $. « Avec ce fonds, nous continuerons à soutenir les start-up disruptives qui promettent non seulement la croissance, mais aussi des changements dans leurs industries. Nous croyons au pouvoir de l’innovation et à l’esprit d’entreprise », a commenté Glint dans un communiqué.

    Cofondée en 2018 par les entrepreneurs Tarek Aboualam (photo) et Youssef Habib, Glint Ventures a lancé un premier fonds qui a réalisé 5 investissements entre 2017 et 2021 dans des entreprises technologiques égyptiennes. FilKhedma, une start-up engagée dans la fourniture de services d’entretien ménager à domicile a bénéficié de deux financements de démarrage entre 2017 et 2018, fournis par Glint et d’autres investisseurs pour  son expansion locale.

    Wasla Browser, qui a développé un navigateur web proposant du contenu local et des services numériques a été soutenu en 2019 par la société. La plateforme de paiement Kashier et Iqraaly qui propose un contenu audio via des applications mobiles, ont bénéficié en 2020 et 2021, de financements de démarrage mobilisés par Glint et d’autres investisseurs, pour soutenir leurs activités.

    Chamberline Moko



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  • Egypte : 100 millions $ de la SFI pour soutenir le commerce et des PME dirigées par des femmes

    Egypte : 100 millions $ de la SFI pour soutenir le commerce et des PME dirigées par des femmes

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    (Agence Ecofin) – Le financement obtenu par la Banque du Caire au profit du secteur privé égyptien intervient 8 mois après la conclusion d’un précédent accord avec la SFI visant à développer sa stratégie de financement climatique.

    Dimanche 12 mai 2024, en marge de la journée de la Société financière internationale (SFI) en Egypte, l’institution dirigée par le Sénégalais Makhtar Diop a signé un nouvel accord de financement de 100 millions $ avec la Banque du Caire. La moitié de ce financement sera alloué à des micros, petites et moyennes entreprises (MPME) du secteur privé, principalement celles dirigées ou détenues par des femmes.

    Ce prêt senior de 50 millions $ est remboursable sur une période de 5 ans. L’autre moitié est une facilité de financement du commerce qui offrira à la Banque du Caire, des garanties couvrant le risque de paiement pour des transactions liées au commerce.

    Banque du Caire qui opère sur le marché bancaire égyptien depuis 1952 était en attente de ce financement depuis le 29 mars dernier. L’établissement contrôlé à 100 % par la Banque Misr a augmenté de 25 %, à 24 milliards de livres égyptiennes, son portefeuille de financement de projets portés par les PME égyptiennes en 2023.

    En plus, son portefeuille de financement de micro-projets en Egypte a augmenté de 45 % à 3,3 milliards de livres égyptiennes à fin 2023. La banque a terminé l’année 2023 avec un résultat net bénéficiaire de 6,7 milliards de livres égyptiennes, en hausse de 112 % en glissement annuel.

    Depuis le début de ses opérations en Egypte, la SFI revendique environ 9 milliards $ de financements et d’investissements dans le secteur privé égyptien. Ce montant ne prend pas en compte les services de conseil fournis par l’institution financière pour une valeur financière d’environ 34 millions $, depuis le début de ses engagements dans le pays. Pour la période de juin 2023 à mai 2024, le volume des investissements de la SFI en Egypte a atteint 900 millions $.

    Chamberline Moko 

    Lire aussi:



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  • Bénéfice net en hausse de 25% pour Equity Group au 1er trimestre 2024

    Bénéfice net en hausse de 25% pour Equity Group au 1er trimestre 2024

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    (Agence Ecofin) – Les filiales de la banque cotée sur la Bourse de Nairobi au Rwanda, en Ouganda et en Tanzanie ont contribué à hauteur de 62% au bénéfice net du groupe qui s’élève à 116,4 millions $.

    La banque kényane Equity Group a annoncé, ce lundi 13 mai 2024, un bénéfice net de 15,3 milliards de shillings (116,4 millions de dollars) au premier trimestre 2024, en hausse de 25% par rapport à la même période en 2023.

    Le premier établissement bancaire d’Afrique de l’Est en termes de revenus a expliqué que cette hausse découle essentiellement de l’augmentation de ses revenus nets d’intérêt et des revenus issus des frais et des commissions.

    Les revenus nets d’intérêt du groupe coté sur la Bourse de Nairobi ont, en effet, augmenté de 28% entre le 1er janvier et le 31 mars 2024 pour s’établir à 27,8 milliards de shillings.

    Les revenus provenant des frais et des commissions ont, quant à eux, progressé de 21%, à 22,2 milliards de shillings.

    Les bonnes performances d’Equity Group ne découlent pas uniquement de ses opérations au Kenya, puisque ses filiales au Rwanda, en Ouganda et en Tanzanie ont contribué à hauteur de 62% au bénéfice net du groupe.

    « Nos performances s’expliquent par l’exécution d’une stratégie axée sur la diversification des produits et l’expansion géographique, malgré des chocs multiples », s’est félicité James Mwangi, le directeur général du groupe qui opère également au Burundi, au Soudan du Sud et en République démocratique du Congo.   

    Lire aussi:

    27/03/2024 – La banque kényane Equity Group annonce un bénéfice avant impôt en baisse de 13 % en 2023, à 394 millions $

    03/12/2023 – Le kenyan Equity Group Holdings finalise l’acquisition de la Cogebanque, 5ème plus grande banque du Rwanda

    25/05/2023 – Equity Group Holdings prépare le lancement de sa filiale d’assurance générale au Kenya

    25/04/2023 – Le kényan Equity Group Holdings monte à 84,1% dans le capital de sa filiale en RDC



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